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    Je suis un cyborg
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    3,1
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    119 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2008
    Le cinéaste sud-coréen nous entraine au coeur d'un hôpital psychiatrique le temps d'une fable onirique et décalée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 janvier 2008
    Je sors à l'instant de ce film, et j'en suis encore tout émerveillé. Je m'attendais à une petite comédie barrée, il s'avère finalement être d'une poésie miraculeuse et d'une humanité incroyable. La photo est magnifique, les acteurs excellents (surtout nos 2 "héros")et le récit très bien mené. J'ai pensé à Jeunet et à Gondry parfois pour le coté poétique et enfantin, avec toutefois la griffe de Park Chan Wook, qu'on reconnaitra si on a vu ses autres films.
    Toutefois ce film ne fera pas l'unanimité c'est certain, inutile d'aller le voir sans être prêt à se laisser guider totalement, à "s'évaporer" dans ce monde fou et beau, acidulé et touchant à la fois.
    Un film à voir avec des yeux d'enfant...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 décembre 2007
    pas mal,pas mal.a voir pour les amateurs de films asiatiques et de films un peu déjantés. :)
    Requiemovies
    Requiemovies

    191 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2007
    Le réal. change enfin de registre pour nous donner un objet tout et tendre, maladroit parfois, mais tellement différent et sincère que le ne peut qu'adorer ou du moins suivre ce nouvel opus de Wook...
    Sans doute plus sincère en lui mm, le film pas son honnêteté de réalisation et ses codes visuels fait ressentir de jolies choses, à l'intérieur...Sublime séquence finale...Seulement, sans doute plus destiné aux "fans" du réal.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 décembre 2007
    C'est le premier film de Park Chan-Wook que je vois (on m'en avait tant parlé en bien) et j'ai vraiment beaucoup aimé ! On suit donc les tribulations d'une bande de fou dans un hopital psychiatrique, cadre peu commun pour un film, et on rigole la plupart du temps de leurs aventures un peu folles (pas étonnant ceci dit). L'histoire entre les deux protagonistes principaux est vraiment "mignonne", tout en étant très poétique, c'est très bien amené au fur et à mesure du film. Les deux acteurs sont superbes (les autres aussi) et on se prend rapidement dans leur histoire. La musique accompagne très bien le film, bref c'est une réussite !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 août 2008
    Au moment où j'écris cette critique, ça fait un bout de temps que j'ai vu le film.
    Visuellement très réjouissant ce film est pourtant d'un ennui complet. Amateurs de design et de graphisme, il peut nous enchanter. Mais amateurs de cinema il va nous tuer... à éviter donc, sauf à l'accéleré pour tomber sur les trouvailles visuelles sympa. J'avais rarement ressenti un tel ennui au cinéma.
    Philemon P
    Philemon P

