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    Presse US : Bad Teacher, "une sitcom qui réchauffe le cœur"

    L'adaptation télé du long métrage avec Cameron Diaz a vu le jour sur les écrans américains. Qu'en ont pensé les critiques US de cette nouvelle comédie avec Ari Graynor dans la peau de l'héroïne ?

    CBS Broadcasting Inc

    Synopsis :  Lorsque son mari demande le divorce, Meredith Davis se retrouve à la rue, sans le sou, et n'a plus qu'une idée en tête : mettre le grappin sur un nouvel homme riche ! Et pour cela, elle a un plan : elle va se faire engager en tant que professeure dans une école huppée afin de rencontrer un maximum de pères célibataires, divorcés ou... ouverts à toutes propositions. Mais Meredith n'est vraiment pas faite pour enseigner...

    Adaptée pour la télévision par Hilary Winston.

    Avec Ari Graynor, Sara Gilbert, Ryan Hansen...

    Diffusion aux Etats-Unis depuis le 24 avril 2014 sur CBS.

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    Les critiques

    Selon People Weekly :

    "L’équipe de Bad Teacher est parvenue à transformer avec succès le film graveleux en une sitcom qui réchauffe le cœur. Ari Graynor y est très mauvaise, mais dans le bon sens du terme." 4,5/5

    Selon Los Angeles Times :

    "Le personnage d’Ari Graynor, à l’inverse de celui de Cameron Diaz, n’est pas une sociopathe purement égoïste et grossière. Elle est ici une femme blessée, et non une femme blessante. […] Dans l’ensemble, la série est une farce très agréable à regarder ; on est heureux de retrouver ces acteurs de second plan sur le petit écran. Graynor incarne ce professeur avec grâce et bagout." 3,5/5

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    Selon The Wrap :

    "L’esprit gentillet et les performances des acteurs de Bad Teacher empêchent le show de tomber dans le piège du 'toujours plus graveleux' de la série qui la précède, Mon Oncle Charlie." 3,5/5

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    Selon Variety :

    "Cette adaptation du film devient rapidement prévisible. […] Au final, la série aurait plutôt dû s’appeler ‘Bad Teacher en talons hauts, aux réactions inappropriées, mais avec un grand cœur’. Cependant, à son niveau, le show se révèle assez divertissant." 3/5

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    Selon New York Times :

    "Comme c’est souvent le cas, le premier épisode en fait trop, et n’est pas aussi drôle qu’il aurait pu. L’écriture se lâche un peu plus tard, et gagne un certain charme." 3/5

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    Selon Hitfix :

    "[Bad Teacher] possède la structure d’une comédie noire, mais il lui en manque la volonté, ou peut-être la permission de CBS. Très vite, et trop souvent, nous est rappelé que sous les robes moulantes et aguichantes de Meredith se cache un cœur en or." 2.5/5

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    Selon le San Francisco Chronicle :

    "La sitcom est plus drôle que le film, sûrement en raison du format plus court, mais aussi grâce aux performances des acteurs. […] Le casting est excellent, surtout chez les jeunes acteurs. […] Kristin Davis, très bien elle aussi, est malheureusement sous-utilisée." 2.5/5

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    Selon Philadelphia Daily News :

    "Bad Teacher a ses moments, avec des dialogues parfois plus fins que la situation dans laquelle ils s’inscrivent. Mais le tout n’est pas assez drôle pour donner envie de passer une journée de plus, et encore moins le reste de l’année scolaire, à suivre Graynor se frayer un chemin au milieu des cours d’histoire américaine." 1.5/5

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    Selon Newsday :

    "Meredith, le personnage principal, n’est pas une horrible personne, juste un cliché transparent. Hilary Winston, la showrunner, a transformé ce film avec une épouvantable héroïne en une sitcom grand public, avec quelques blagues grossières et une gentille fille qui donne le sourire à chaque fin d’épisode, car elle a finalement aidé ses élèves au lieu d’agir égoïstement. […] Bad Teacher avait en réalité besoin de devenir plus intelligente, plus incisive, plus drôle, mais surtout plus adulte." 1,5/5

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    Selon le Washington Post :

    "Il est difficile de rire des frasques de l’immorale Meredith et de son indifférence vis-à-vis de son travail, alors qu’on la voit au final aider une petite fille rejetée par les plus populaires de l’école. Le show est une comédie – façon de parler – qui ne fait que renforcer l’idée qu’entreprendre une carrière d’enseignant est vraiment l’issue de dépannage." 1/5

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