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    Toutes les critiques de VSD
    Tout le Monde Debout
    VSD
    4,0
    Presse
    3,6
    Malin, Dubosc profite du canevas pour aborder d'un peu plus près les peurs qui habitent ses choix : la vieillesse, la décrépitude qui en résulte et la fuite du temps. Des angoisses qui font le sel de son travail comme de cette comédie surprenante.
    Mme Mills, une voisine si parfaite
    VSD
    1,0
    Presse
    1,9
    Troisième réalisation de Sophie Marceau, « Mme Mills… » ne semble jamais savoir que faire de son postulat de départ, malgré les efforts louables de Pierre Richard pour remonter ses bas.
    The Disaster Artist
    VSD
    4,0
    Presse
    3,7
    Franco réussit la gageure d’éviter cette condescendance irritante qui gâchait ses réalisations précédentes pour coller au plus près à la folie furieuse et quasi morbide du personnage.
    La Ch’tite famille
    VSD
    3,0
    Presse
    2,9
    Un autoportrait touchant du comique en parvenu empêtré dans ses racines.
    La Fête est finie
    VSD
    3,0
    Presse
    3,4
    Tout en intériorité, le jeu de Zita Hanrot, César 2015 du meilleur espoir féminin pour « Fatima », crée un contraste aussi saisissant que complémentaire avec la fièvre extravertie de Clémence Boisnard, aperçue l’année dernière dans « Django ».
    Lady Bird
    VSD
    3,0
    Presse
    3,8
    Ex-æquo avec « La Forme de l’eau », le délire qui entoure le film de l’actrice Greta Gerwig nous plonge dans des abîmes de perplexité.
    Call Me By Your Name
    VSD
    5,0
    Presse
    4,2
    Constamment magnifique à regarder, à entendre et à ressentir, ce n’est cependant qu’à la toute fin de son ultime plan-séquence que « Call me by your name » libère la charge émotionnelle qui l’irriguait jusque-là avec une sorte de pudeur souterraine aussi admirable que légèrement insatisfaisante.
    Moi, Tonya

    Moi, Tonya

    Titre original I, Tonya
    VSD
    4,0
    Presse
    3,5
    Dans la peau de la patineuse artistique Tonya Harding, Margot Robbie déploie une symphonie d’énergie, de vulgarité et de fêlures à couper le souffle.
    La Forme de l'eau - The Shape of Water

    La Forme de l'eau - The Shape of Water

    Titre original The Shape of Water
    VSD
    3,0
    Presse
    4,1
    On se sent un peu seul dans ce concert de louanges, mais cette histoire d’amour aussi artificielle que maniérée entre une femme de ménage muette et une créature amphibie nous a laissés de marbre.
    Les Aventures de Spirou et Fantasio
    VSD
    2,0
    Presse
    2,3
    Porté par l’obsession maladive de plaire aux jeunes générations, le film ne se permet pourtant ­aucune fantaisie, si ce n’est celle de ­trahir son personnage prin­cipal.
    Le Retour du Héros
    VSD
    3,0
    Presse
    3,4
    Véhicule plutôt plaisant pour un Jean Dujardin plus « Bébel » que jamais, ce « Retour du héros » évoque furieusement les facéties en costume autrefois signées par Philippe de Broca.
    L'Apparition
    VSD
    3,0
    Presse
    3,5
    Porté par une interprète solaire (Galatea Bellugi), « L’Apparition » fascine lorsqu’il confronte les deux personnages principaux à leurs certitudes.
    Belle et Sébastien 3: le dernier chapitre
    VSD
    3,0
    Presse
    2,5
    Clovis Cornillac repasse derrière la caméra et s’en sort plutôt honorablement. Au passage, il se fait plaisir en incarnant un méchant de bande dessinée au look improbable.
    Black Panther
    VSD
    3,0
    Presse
    3,1
    Coogler semble sortir les rames lorsqu’il s’agit d’affronter le cahier des charges inhérent au genre. Mais sa vérité est ailleurs. Pour cela, on lui accordera volontiers le bénéfice du doute.
    Une Saison en France
    VSD
    2,0
    Presse
    3,2
    L’histoire de ce migrant africain en attente de régularisation pose de vraies questions et comporte de beaux moments malgré l’approche très didactique et de terribles maladresses d’interprétation.
    Sparring
    VSD
    4,0
    Presse
    3,7
    Un drame hypersensible, parfois cruel, souvent poignant, qui plus est excellemment réalisé, dont les scènes sportives dégagent une rare authenticité.
    Wonder Wheel
    VSD
    2,0
    Presse
    3,4
    Hommage au théâtre dramatique américain (Williams, O’Neill), le film est engoncé dans un costume un peu étriqué. Reste la performance magistrale de Kate Winslet, injustement oubliée aux Oscars.
    Oh Lucy!
    VSD
    3,0
    Presse
    2,8
    Une chronique où les personnages se percutent et se révèlent avec une liberté, une cohérence et une émotion assez imparables.
    L'Insulte
    VSD
    5,0
    Presse
    3,8
    Prodige d’énergie visuelle, d’intelligence et de tension, le film et ses magnifiques acteurs plantent dès le début leurs crocs dans la conscience pour ne plus jamais relâcher leur étreinte.
    Phantom Thread
    VSD
    5,0
    Presse
    4,3
    S’il fallait avaler des couleuvres psychédéliques pour en arriver à ce « Phantom thread » alors oui, le jeu en valait la chandelle. Car le huitième film d’Anderson est sans doute sa plus belle réussite. Son chef-d’œuvre, carrément.
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