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    Je suis un cyborg
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    119 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 juillet 2008
    Excellent film, très original. Un bon moment derrière l'écran !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juillet 2008
    Park Chan-wook nous prouve une fois de plus sont incroyable talent ! Ce film est déroutant et tendre, rien de tel pour bien décompresser. Et un grand bravo à l'équipe post-production pour les effets-visuels particuliers ! A noter une superbe bande-originale !
    titiro
    titiro

    38 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2008
    Le génial Park Chan Wook prouve, après avoir achevé sa superbe trilogie sur la vengeance, qu'il peut changer de registre sans aucun problème. Il nous offre une histoire d'amour belle et loufoque, avec un parfum de "vol au-dessus d'un nid de coucou". Le film est encore une fois réalisé avec talent, avec pas mal de bonnes idées de mise en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2008
    j'adore vraiment ce réalisateur et pour le coup il m'a bluffé on peut pas dire que ce ressemble a sa trilogie de la vengeance mais ce film est vraiment au top. Un film qui ne ressemble a aucun autre d'ailleurs.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 avril 2008
    J'ai beaucoup aimé ce film. "I'm a cyborg" est une comédie romantique qui ne ressemble à aucune autre. Le film est visuellement très beau (notamment la scène d'ouverture dans l'usine) mais la réussite de ce film est surtout de créer de la sympathie pour des personnages dérangés. Le film ne se focalise pas seulement sur l'histoire d'amour entre les deux héros mais aussi sur leur histoires personnelles, permettant aux spectateurs de comprendre et ainsi de compâtir à leurs maux. De plus, les deux amoureux sont mignons tout plein. Une raison de plus de voir ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 avril 2008
    Un très beau film côtoyant le délire pour finalement toucher un but bien réel.
    Et un film qui au final est loin d'être aussi dingue qu'il n'y parait, une très belle réussite de Park Chan Wook qui relève du tour de force conte tenu de l'univers dans lequel l'action évolue.
    dralnar
    dralnar

    14 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2008
    Voici voila le dernier Park Chan Wook, realisateur entre autre du tres bon "Old boy" recompensé justement a Cannes par le prix du Jury et aussi de l'un des meilleurs film que j'ai pu voir le cultissime mais moins connu "Sympathy for Mr Veangeance"!
    C'est donc avec impatience que j'attendais son prochain opus et apres sa vision je suis mitigé. Tout d'abord, le scenario tout déjanté et original qu'il soit est trop long, trop confus et j'ai failli decroché a la fin de la premiere heure. Heuresement apres par la suite, le film s'eclaircit, et on comprend mieux la psychologie des personnages, et le pourquoi du comportement de l'héroine.
    Ensuite, j'ai trouvé les acteurs trés bon dans ce difficile exercice qu'etait l'interprétation de ces roles et la réalisation assez soigné offrant de superbes images par moment avec un musique qui colle bien au film.
    Meme si plusieurs thêmes sont ici evoqués, je crois que le theme principal du film est de souligner l'importance que certains évenements vécus pendant l'enfance peuvent avoir sur le déroulement de notre vie. Ici, l'heroine (dont je ne me rapelle plus le nom!!) a vécu son enfance a reparer des radios aupres de sa grand mére atteint d'alzeihmer qui ne mangeait que des radis... conséquence dans sa vie adulte, elle se prend pour un cyborg avec pour code d'honneur 7 pechés capitaux assez spéciaux!!!???
    Park Chan Wook traite donc ici l'importance des evenement passés de maniere assez loufoque. On peut retrouver quasiment le même theme abordé mais de maniére totalement opposé par la trés bonne trilogie de Andrew law "Infernal Affairs" ou il est montré que ce ne sont pas les hommes qui font les évenements, mais bien les évenements qui font les hommes.
    Bref, dans l"ensemble, dommage que le film rame pendant 1 heure, de trés bonne trouvailles avec des scenes tres jolies, notamment lorque l'heroine se fait "reparé" par son ami, et un scénario déjanté et original. A voir si vous etes fan de Park Chan Wook donc.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mars 2008
    Ce film est un hymne à l'amour touchant avec juste ce qu'il faut de folie.
    Il se déroule dans un asile, et, au final, celui qu'on croit être le plus dingue se révèle être quelqu'un d'attentionné et qui essaie de soigner les autres à sa manière.

