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    The Killing (US)
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    199 critiques spectateurs

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    dragoyo
    dragoyo

    92 abonnés 711 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 15 juillet 2016
    4,5/5 Au global cette série en 4 saisons est une vraie réussite qui monte crescendo en puissance au fil des saisons comme il est rare de le voir. Je conseille à tous ceux qui aiment les séries policières, thrillers ou enquêtes diverses. Le jeu d'acteur sonne tellement juste et le scénario est travaillé (reprise US d'une série qui avait fait ses preuves). Excellent.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    41 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 24 juin 2020
    Avec ses personnages sombres et torturés, la série est prenante et intéressante! Mais une fois achevée, on en peut s'empêcher de ressentir qu'on n'a pas cessé de se faire balader au fil des épisodes de fausses pistes en fausses pistes, inutiles et frustrantes, histoire de faire durer... Et le sentiment qu'on aurait pu passer du premier épisode directement au dernier, est terriblement agaçant et assez révélateur des tendances au remplissage du format série...
    kal-el 02
    kal-el 02

    97 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 15 février 2017
    Il est rare de pouvoir dire qu'un remake américain soit une réussite mais dans ce cas on ne peut que l'affirmer. The killing repose sur la résolution du meurtre de la jeune Rosie Larsen, pour lequel différentes parties sont étudiées: la famille, les enquêteurs, et le politicien en lice impliqué malgré lui. C'est avec joie que cette enquête, loin d'être bâclée, nous tient en allène pendant 2 saisons. Tous les détails ont leur importance, et en tant que spectateur, tout comme l'enquêtrice, notre avis sur la solution de ce meurtre change au fil des épisodes. L'atmosphère et les personnages prennent au cœur et nous plongent encore d'avantage dans le mystère. Ayant également vu la saison 3 c'était avec joie que l'on retrouve les deux protagonistes. Son atout aura été de ne pas reprendre la même histoire, et de se concentrer sur une autre affaire. Encore une fois, le pari était risqué mais le résultat n'en est que plus stupéfiant. Néanmoins, d'autres saisons ne me semblent pas nécessaires. De même, il vous ait possible de vous arrêter à la fin de la saison 2, la saison 3 n'étant pas réellement une suite des deux premières et moins prenante surtout, pareil pour la saison finale qui n'est pas à la hauteur de l'affaire rosie larsen dommage, mais c'est une série policiere qui vaut carrément le détour.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    96 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 18 mai 2015
    Fortement recommandable, le show policier de, respectivement, AMC et Netflix, The Killing, offre les qualités manquant à beaucoup de projets similaires. Revisite à la sauve américaine d’une série européenne à succès, plus précisément un show danois, la série bénéficie du même appui que son modèle scandinave. Bien des artisans danois de l’œuvre originale ont fait le déplacement Outre-Atlantique, notamment la showrunner Veena Sud. En de bonnes mains, soit dans l’élan d’un pessimiste latent typiquement nordique, les deux premières saisons sont des succès retentissants. La suite, un peu moins saluée, n’en restera pas moins une œuvre policière majeure, une partie d’échec douloureuse, fatigante pour les nerfs mais toujours très réaliste. La production choisit par ailleurs un lieu fort intéressant pour baser ses intrigues, soit la métropole parfois un peu oubliée de Seattle. Au porte du canada, dans un angle égaré des USA, la ville offre un terrain de jeu souvent pluvieux parfaitement adapté à la rigueur du ou des récits, prenant, comme parfois ailleurs, le rôle d’un véritable personnage, notamment de par les multitudes et sublimes prises aériennes de la ville.

    Tout commence avec la découverte du cadavre d’une jeune fille, la fameuse Rosie Larsen. Deux saisons durant, notre tandem de flics, les lieutenants Sarah Linden et Stephen Holder, s’acharneront à faire éclater la vérité, dans un bouillon malsain de politique, de famille et de problèmes internes. Le final satisfaisant de ces deux saisons qui n’en forme qu’une seule, du strict point de vue narratif, aura poussé la production à prolonger les souffrances des deux policiers, au travers d’une troisième saison plus sombre encore, là ou frappe la prostitution des mineurs, la pédophilie, la pornographie et les meurtres en série. Sans échappatoire envisageable, la quatrième et dernière saison du show, repris par Netflix entre temps, offrira, en dépit d’une intrigue annexe, une véritable fin à l’errance de nos amis lieutenants. La principale caractéristique de toutes ses péripéties, parfaitement complémentaires et toujours judicieuses, sera finalement la noirceur, la dramaturgie. Le ressenti humain s’avère alors l’élément clef dans la lecture d’une œuvre profondément sombre, mais qui par la force et la foi de certain, brillera de mille feux pour raviver une note d’espoir.

