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    Venise 2013 : comment est reçu le premier film en anglais de Patrice Leconte ?

    Avec "A promise", projeté Hors Compétition, Patrice Leconte signe son premier long métrage en anglais, un drame romantique d'époque avec Rebecca Hall, Alan Rickman et Richard Madden. A Venise, les uns sont charmés tandis que les autres s'ennuient ferme...

    London Evening Standard (Derek Malcolm)

    Une grande histoire d’amour comme celle-là se devait d'être racontée avec la sensibilité appropriée pour tenir debout. Et Patrice Leconte, réalisateur expérimenté de classiques du cinéma français comme Monsieur Hire, sait exactement ce qu’il fait. Il en va de même pour Rebecca Hall, qui campe une femme fidèle envahie par la passion en évitant au film de tomber dans le cliché.

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    The New York Times (Roderick Conway Morris)

    Quel dommage que ce film réalisé et interprété avec talent ne soit pas en compétition (…) Le triangle amoureux est exploré avec une infinie délicatesse.

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    Levif (Jean-François Pluigers)

    S'appuyant sur un trio d'acteurs exemplaire, Patrice Leconte signe un drame romantique classique, déclinant la figure du triangle en mode inspiré à défaut d'être franchement original.

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    The Hollywood Reporter (David Rooney)

    Une Promesse n’est pas tout à fait un de ces embarrassants euro-puddings si nombreux jadis, mais c’est presque pire : le film est tout simplement ennuyeux. Il y a si peu d’étincelle entre Hall et Madden qu’on n’a aucune raison de s’inquiéter de savoir si leurs personnages finiront ensemble.

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    Variety (Justin Chang)

    Emmené par les prestations ternes des trois comédiens, ce film maladroit et dénué de passion ne véhIcule ni la sensualité ni l’impression de désir durable qu’exigeait ce film d’époque autour d’un jeune secrétaire qui tombe amoureux de la femme de son patron.

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    ThePlaylist (Oliver Lyttleton)

    Leconte n’a jamais été le plus avant-gardiste des cinéastes, mais A promise est si dépourvu de tout ce qui pourrait s’approcher d’une audace que c’est comme si on regardait une sphère beige pendant environ 90 minutes –et ça parait même plus long.

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    La bande-annonce du précédent film de Patrice Leconte, "Le Magasin des suicides"

    Le Magasin des suicides

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