    Plein de petites attention anodines, d'inventivité (dont le fameux rizmégatron!) et de charme, ce film est émouvant, loin des clichés romantiques à l'eau de rose il fait du bien au spectateur, redonne le sourire et met un peu de beaume au coeur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 mars 2008
    Quel plaisir de retrouver Park Chan Wook dans un autre registre que celui dans lequel il s'inscrit généralement !

    Magique, poétique, romantique, "Je suis un Cyborg" m'a entièrement séduite de par son univers visuel surprenant et surréaliste.

    "Je suis un Cyborg", magnifique ode à l'amour, met en lumière des êtres considérés comme différents, aux yeux de la société, des êtres pourtant vrais et sincères, essayant tous d'atteindre leur rêve.

    Un conseil : Suivez ce chemin tortueux que vous offre Park Chan Wook et laissez vous transporter vers un monde fantaisiste et flamboyant, empli de mélancolie envoûtante !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 février 2008
    Young-Goon (Lim Soo-Jung) “est persuadée d’être un cyborg. Elle refuse de s’alimenter préférant sucer des piles et parler aux distributeurs automatiques” : elle aime les machines car ces dernières ont un sens, elle a peur de l’oralité (angoisse de perte), elle est traumatisée par sa grand-mère alzheimerisée (cette dernière ne mangeait que des rat-dits et se pensait comme mère de… souris). Il-Soon (Jung Ji-Hoon alias ‘Rain’) est un schizophrène, anti-social, cleptomane et narcissique, il a peur de disparaître (angoisse de mort-scèlement), c’est pourquoi il vole les qualités des gens… Mais l’avoir ne remplace pas l’être. Il a surtout le pouvoir du transfert car il connaît la puissance des signifiants. Ce pouvoir restera stérile jusqu’au jour où il ‘tombe amoureux’ de Young-Goon. Là, il croit en elle, et, la faisant dépasser ses peurs, grâce à l’imaginaire intensifié qu’ils ont bientôt en commun, parvient à se défaire de sa mère. Le transfert devient d’amour et… le sens de la vie montre enfin son échec. Psychanalytiquement parlant (car PCW, en plus de sa formation philosophique et de son génie artistique, semble y comprendre l’essentiel), le psychotique Il-Soon se sauve de son enfermement en sublimant ses représentations pour sauver la bordotique Young-Goon de la forclusion du réel. En effet, la rencontre, dans l’Amour, d’une traversée par la parole fantasmatisante(métempsychose) et d’une traversée par la métonymie du manque-à-être (désir débordotisant) dépasse la fin d’un monde incompris pour se jeter dans l’incompréhension d’un monde renaissant. Ces travers sont des trajets transhumanistes, secret du film, magnifiquement incarné par l’évolution de Young-Goon : “I’m not a psycho, I’m a Psyborg !”. Ce n’est pas une question de sens, c’est une question de jouis-sens… Ajoutez-y un massacre à la John Woo, de la féérie à la Tim Burton, une palette humoristique interminable et une fin aussi savoureuse que pleine de promesse, et vous avez un trésor de scènes anthologiques do
    robert_ginty
    robert_ginty