    The Killing c’est aussi deux comédiens parfaitement complémentaires et diablement efficaces. Je pense bien sûr à Mireille Enos, frêle d’apparence mais toujours d’une force de caractère inébranlable, et Joel Kinnaman, grand gaillard d’apparence indestructible mais rongé par tous les maux du monde. Les deux acteurs trouvent toujours le ton juste, entre complicité amicale, confrontation d’orgueil ou professionnelle. La petite dame et le grand bonhomme sont indiscutablement de parfaits personnages de séries, suffisamment complexes pour se révéler sur la durée, suffisamment attachants pour que l’on traîne dès les premiers instants dans leurs sillages sans regarder en arrière. Accessoirement, en forme de plus-value, notons les présences, dans des seconds rôles, de comédiens eux aussi talentueux, d’Elias Koteas à Peter Sarsgaard, notamment.

    Voilà donc une série, finalement plutôt concise mais largement suffisante, qui ravira les amateurs de polars, de sensations. Agréablement surpris par les intrigues proposées, ravi par une mise en scène très soignée, ébloui par des comédiens parfaitement à leurs places, je pourrais toutefois déplorer un léger manque d’originalité. En effet, à force de bouffer du policier jusqu’à l’indigestion, peut-être que mêmes les meilleurs exemples en pâtissent. Mais peu-importe, The Killing est une véritable réussite. Avis aux abonnés d’une certaine plateforme VOD. 16.5/20
    Sudhir
    Sudhir

    14 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 20 août 2018
    Saison 1-2 : Doté d'une i,interprétation (policiers, victimes, suspects) et d'un scénario solide (basé sur la série danoise) l'émotions nous gagne par moments. La réalisation tranche avec les autres séries US par un style radicale cependant les fausses pistes et certaines situations agacent car servent de prétexte à faire 2 saisons au lieu d'une. Dommage car il y a de réels éclats.
    Saison 3 : Plus concise, (certaines pistes sont juste effleurées), plus sombre (prostitution, des bas quartiers sans issus), en font une meilleure que les 2 premières : on touche à la perfection de The Wire.
    Saison 4 : l'univers militaire est plus difficile d’accès et les motivations des crimes restent flou. La tension du tandem Linden et Holder résultant de leur enquêtes, trouve un dénouement quasi mystique.
    Dan S.
    Dan S.

    16 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 2 janvier 2015
    Les deux premieres saisons sont à retenir car elles sont puissantes. On aurait pu s'arrêter là. Une troisième qui se respecte et une quatrième à côté de la plaque du concept. Mais ? car oui il y a un "mais". Linden et Holder font la force de cette série (les acteurs n'y sont pas pour rien) et l'ambiance unique et sombre de chaque épisode vaut vraiment la peine de regarder The killing.
    Mélany T
    Mélany T

    26 abonnés 477 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 11 juin 2021
    Très belle série à la mise en scène soignée et travaillée et aux personnages profonds. Les retournements de situation ne sont pas toujours nécessaires et le manque de mixité est dommageable mais l'ensemble reste prenant et intelligent.
    Chris Art
    Chris Art

