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    Quand sort la recluse
    Quand sort la recluse
    Terminée
    2018 - 2019 | 90 min | Drame
    Avec Jean-Hugues Anglade, Jacques Spiesser, Sylvie Testud
    Nationalité France
    Presse
    3,6 9 critiques
    Spectateurs
    2,5 120 notes, 38 critiques
    noter :
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    Envie de voir

    Synopsis & Info

    Trois vieillards sont morts à quelques mois d'intervalle, après une piqûre d'araignée, la loxosceles rufescens. Le petit monde des arachnophiles s'affole : la bestiole aurait-elle muté après avoir ingéré trop de pesticides ? L'hypothèse d'Adamsberg est évidemment plus prosaïque : l'araignée ne cacherait-elle pas une série de meurtres ? Il ne lui en faut pas plus pour se lancer dans une enquête, au grand dam de Danglard, pas vraiment convaincue.

    1 Saison
    2 Episodes
    Jean-Hugues Anglade
    Rôle : Jean-Baptiste Adamsberg / Raphaël Adamsberg
    Jacques Spiesser
    Rôle : Danglard
    Sylvie Testud
    Rôle : Lieutenant Froissy
    Elisabeth Depardieu
    Rôle : Irène Royer-Ramier
    Quand sort la recluse : beau démarrage pour la mini-série de France 2
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    jeudi 11 avril 2019
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    mardi 21 août 2018
    • Photo Quand sort la recluse

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 071 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2019
    Josée Dayan a toujours donné le meilleur d'elle-même dans ses adaptations des romans de Fred Vargas dont elle a parfaitement compris l'ambiance. Toujours un plaisir de retrouver son brillant casting, Anglade, Spiesser, Masiero, Testud et les autres excellent et donne vie aux personnages créés par la romancière. Prenant et captivant, flirtant intelligemment avec le fantastique, "Quand sort la recluse" est l'une de ses plus grandes ...
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    Manuel O
    Manuel O

    32 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2019
    Noir, entêtant, brillant, sombre et plein d'aspérités. Tourbillons de névroses emmêlées les unes aux autres, tous ici luttent contre leurs penchants, addictions, obsessions, convictions, pour ne pas voir, entendre ou sentir l'ineffable, l'indisible, le tabou ultime. Au départ perturbant, le jeu, la mise en scène vous heurte puis vous séduisent. Une poésie troublante où l'on finit par être ému de recevoir un récit aussi glauque et ...
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    Laurence L.
    Laurence L.

    7 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 octobre 2019
    Bande de blaps, quelle adaptation !! Retour ( à la TV) dans le bestiaire fabuleux de Fred Vargas/Josée Dayan. Où on croise un énorme chat qui garde une photocopieuse, des araignées tueuses, des chèvres sacrifiées et des pigeons ! Ni fusillade, ni voiture qui explose. L'action se déroule dans la tête des protagonistes, une brigade de flics bien barrés mais efficaces : ça réfléchie, ça tergiverse, ça vagabonde. Un regret, comme pour ...
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    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 620 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2019
    Un polar qui prend son temps mais qui est passionnant malgré tout. Jean-Hugues Anglade campe merveilleusement le commissaire Adamsberg. Le reste du casting est lui aussi remarquable. Ils forment ensemble une équipe d'enqueteurs hors norme, chacun ayant un style bien à lui, mais très attachants. Le scénario est bien agencé et nous amène petit à petit à la vérité sur meurtres à l'araignée. A noter aussi la très belle prestation ...
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    Fabien S.
    Fabien S.

