Derniers Avis : Starship Troopers 3 - Page 2

La Plus grande blague que j avais pas vu depuis longtemps!!!! OMG mais c'est quoi ce navet!!!! Qu est ce qui s est passé dans la tête des producteurs???!!!!!!!! Les effets nul a chier, l histoire NUL!!!! Une merde!!! Passez mais alors passez vite votre chemin!!!!

Un véritable ratage . Les effets spéciaux sont très en dessous de se a quoi nous avez habituer les précédent film , de plus les acteur sont complètement ridicule . Ce film aura eu au moins le mérite de me faire rire tellement il était ridicule . Je ne peut pas vous le recommander bien évidement , néanmoins le premier avait vraiment le mérite d'exister donc je vous conseillerai le premier .

Le scénario est déjà un peu mieux que "Starship Troopers 2" (ce qui n'est pas un exploit et ne prouve pas non plus que c'est un bon scénario) mais par contre, le film est très très moche, pas une image n'est correcte et les effets spéciaux sont catastrophiques.

Demi teinte pour cette série B qui est une caricature d'elle même. On se demande si c'est fait exprès ou non ? Des sujets intéressants y sont traités : l'omniprésence du culte du chef, la propagande des médias et un militarisme exacerbé mais cela ne peut rattrapper un scénario baclé, une interprétation très lègère des acteurs, des effets spéciaux pas toujours adaptés et malgré une efficacité recherché tout du long, le réalisateur peine à nous convaincre ; le premier opus est de loin le meilleur.

Mais qu'est ce qui est passé dans la tête des producteurs ? Ce film est d'une faiblesse ! Les effets spéciaux sont nuls et le scénario basique. Laissez tomber !

Quand on évoque Starship Troopers, on se souvient tous du jeune John Rico, tout juste sorti du lycée et qui décide de s'engager dans l'infanterie mobile pour dégommer de la bestiole et suivre sa petite amie dans l'armée fédéral. 8 ans plus tard, on retrouve de Lieutenant Rico, devenu Colonel dans de nouvelles aventures mais sans ses "Affreux". Et bien, il aurait mieux fait de démissionner de l'armée fédérale, ça lui aurait éviter de participer à ce navet. Pourtant, tout partait bien, on retrouve dans ce troisième opus, Casper Van Dien, héros du premier volet. Mais voila, pas fou, Denise Richards (dont il faut noter que la carrière est au point mort depuis pas mal de temps) et Neil Patrick Harris (actuellement Barney Stinson de How I Met Your Mother) manquent à l'appel. Le réalisateur Paul Verhoeven, spécialiste de la science-fiction cède avec bien du plaisir sa place à la réalisation Edward Neumeier qui avait pourtant signer le scénario du premier volet. Maintenant que dire de ce film, scénario inexistant, jeu d'acteur pitoyable, effets spéciaux catastrophiques, personnages inintéressants... Ce film est un énorme raté et vos mieux se souvenir uniquement du premier volet qui est culte aujourd'hui. spoiler: De plus, l'omniprésence de la religion est insupportable...
En gros, ce film est une daube, regarder seulement le premier et dites vous qu'il n'y a pas de suite.

Pas mal à part ses horribles effets spéciaux ( car dans le deux les effets spéciaux étais bien c'est la seul bonne chose du film sinon rien à sauver ) il n'a pas le charme du premier mais pas mal du tout.

On relève un peu la barre avec ce 3e opus, avec notamment le retour de Casper Van Dien, le héros du 1er. Le film est pas mauvais mais pas top non plus... je lui met quand même la moyenne : 2,5/5