    71 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 25 août 2014
    (...) The Killing est l’adaptation de la série danoise Forbrydelsen, écrite par Soren Sveistrup. Il devient ici producteur, laissant le soin à Veena Sud, de retranscrire l’atmosphère sombre de son œuvre originale. Durant 4 saisons, nous allons suivre les enquêtes et états d’âmes, du duo Sarah Linden (Mireille Enos) et Stephen Holder (Joel Kinnaman), dans la ville pluvieuse de Seattle.
    (...) Le duo marche à merveille. Les deux protagonistes sont aussi sombres que leurs enquêtes et le climat de cette ville, qui est un personnage à part entière dans le déroulement de l’histoire.
    La première enquête s’étale sur 2 saisons. Il s’agit du viol et meurtre de Rosie Larsen (Katie Findley), dont le corps a été retrouvé dans le coffre d’une voiture de campagne du conseiller municipal Darren Richmond (Billy Campbell), candidat à la mairie de Seattle. Nous allons découvrir les deux inspecteurs dans leur enquête, mais aussi les répercussions de cette perte au sein de sa famille, et les conséquences sur la campagne politique. Rosie Larsen, fait penser à Laura Palmer dans Twin Peaks. Une jeune femme avec ses nombreuses zones d’ombre, qui n’est pas vraiment celle qu’elle prétendait être. Mais il en est de même de ses parents (Michelle Forbes et Brent Sexton). Le passé ressurgit face à ce meurtre et les pistes se multiplient… Les apparences sont trompeuses et l’on va nous mener, ou plutôt nous balader, dans toutes les directions. Les coupables sont nombreux. C’est un jeu de piste, ou nous sommes autant mis à contribution, que les deux inspecteurs. Cela ne se regarde pas, cela se vit. L’enquête ne se résout pas en un clin d’œil. Le fait qu’elle se passe durant deux saisons, démontre l’exigence demandée au spectateur (ce qui a failli coûter à la série une annulation à la fin de la saison 2). Ce n’est pas du CSI, les personnages ont une profondeur psychologique et leurs zones obscures, ne sont pas occultées.
    Après avoir été sauvée par la Fox, par le biais de Netflix, une saison 3 démarre, tout comme une nouvelle enquête. Cette fois-ci, Veena Sud nous emmène à la rencontre de jeunes SDF vivant dans le centre-ville de Seattle. Des enfants sans repères, en quête d’identité, mais aussi plein de rêves, se retrouvant comme cible d’un tueur en série. Problème, celui-ci est censé être derrière les barreaux. C’est Tom Seward (Peter Sarsgaard), arrêté par Sarah Linden, des années auparavant. Il a avoué ses crimes, mais en se retrouvant dans le couloir de la mort, il décide de revenir sur ses aveux. Une course contre la montre s’engage pour les deux inspecteurs, qui doivent trouver le vrai coupable, avant que son exécution ait lieu. Mais dit-il vraiment la vérité ?
    (...) Une nouvelle fois sauvée par Netflix, la saison 4 sera plus courte que les autres, avec seulement 6 épisodes. Toute la famille de Cameron Stanton (Tyler Ross) a été assassinée dans leur maison, lui-même est blessé à la tête. Il est entre la vie et la mort à l’hôpital. Sarah Linden et Stephen Holder se retrouvent au cœur de l’enquête, mais ils vont devoir composer avec Margaret O’Neal (Joan Allen), qui dirige l’école militaire, dans laquelle étudie Cameron Stanton. Mais comme souvent, la vie personnelle des inspecteurs vont perturber le cours des événements. L’enquête précédente, n’étant pas vraiment résolue selon l’inspecteur Carl Reddick (Gregg Henry), une paranoïa s’installe au sein du duo.
    (...)Ce fût 4 saisons exceptionnelles. The Killing a permis et inspiré la création de nouvelles séries policières, aussi sombres, voire glauques. Mireille Enos et Joel Kinnaman sont parfaits et le cinéma ne s’est pas trompé en leur offrant divers rôles dans de grosses productions, comme Millenium et Robocop pour lui, Gangster Squad et World War Z pour elle.
    Veena Sud a tenu le show sur ses jeunes épaules peu expérimentées avec succès, s’offrant même le luxe de diriger un épisode. Mieux encore, Jonathan Demme est à la réalisation du dernier épisode. Une nouvelle preuve de l’excellence de cette série, qui aura vécu une production compliquée, mais aura réussit à survivre et à nous offrir une fin exceptionnelle.
    Caroline S
    Caroline S

    14 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 17 février 2015
    Une série convaincante, le spectateur est plongé dans l'intrigue. J'en aurais voulu davantage.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 3 mars 2018
    decouvert cette serie par hasard sur netflix j en suis devenu accroc ! des enquetes passionnantes . on s attache aux personnages malgre un manque de charisme au premier abord lol a suivre !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 22 février 2015
    Je viens de finir la 4eme saison et c'est vraiment une série qui va me manquer énormément car on s'attache vraiment aux personnages... Un style que j'avais jamais vu auparavant et j'ai vraiment adoré ce duo d'acteurs vraiment fantastiques ! Merci à Netflix d'avoir pu donner une saison 4 pour achever cette superbe série qui n'aurait jamais du voir la fin !!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 2 octobre 2016
    A tout ceux qui aiment les séries Thriller, The Killing est vraiment la série à voir ! La saison 1 et 2 est magnifique, les deux saisons suivantes s'éssouflent un peu et sont un peu plus prévisible mais elle reste de belle facture et le duo d'enquêteur fonctionne à merveille ! j'ai pas pris une claque sur une série dans ce genre depuis True Détective !
    JPGcine
    JPGcine