    452 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2019
    une excellente série sur une très bonne enquête mystérieuse autour d'une piqûre d'une araignée . Une très bonne adaptation du roman de Fred Vargas

    La réaction des fans

    • coolcatfred
      Le problème dans tout les téléfilms tirés de Fred Vargas c’est que tous suivent à la lettre les romans, même les dialogues sont proches voire identiques : sauf que avec un livre ça passe un peu mieux alors que à la télé c’est juste horrible. Rien dans le roman comme dans le film n’est crédibleTout est mou, romantique , stupide : du chat sur la photocopieuse, au jumeaux adamsberg qui vie en Camargue autour de chevaux, a Irène qui vit dans une baraque assez sympa Pas de banlieue chez Vargas, pas de hlm, pas de job pourri. Et l’autre là, pontifiant, prétentieux: c’est juste insupportable
    • coolcatfred
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    • Post-ado
      Je n'ai sans doute rien compris au film.En positif, il y a l'aspect didactique : j'ai découvert ce qu'étaient les différents sens du mot recluse ainsi que certaines réalités qui avaient existé.J'ai aussi découvert une certaine mécanique du mal, basée sur le confinement extrême d'une victime (comme l'araignée peut emprisonner ses proies) dans laquelle a germé un péché (subi) qui la ronge parce qu'elle s'est enfermée et n'a aucune aide spirituelle de l'extérieur : juste un peu de nourriture exclusivement matérielle.La recluse est donc une personne qui a été privée de tout pain, de toute respiration spirituelle.Et quand elle sort de cet état, on s'aperçoit que son esprit s'est dissout dans l'acide de ses souvenirs et qu'elle s'est transformée en quelque chose de terrible, qui l'a petit à petit mangée de l'intérieur.En négatif, il y a beaucoup de choses à dire, à commencer par l'irréalisme.Les grades et rapports entre les protagonistes ne sont pas plausibles, par exemple ceux entre le commissaire et le commandant : les commissaires ne mènent pas les enquêtes et les interpellations. Ce sont avant tout des gestionnaires. Certes, cela ne froissera pas la ménagère de plus de 50 ans. Un commandant a normalement une autre ampleur que ce personnage campé par Jacques Spiesser.Quand Sylvie Testud (le lieutenant Froissy) a son problème de voisinage, sa réaction de victime, et le traitement de l'affaire par ses collègues, sont complètement surnaturels/stupides/infantilisants. L'histoire de la chasse-d'eau n'a pas de sens et n'est pas expliquée (comment se déclenche-t-elle automatiquement ?). Bref, Froissy se présente davantage comme une candidate-recluse, plutôt que comme une femme officier de police.Je passe aussi sur le concours de circonstances complètement irréaliste de l'implication conjuguée de tous les protagonistes principaux : le commandant est personnellement impliqué (via son beau-frère) et le commissaire aussi (via son enfance). On va dire que c'est un artifice d'auteur (qui me heurte, comme dans toutes ces séries policières américaines qui tournent en rond sur leurs enquêteurs, 9 fois sur 10 pris à parti dans le scénario).Enfin je passe sur la multiplication, grossière, de doublons/duos : le commissaire (qui voit une recluse sur le chemin de Lourdes ... voyez vous ça !) et son frère jumeau (qui habite Sainte-Maire de la mer, endroit où aurait accosté la vierge), le commandant et son beau-frère, Irène (tueuse) et sa sœur (seulement victime), etc, etc, ad nauseam.A titre personnel, je trouve qu'un culte excessif voué à Marie aboutit à l'amour excessif de son engeance, à la réclusion communautariste, à l'obscurantisme d'une foi sans message axée sur le culte exclusif d'une figure qui n'enseigne rien, et qui ne vous renvoie que votre propre condition de personne se préoccupant, de façon inconditionnelle, d'êtres chers, contre d'autres êtres.J'ai détesté l'espèce de dérive sataniste de cette recluse (qui crache parterre à la simple mention d'un père, et arrive à convaincre tout le monde que se faire justice soi-même, et