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Note moyenne
4,1
24 titres de presse
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20 Minutes
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Critikat.com
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Le Figaroscope
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Le Journal du Dimanche
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Le Parisien
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Les Inrockuptibles
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Marianne
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Paris Match
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Première
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Studio Ciné Live
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Télé 7 Jours
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Télérama
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Cahiers du Cinéma
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Elle
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Filmsactu
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Le Monde
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Libération
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Metro
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Positif
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TéléCinéObs
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Chronic'art.com
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Le Journal du Dimanche
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Télérama
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Brazil
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
20 Minutes
Ce que saisit Xavier Beauvois tient davantage de l'humain que du divin. Acteurs éblouissants (...) et mise en scène épurée ne laissent ainsi aucune place à l'esbrouffe. A la fois rigoureux et accessible, (...) le film renvoie le spectateur à ses propres interrogations, faisant de chacun de nous un de ces moines.
Critikat.com
Au plus près de ses personnages, Beauvois sonde le conflit moral, politique et religieux d'une communauté déchirée par le doute et apaisée par la foi, sans prosélytisme ni militantisme.
Le Figaroscope
Ce film au mouvement lent, prenant, est un choc.
Le Journal du Dimanche
POUR: Pas de doute, Xavier Beauvois a été touché par la grâce. Le réalisateur transcende son sujet en filmant le quotidien des moines avec l'humilité requise.
Le Parisien
[...] le film de Xavier Beauvois monte au ciel des chef-d'oeuvres.
Les Inrockuptibles
[...] superbe film où Beauvois applique la politique des hauteurs : celles de ses pères en cinéma.
Marianne
(...) Xavier Beauvois nous emmène, nous entraîne au plus profond du mystère d'un sacrifice consenti (...).
Paris Match
Beauvois a réussi une oeuvre bouleversante qui prend appui sur une certaine idée de Dieu pour mieux nous mener au coeur de l'homme. (...) Non seulement on ne s'ennuie pas, mais on savoure chaque minute passée en leur compagnie.
Première
(...) un point d'équilibre assez miraculeux entre l'observation et le respect. Il possède en outre l'immense mérite de laisser au spectateur (...) la liberté de ressentir les faits jusqu'au plus profond de lui-même. (...) Couronné par un final à faire pleurer Tarkovski de reconnaissance posthume, (...) l'écho qu'il dégage émane bel et bien de l'or dont on fait les Palmes.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Réflexion intemporelle et universelle, cette oeuvre exigeante, contemplative et profondément émouvante, a reçu le Grand Prix du au dernier Festival de Cannes.
Télérama
POUR: Des hommes et des dieux touchera ceux qui croient au divin comme ceux qui ne jurent que par l'homme. [...] Un film splendide.
Cahiers du Cinéma
Le film va au-delà de son discours antiterroriste et c'est là toute sa force. Bien plus, il repose sur un paradoxe : il présente en surface une critique des actes terroristes tout en dressant le portrait de kamikazes.
Elle
Inoubliable.
Filmsactu
Si l'austérité formelle pourra en rebuter plus d'un, la tension dramatique gagne peu à peu en puissance pour ne plus nous lâcher grâce à une mise en scène pleine de grâce.
Le Monde
Les plans parlent d'eux-mêmes, chaque détail enrichissant le récit sans qu'il soit besoin de commentaire.
Libération
Mais, jusqu'au bout, il faut encore par les moyens du cinéma, quand tout est perdu, vide de sens, cogner aux portes du ciel, lever dans la cathédrale détruite les images brûlantes d'une oraison funèbre.
Metro
Le film est relativement classique dans la forme, peut-être trop. Mais sa grande force, outre l'interprétation remarquable de chaque comédien, c'est le dilemme puissant qui le hante de bout en bout. "Qu'aurais-je fait à leur place ?", se demande le spectateur, longtemps après la projection.
Positif
Beauvois n'échappe donc pas à la politique, même si son sujet n'est pas là. Il décrit d'abord la vie d'une toute petite communauté de huit trappistes (...) en marge des soubresauts de l'Histoire.
TéléCinéObs
Il tire aussi le meilleur de comédiens formidablement humbles et "ensemble". Que l'on soit croyant ou non, Des hommes et des dieux impose à tous son silence, son humanisme, son ambition. Bouleversant.
Chronic'art.com
La scène de repas, largement commentée, dit clairement ce que Beauvois a trouvé dans les moines de Tibhirine. Pas vraiment des dieux et pas tout à fait des hommes, mais bien des personnages de papier, des acteurs déguisés en moines.
Le Journal du Dimanche
CONTRE: [...] il faut l'avouer, ce ne fut pas l'état de grâce, mais l'attente, puis l'ennui. Et ce malgré la noblesse du sujet.
Télérama
CONTRE: A la fin, on pleure, on pleure, et puis, on oublie, très vite. Puisque manque le mystère. L'incandescence...
Brazil
Des Hommes Et Des Dieux avait le potentiel pour être un grand film. Ce qu'il n'est pas. Le scénario patine dans la semoule comme les tongs de Lambert Wilson sur le gravier. Quel ennui.