Starship Troopers 3 c’est fait laminer par la critique. J’avoue ne pas comprendre. Certes il ne vaut pas le 1, mais enfin on ne peut clairement pas les mettre l’un au regard de l’autre. Ce n’est pas le même budget du tout. Il y a un moment donné où il faut avoir un minimum de respect pour une œuvre, en ne faisant pas des comparaisons d’une bêtise navrante. Certes ce n’est pas un grand film. Mais avec 9 millions, il ne s’en tire pas mal du tout.
L’interprétation est meilleure que celle du 2. Van Dien est de retour, c’est très bien. Son personnage a évolué, et même si lui n’assure pas autant que dans le 1, c’est agréable de voir qu’il y a réellement eu une relecture du personnage. A ses cotés on a de nouveau un casting féminin avec Jolene Blalock et Amanda Donohoe. On sent que c’est là un écho au premier volet. Là encore, même si le niveau n’est pas le même, c’est très passable et les actrices s’investissent dans leurs personnages. Pour le reste Boris Kodjoe est très convaincant. Stephen Hogan n’est pas mauvais non plus, et son rôle est très typé, de sorte qu’il se distingue vraiment. Ensuite il y a du bon et du moins bon, comme dans la plupart des films (Marnette Patterson a vraiment beaucoup de charme au passage).
Le scénario a du bon et du moins bon. Le bon c’est sa manière de reprendre l’esprit du 1. Starship troopers 3 développe l’univers crée par le premier épisode, et le fait avec intelligence. Par ailleurs il reprend l’idée bienvenue des inserts publicitaires dopés à l’humour noir et très réjouissants. Le rythme est là, mais la dernière partie se plante un peu. Autant le début est enthousiasmant, autant la deuxième partie est moyenne. Non seulement la cassure est très nette avec le reste, mais en plus la crédibilité s’effritent, le rythme s’affaisse, et il y a indigestion de mysticisme pseudo-religieux pas terrible. Encore une fois pourquoi pas, mais il ne faut pas que cela se fasse au détriment du reste, hors là, malheureusement c’est le cas. La conclusion est par ailleurs moyennement convaincante.
Sur la forme avec 9 millions, pas besoin d’espérer aussi bien que le 1. Les effets spéciaux sont nettement inférieurs, même si la première attaque du camp est solide et très bien menées. Dans l’ensemble le film est assez généreux et si tout n’est pas parfait, c’est quand même un bon point. Il y a aussi une certaine violence, musclée. Ce n’est pas aussi gore que le métrage de Verhoeven, mais c’est dans le même esprit. La mise en scène de Neumeier est ma foi très correcte, même si on sent qu’il n’a pas une grande expérience de ce point de vue. La fin en est un exemple, avec un travail pas complètement maitrisé. La photographie est solide, bien qu’un peu sombre au début. Les décors sont au point, avec là encore, en dépit d’un budget faiblard, une esthétique qui rappelle bien celle du 1. A noter enfin une bonne bande son qui, sans avoir l’envergure de celle de Poledouris est convenable.
En clair, il ne faut pas chercher là un travail du niveau de celui de Verhoeven. Mais enfin, pour un film de SF à petit budget, il s’avère non seulement très ambitieux sur le fond, et formellement efficace. C’est sur qu’avec 100 millions, effets spéciaux, décors, ampleur des combats, auraient été nettement supérieurs et auraient permis à Neumeier de donner à son scénario plus d’allure, mais ne boudons pas notre plaisir. Il est dommage qu’en même que la seconde partie soit à la peine, mais dans l’ensemble voilà un divertissement plaisant, qui ne mérite, mais alors absolument pas, les critiques massacrantes.

On y retrouve la verve incisive du premier volet. Dans l'état c'est déjà beaucoup, ou le stricte minimum. On appréciera davantage encore que l'auteur/scénariste, nouvellement réalisateur, tienne son film à bout de bras, et avec une certaine rigueur pas négligeable.

Pas mal. Vu les commentaires, je m'attendais à pire et je trouve les uniformes et costumes remarquablement bien dessinés !!

Plus ou moins dans le style du premier, cette suite renoue avec le second degrés en y rajoutant une critique de la religion. Dommage, il y a beaucoup d'élément assez comique, mais la vision d'ensemble n'est pas assez fine, les scènes d'actions pas assez distrayantes et la SF pas assez développée pour que le film se mette au niveau de celui de Paul Verhoeven.

Le troisième volet n'a hélas plus rien à voir avec la qualité du premier.
Par contre il a encore a voir avec la nullité du deuxième.
Le second degrés et l'ironie disparus dans le deuxième revient mais ne semble pas avoir été bien
compris par ceux qui ont fabriqués ce navet. Le second degrés de Verhoeven est ici reproduit et caricaturé trés grossièrement sans être compris,
Le film se perd dans un scénario alambiqué totalement idiot alors qu'un scénario,qu'il soit simple ou complexe est absolument inutile dans cette série puisque Starship Troopers est avant tout une ambiance.
Pas besoin de scénario dans Star Ship Troopers. Ce qui compte ce sont les grosses bébêtes, les bidasses à l'instruction qui défouraille et qui finissent en pâté de campagne, les gros vaisseaux qui crament le tout dans un emballage de pubs et de propagandes parodiques.
La volonté de vouloir raconter une histoire montre que le concept n'a pas était compris par ceux qui ont ratés le 2 suivis de ceux qui ont ratés le 3.
C'est difficile de comparer deux navets, mais le 3 est peut-être mieux que le 2 car il ose les scènes en extérieures jours et les plans larges. L'indigence des effets spéciaux n'est pas cachée et c'est une démarche qui à le mérite d'être honnête.
Plus lumineux que le 2, avec une meilleure photo, mais tout aussi raté et pitoyable.
Considérons qu'il n'y n'y en a qu'un seul, le premier et qu'aucune suite n'existe.
Ce qui est fort dommage.

Ce qui est subversif et dénonciateur dans le film de Verhoeven est repris au premier degré ici. C'est mieux que le second qui était plus un film de mort-vivants qu'un film de SF. On suit à peu près l'histoire, par contre, c'est très mal rythmé, on sent qu'il fallait allonger les scènes dans les décors "cheap" pour éviter au spectateur les scènes avec les fameux Marauders du titre, qui ont dû coûter plus cher à la production pour des effets déplorables. Bref, ça n'invente rien, ça ne fait que suivre, et les acteurs font ce qu'ils peuvent pour s'accrocher aux branches.

Un film à ne voir que si on aime le genre, très loin derrière le premier volet mais largement meilleur que le second. Le jeu des acteurs est correct pour ce genre de film de série B, mais les effets spéciaux sont très limites.
L’intrigue est acceptable, même si l’histoire souffre de quelques lenteurs parfois. Le grand moins de ce film est le « délire » religieux, avec lequel on frise le ridicule, on peut se demander si ce délire mystique est volontaire et serait une sorte de parodie de films ultra-moralisateurs.