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    Miraculous sur Disney+ : 5 choses à savoir sur la super-héroïne préférée des enfants
    Julia Fernandez
    Julia Fernandez
    -Journaliste Séries TV
    Elevée à « La Trilogie du samedi », accro aux séries HBO, aux sitcoms et aux dramas britanniques, elle suit avec curiosité et enthousiasme l’évolution des séries françaises. Peu importe le genre et le format, tant que les fictions sortent des sentiers battus et aident la société à se raconter.

    Le 26 juin, la plateforme met en ligne les deux premières saisons de la série d'animation créée par Thomas Astruc, qui fait un carton auprès du jeune public. Découvrez cinq infos insolites à son sujet !

    De quoi ça parle ?

    Marinette et Adrien sont deux collégiens comme les autres... ou presque : à la moindre menace sur Paris, ils deviennent les super-héros Ladybug et Chat Noir. Leur mission : capturer les Akoumas du mystérieux Papillon qui transforment les Parisiens en supervilains ! Si les deux héros font équipe, chacun ignore la véritable identité de l’autre : Marinette ne sait pas que derrière Chat Noir se cache Adrien, le garçon qu’elle aime secrètement ; et Adrien, dont le cœur bat pour Ladybug, ignore que derrière le costume de la superhéroïne se dissimule la fille sympa et tête en l’air de sa classe…

    • Ladybug s'inspire d'une collègue du créateur

    Créateur de la série animée, Thomas Astruc trouve l'idée de la série Miraculous grâce à une de ses collègues dans le studio d'animation où ils travaillent. Nouvelle venue dans l'équipe, celle-ci porte le jour de son arrivée un t-shirt avec une coccinelle. Tous deux commencent alors à s'échanger de petits croquis humoristiques sur des posts-it à ce sujet. Un jour, Astruc a l'idée de dessiner sa collègue en super-héroïne coccinelle. Ladybug est née !

    • La série devait initialement se dérouler à Hong Kong

    Grand amateur de la région, Thomas Astruc la trouve très propice à des aventures de super-héros. Pensant qu'il est difficile de situer des séries animés d'action en France, il se met à la recherche d'une ville internationale pour y placer son intrigue. Jusqu'à ce que Jérémy Zag, producteur de Miraculous, lui suggère au contraire d'assumer le côté français et de s'amuser avec. Un choix qui s'avère judicieux au vu de la popularité de la série et du rayonnement de la capitale française : à ce jour, Miraculous a vendu ses droits de diffusion à près de 120 pays.

    • Un trio de méchantes en clin d'oeil à Totally Spies 

    Dans la première version du concept de Miraculous, Alix, Chloé et Sabrina forment un trio de pestes qui mettent des bâtons dans les roues de Marinette/Ladybug. Leurs prénoms sont choisis en référence à la célèbre série d'animation française Totally Spies et à ses trois héroïnes, Alex, Clover et Samantha.

    • Une guest insolite

    Dans l'un des épisodes de Miraculous où doit apparaître un metteur en scène, les créateurs décident d'en faire un personnage féminin et de s'inspirer d'une star. Leur choix s'arrête sur l'actrice et réalisatrice Josiane Balasko, dont tous deux sont de grands admirateurs, à qui ils proposent de se doubler elle-même pour l'occasion ! 

    • Le pilote de la série était en 2D

    Coproduite avec la célèbre société d'animation japonaise TOEI, Miraculous est tout d'abord pensée en animation 2D traditionnelle. Suite à une projection de l'OAV Pretty Cure en 2010, produit par TOEI et dont l'histoire se déroule à Paris, Thomas Astruc et Jérémy Zag, très impressionnés par la reconstitution de la capitale, proposent aux studios japonais de collaborer ensemble sur le projet de série. "Comme Miraculous est un show qui emprunte beaucoup aux codes des Magical Girl, c'était tout à fait naturel d'aller vers eux (...), de profiter de leur expérience et de voir si on pouvait faire [Miraculous] en 2D avec TOEI", explique Thomas Astruc au micro d'Allociné. Après un pilote réalisé en 2D, la série est finalement modélisée en 3D dans le style que nous connaissons.

    Pour enseigner les gestes barrières aux enfants face au Coronavirus, le studio d'animation de Miraculous a mis en ligne depuis le 18 mai un spot préventif, en collaboration avec la Ville de Paris et UNICEF France. Découvrez la vidéo :

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