donc finir en prison, est la meilleure fin possible quand on a subi des crimes : non, ce n'est de loin pas la meilleure fin, c'est la pire. On peut neutraliser n'importe quelle offense terrestre par la spiritualité. Le moyen-age c'est justement ça : l'auto-vengeance).L'auteur ne prend aucun recul, alors qu'il suffisait de montrer un autre chemin (pour les victimes).On se complait dans le noir total. On s'attarde trop sur le récit des méfaits (photos, récits) et ça finit en justification de l'auto-défense, du plaisir de la revanche, et il n'y a pas la moindre trace de miséricorde (ou de libération, si on préfère) dans cette œuvre.C'était pourtant pas compliqué de porter un jugement sur le cercle vicieux du mal engendrant le mal.Absolument tout est incroyable, à commencer par la personne qui effectue la première les recherches sur les recluses dans ce commissariat (la seule qui n'a aucun rapport avec les faits : un lieutenant).Le cheveu féminin retrouvé est blond, alors qu'Irène est rousse.J'ai rien compris du tout à l'explication de la rencontre d'Irène et du commissaire au jardin des plantes : comment savait-elle qu'il y allait ce jour là ? Comment savait-elle qu'il s'était auto-investi de cette enquête ?Bref, tout ce scénario semble dériver en direct de l'univers interne d'un esprit un peu bizarre, et assez peu attaché à la cohérence. Pour moi c'est rédhibitoire dans le polar. C'est plein d'approximations, et la spiritualité distillée est fallacieuse. Le pseudo-repentant (Olivier Vessac) est littéralement présenté comme une petite b.ite et meurt exactement comme les autres.Je passe aussi sur ce commissaire (et sur une œuvre) qui se base trop sur des jeux de mots douteux (pigeon, pigeonnier, Irène, Chevrier, Seguin, etc) et essaye de nous en ajouter d'autres (issus de l'histoire : Saint Irénée mentionné comme un cheveu sur la soupe par exemple).Même la fable d'Alphonse Daudet est détournée par un raisonnement fou (on laisse entendre que le berger pourrait abuser lui-même de ses chèvres, et que le loup n'existe en fait pas). Le directeur du pensionnat est présenté comme une sorte de dieu mauvais, et on ne comprend absolument pas la cohérence qu'il y aurait entre son travail éducatif de fourmi (rédaction de cahiers sur chaque élève) et son attitude complaisante vis-à-vis du mal.Arditi symbolise le fils ... et on a donc une sorte de trinité maléfique, malmenant Marie. Bref, du grand n'importe quoi injecté comme un poison subliminal aux spectateurs (et sans doute aux lecteurs aussi) : le poison gnostique, avec son démiurge incompétent (le voilà le rapport avec Saint Irénée : ce dernier combattait le gnosticisme).On a l'air de vouloir attribuer des pouvoirs (qu'il n'a pas) au mal : Irène rencontrant le commissaire pour l'induire en erreur, cette technique de meurtre complètement improbable (doublée même vers la fin !), comme si personne ne voyait la différence entre une morsure et une injection faite par un fusil de vétérinaire (combien de temps ils passent à se demander comment 40 araignées pourraient mordre le même bonhomme, alors qu'il suffit de regarder un bras pour voir combien il y a de morsures).Je ne sais pas quoi dire d'autre (parler du jeu des acteurs ? ... non merci, je ne sombrerai pas là dedans) à part que je suis désolé par ce spectacle.
    • 8mmetdemi
      Je crois que je préfère encore José Garcia dans le rôle d'Adamsberg, plus crédible, bien que je n'imagine pas du tout Adamsberg, ni pour l'un ni pour l'autre. C'est à se demander si la prod a lu les romans !
    • Sylvie H
      Vous faites bien. Cette adaptation est catastrophique. Dialogues lourds et sur écrits. On dirait une telenovela... la musique est premier degré. Anglade joue comme un débutant. Tous les autres téléfilms étaient bien mais celui ci est vraiment nul nul nul nul !! Même Retancourt est grotesque. Déçue. Presque en colère !
    • 8mmetdemi
      Je préfère rester sur les délicieux romans de Fred Vargas ... :)
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