    8 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 18 novembre 2015
    Glauque mais tellement réussi ! Encore une série ou on a envie de voir les deux saisons en un week-end. Tous les acteurs sont top et l'histoire, bien que un peu trop délayée à mon avis, vous tient scotché pendant toute la pluie....car il faut bien le dire, il ne fait que pleuvoir à Seattle!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    très bonne série bonne et agréable surprise j'ai commencé à la regarder sans trop savoir si j'allais continuer ou non et finalement je l'ai regardée du début à la fin et j'ai vraiment aimé!
    l'intrigue y est très présente et le fait qu'il n'y ai pas une enquête par épisode est surement une des forces de cette série, on se met à enquêter en même temps qu'eux et c'est vraiment prenant!
    spoiler: J'ai trouvé la fin un peu bâclée par contre je trouve qu'une "happy end" est dommage mais à part ça c'est quand même réussi.

    je sais que c'est un remaque d'une série suédoise ou danoise je ne sais plus trop, je n'ai pas vu l'originale d'après ce que j'ai lu c'est également une bonne série donc à voir je la regarderai probablement et j'en ferai une critique.
    bonne série pour les amateurs de série policière, ça change des experts ou esprit criminelle je la conseille en tout cas!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 21 mai 2016
    The Killing est la meilleure série policière jamais réalisée. Après trois saisons et demie seulement, les aventures de Holder et Lindel se sont pourtant arrêtées par défaut d’engouement des spectateurs. Trois raisons peuvent expliquer le fait que tout le monde soit passé à côté de ce chef-d'œuvre :
    La première est que The Killing n’accroche pas l’attention dès le premier épisode. Entrer dans son univers nécessite un petit effort. Le décor se met lentement en place, l’enquête est lente à démarrer… Je dirai qu’il faut au moins à parvenir au septième épisode pour commencer à se passionner pour l’intrigue (mais qu’est-ce que sept petits épisodes, comparés aux trente-huit suivants remarquables ?)
    La seconde raison est que la série ne joue absolument pas sur le côté glamour de ses personnages (la plupart sont instables psychologiquement et cela se répercute sur leur physique) La palme revient à Mireille Enos qui ne se montre vraiment pas à son avantage et assume parfaitement son rôle de flic paumée avec son éternelle queue de cheval qui cache difficilement ses cheveux mal peignés, ses pulls de grands-mères, son visage blafard, ses lèvres toujours sèches au point que le spectateur a envie de lui offrir un stick de Labello à la fin de chaque épisode…
    La troisième est que la série ne mise pas non plus sur le tape-à-l’œil. La réalisation est sobre, épurée, limite académique, sans grand travail sur la lumière ou les cadrages. On est bien loin de True Detective, par exemple qui cherchait de manière un peu trop ostentatoire à épater la galerie dans son esthétisme. Pas trop d’effets spéciaux non plus : pas de poursuite en voiture, ni de combat à couper me souffle… À l’heure de Game of Thrones où on peut être ébahi par la prouesse technique d’une bataille de dragons au dessus d’une armée de milliers de morts, là, on passe de longues séquences à observer nos deux héros en planque dans leur caisse, à fumer des clopes.
    En réalité, les trois raisons citées plus haut ne sont en aucune façon des défauts. Elles démontrent tout simplement que The Killing n’obéit à aucune mode et reste hors norme et sans concession.
    Plus en détails :
    Les deux premières saisons atteignent la perfection tant dans l’histoire que dans le développement de ses personnages. (5/5)
    La troisième saison gagne en nervosité et se montre sacrément efficace. Cependant, elle perd légèrement de cohérence dans l’intrigue au moment du dénouement. En revanche, l’épaisseur psychologique des deux héros s’étoffe merveilleusement et il est impossible de ne pas devenir définitivement accro à Holder et Lindel. (4,9/5)
    La quatrième saison, plus courte, propose une intrigue plus simple, mais à ce stade, on s’en fout complètement. L’enjeu est tout autre. Le duo Holder et Lindel : voilà tout ce qui compte à présent. Constamment sur le fil, à deux doigts de craquer, ils sont au bout du rouleau et on prie pour que leur amitié résiste. Leurs interrogatoires de suspects deviennent des moments d’anthologie tant ces ceux-là n’ont plus de filtres. Et le final ! La dernière scène qui clôt la série est à vous tirer les larmes des yeux… (5/5)
    Dans le genre polar, cela faisait un bail qu’on n’avait pas rencontré des personnages aussi touchants et attachants. La dernière fois, cela devait être Lisbeth Salender dans Millenium (le roman)
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