    12 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 décembre 2008
    Son segment de 3 extrêmes pouvait passer pour une petite erreur de parcours, mais avec Je suis un cyborg, Park Chan-Wook se plante en beauté. En voulant aborder un registre plus léger - en même temps, difficile de faire autrement après sa trilogie de la vengeance ! - le réalisateur part en free-style total et livre une comédie dramatique fourre-tout pas drôle sur la folie, en suivant une héroïne persuadée d'être une machine (elle parle aux néons, ce qui est très passionnant) et son soupirant, apparament capable de voler les lubies de son prochain. Souffrant d'un rythme traînard, ce catalogue de bizarreries se voulant plus ou moins charmantes passe à côté de son objectif et ne réussit qu'à récolter l'ennui quand ce n'est pas l'agacement, et ce ne sont pas les quelques scènes de défouraillage fantasmés qui vont rattraper le coup. Attristant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 septembre 2012
    Je n'ai jamais voulu voir Old Boy, mais lorsque j'ai vu "Je suis un cyborg", celà m'as redonné l'envie de le voir. Ce film est une sorte de fable particulièrement bien actualisée, le contexte de le lieu de l'histoire sont bien choisis. L'histoire d'amour que liera ses deux personnages est particulièrement belle.
    Le mélange "carnage à la mitrailleuse" et "sensibilité de la jeune femme" font du scénario une réussite !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 janvier 2008
    Un univers très spécial, parfois un peu trop à mon goût. Ceci à part, les personnages sont touchants et le scénario agréablement déroutant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 janvier 2008
    Cela commence par un très beau générique métallique et rouge qui donne le "la" de ce film hors normes. Young-goon sait qu'elle est un cybord, du jour où des infirmiers psychiatriques ont embarqué sa mamie, laquelle mamie, persuadée d'être une souris, passe ses journées à manger des navets. Young-goon se retrouve bientôt elle-aussi à l'hôpital puisqu'elle refuse de s'alimenter normalement et suce des piles pour se recharger. La population y est on ne peut plus pittoresque, tout comme les séances de thérapie collective ou les pathologies des patients. C'est là que Young-goon, qui cherche un sens à sa vie de cyborg, va faire la connaissance de Il-soon, jeune et beau cleptomane qui n'a qu'une peur : rapetisser et disparaître. Il-soon tombe fou amoureux de Young-goon et va tout faire pour qu'elle retrouve l'appétit. Ce film sonne un peu comme une récréation dans l'univers sombre de Park Chan-wook. On sent qu'il se permet toutes les audaces en appliquant une logique de conte de fée à son récit. Un déroulement classique (narration chronologiques et flash-back) mais des ingrédients qui le sont moins, nous permettent facilement de nous laisser porter par cette histoire d'amour pure et enfantine. Entre rires, sourires et tendres émotions, le plaisir que l'on prend devant ce film nous conforte dans l'idée que nos propres folies douces et autres obsessions, sont finalement très humaines. Malgré quelques longueurs, le film de Park Chan-wook nous prouve une fois de plus que le cinéma coréen, de l'onirique Kim Ki-duk ("Locataires", "Printemps, été, automne, hiver... et printemps"), au poignant Lee Chang-Dong ("Secret sunshine"), en passant par le brillant Joon-ho Bong ("Memories of murder") est l'un des plus riches du monde. A l'image du génial "The host" du même Joon-ho Bong, "Je suis un cyborg" fait preuve d'une liberté de ton et d'invention dont notre cinéma franco-français ferait bien de s'inspirer.
    Fabrice G
    Fabrice G

    108 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 août 2010
    Très bonne surprise. Le nouveau film de Park Chan-wook est une curiosité à la fois poétique, légère et surréaliste très loin de l'univers de ses précédents films, l'auteur quittant la violence pour la romance. Il s'agit de l'histoire d'une jeune fille persuadée qu'elle est un cyborg et d'un jeune homme interné dans le même hôpital et qui va en tomber fou amoureux... Esthétiquement, le film est très beau, très novateur (très bon générique!), coloré de pastels et de couleurs vives, rien que pour ça il vaut vraiment le détour. Le réalisateur affirme s'inspirer de Tim Burton, ce qui se ressent particulièrement dans la façon de représenter l'univers onirique de la jeune fille. Outre l'aspect comique (en effet, on rit beaucoup), le film touche juste et est aussi profondément émouvant, interpreté par un duo d'acteurs parfait. Une sorte d'ovni cinématographique, donc, mais un très beau moment de cinéma! A découvrir.
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