Avis The Mask

Comme quasiment tous les blockbusters familiaux, The Mask écope lui aussi d'une adaptation animée pour le petit écran. On avait connu Rambo, Robocop, S.O.S. Fantômes et même Retour vers le futur, c'est dire ! Alors l'année 1995 marque l'arrivée en dessin animé de Jim Carrey avec trois séries inspirées de ses plus gros succès : Ace Ventura, Dumb & Dumber et bien entendu The Mask, qui s'avère être le plus réussi des trois. Pourquoi ? D'abord parce que la série reste incroyablement fidèle au film, dans une parfaite continuité scénaristique (et conserve d'autant plus en France les mêmes doublages) mais devient également plus folle en reprenant cet humour noir du comics, aseptisé cela va sans dire... Libéré de ses limites au cinéma, notre héros est donc encore plus déjanté que jamais et va s'adonner à une véritable farandole d'interprétations loufoques absolument désopilantes. En comptant près de 20 personnifications par épisode, on peut dire que les scénaristes avaient de la suite dans les idées ! Ménestrel, chevalier, animaux variés, cowboy et même des pastiches de véritables super-héros, le Mask nous livre des parodies exaltantes tout en mettant à profit ses pouvoirs magiques sans aucune retenue. Pour le reste, si le personnage de Tina (incarné par Cameron Diaz) est passé à la trappe, nous retrouvons comme il se doit Stanley, son chien Milo, son meilleur ami Charlie, la reporter Peggy Brandt (revenue malgré sa trahison dans le film), la concierge acariâtre Mme Bonpoil et même l'inspecteur Kellaway et son adjoint Doyle. Personnalités respectées, humour toujours autant déjanté, action démesurée et... scénarios bigrement inventifs ! Car la plus grande qualité de la série réside essentiellement dans ses histoires toujours plus originales les unes que les autres, le Mask affrontant désormais des ennemis redoutables et divers comme Pretorius, un cyborg machiavélique, les deux mutants losers Flastoche et Poiskaille, Skillit le lutin ou encore Kablamus l'homme-explosif. Des adversaires récurrents qui peuplent la série et en font des aventures rythmées et amusantes. De plus, le masque va atterrir sur le visage d'une dizaine d'autres personnages tels Milo, Peggy, le Dr. Neuman (lui aussi déjà présent dans le film), un bébé et même Ace Ventura, qui fait une apparition inespérée à travers un crossover dans un épisode final de toute beauté. En somme, "The Mask : La série animée" est une réussite totale qui a gentiment perduré pendant trois saisons et a enchanté aussi bien les fans du film que les gamins des années 90.

Après le film, le dessin animé. Stanley Ipkiss est un homme qui vit avec son chien Milo. Il a un objet très spécial à sa disposition : un masque. Et lorsqu’il le met, il se transforme en fou chauve à tête verte, et il se met à faire les 400 coups. Le long-métrage mettant en scène Jim Carrey était assez sympathique. Lorsque j’étais petit, je regardais assez souvent le dessin animé. À l’époque, j’aimais assez bien. Je ne m’en rappelle plus trop, mais d’après mes souvenirs, c’était assez bien dans l’ensemble. Bref, j’écrirais une nouvelle critique lorsque j’aurais l’occasion de voir de nouveaux épisodes du Mask.

Vous avez du mal à trouvé le sommeil ?stressé par le bureau? Mettez vous en pijama, installez vous confortablement dans votre canapé, lancez le film "Last Days", attendez quelques minutes que le film fasse sont effet, et profitez d'une bonne nuit de sommeil. Un film soporifique que vous trouveré dans votre pharmacie Fnac la plus proche ;)