    13 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juillet 2008
    Park Chan Wook fait parti de ces réalisateurs qu'on a hissé au rang de "maîtres" après des premiers films géniaux mais qui, se reposant de leur succès, s'adonne par la suite à des essais hors-sujet totalement indigestes. En effet pendant tout le long de cette soit disante "histoire d'amour déjantée", ce n'est pas le réalisateur d'"Old Boy" et de "Sympathy for Mr. Vengeance" qui est derrière la caméra mais un cinéaste brouillon et bancal comme on en trouve malheureusement beaucoup dans le cinéma asiatique d'aujourd'hui. Si on peut reconnaître que la mise en scène de Park Chan Wook se permet parfois quelques audaces visuelles et scénaristiques (le réalisateur affirme d'ailleurs s'être inspiré du cinéma de Tim Burton) on lui repprochera surtout une histoire bordelique, incompréhensible et dérangeante, non pas dérangeante comme pour "Sympathy for Mr. Vengeance", qui dérangeait pour le paradoxe volontaire de son scénario qui faisait hésiter le spectateur pour choisir un gentil et un méchant, mais dérangeante pour sa maladresse et son atmosphère, tout à fait répugnante pour son désir kamikaze de faire du sentimentalisme positif dans un lieux des plus glauques... Avec "Je suis un cyborg", Park Chan Wook, qui s'était démarqué du lot en s'affirmant comme un cinéaste imaginatif, à la fois sensible et barje, se rabaisse désormais à ce qui se fait de pire dans le cinéma asiatique, à savoir un film brouillon, foure tout, incohérent et indigeste... Premier échec d'un grand réalisateur donc, qui on l'éspère retrouvera son souffle et son énergie avec son prochain long, apparemment plus dans ses critères: "Evil live".
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 décembre 2007
    Un bon petit film qui met de bonne humeur. Des sujets graves sont présentés avec dérision et tendresse. Une jolie histoire, pour passer un bon moment. Etonnant, Park chan wook qui démontre par ce film, sa facette romantique (bien loin d’old boy et lady v). Malheureusement, diffusé dans peu de salle, il sera difficile de voir ce film aux personnes intéressées ne vivant pas dans les grandes villes.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 408 abonnés 7 286 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 décembre 2007
    Après sa “trilogie” sur la vengeance (Sympathy for Mr. Vengeance - 2003, Old Boy - 2004 & Lady Vengeance - 2005) qui oscillait entre le côté sombre et la violence, Park Chan-Wook change radicalement de registre avec Je suis un cyborg, une comédie loufoque, décalée et bizarrement intrigante. Une comédie romantique ayant pour toile de fond l’univers psychiatrique !
    Young-Goon est une jeune fille qui se prend pour un cyborg suite à un accident, se retrouve internée. Il-Soon, un jeune kleptomane, lui aussi interné, va faire sa rencontre. Il va découvrir une fille étrange et mystérieuse, en effet, elle a pour habitude de ne parler qu’aux distributeur de boissons et aux néons. Se croyant être un cyborg, elle ne se nourrit plus et à la place, suce des piles pour « recharger ses batteries ». Dans ses rêves, on la retrouve à plusieurs reprises entrain de mitrailler du bout des doigts le personnel hospitalier.
    Vous l’aurez donc compris, Chan-Wook surprend dès le premier coup d’œil, mais séduit grâce aux nombreux personnages attachants et drôles. Une mise en scène tout aussi appréciable avec ses mouvements de camera.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 décembre 2007
    c'est totalement barré, bourré de trouvailles drôlissimes, avec toujours dans le fond un léger malaise, un souffle de mélancolie... tous les personnages sont irrésistibles, terriblement attachants par leur inadaptation totale au monde. un immense moment de poésie
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 décembre 2007
    Décalée et poétique, l'absurdité propre aux "fous" de cet asyle montre que l'on peut être hors normes et avoir un coeur ! Très drôle par moment, "Je suis un cyborg" confirme la virtuosité du réalisateur de "Old Boy".
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 décembre 2007
    Une bonne idée de départ, gâchée par une mise en scène tapageuse. Voulant épater son public, le réalisateur entasse des effets spéciaux dont la plupart tombent à plat. Je me suis accroché à mon siège, mais plusieurs spectateurs sont partis en cours de séance. Ce nid de coucous à la sauce coréenne est un monument d'ennui.
    Chatterer
    Chatterer

    80 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2007
    « Elle est folle…Il est fou d’elle », telle est l’accroche du film. Effectivement, c’est bien de la folie dont il est question dans le film. D’ailleurs, le cadre n’est autre qu’un hôpital psychiatrique où une jeune femme, Young-goon, est internée car persuadée d’être un cyborg. Elle en est certaine, au point de dialoguer avec les distributeurs de boissons et les néons…Le problème est (principalement) qu’elle refuse de s’alimenter autrement qu’avec des piles…Alors en danger de mort, Il-Soon, un autre jeune homme interné, va tenter de l’aider. Commence ainsi « une folle histoire d’amour ».

    N’étant pas vraiment fou du cinéma Asiatique, je me suis tout de même laissé convaincre par ce petit film sortant tout droit de l’imaginaire déjanté de Park Chan-Wook.
    Il est vrai que ce genre de cinéma débarque à grand coup de pompe sur le territoire Français, mais à part quelques productions, telles que « Ring », « La mort sur la ligne », « Dark Water », « Ju-On », « Histoires de fantômes chinois », « Nouvelle Cuisine »…J’adhère très peu à leur univers barré. Il faut dire que « The host » m’a profondément freiné dans ma démarche de découvrir ce cinéma. On peut même dire que j’étais fou de rage à la sortie de la projection.

    Bref, « Je suis un Cyborg » est un film particulièrement original. Très inspiré de l’univers de Tim Burton, nous explique le réalisateur, il séduit, étonne, divertis, nous touche…

    Il devrait enthousiasmer, autant qu’il pourrait agacer. C’est sur que les personnes totalement hermétiques au délire, à l’excentricité…ne peuvent adhérer à cette œuvre totalement folle.

    Si vous êtes prêt à passer un moment de pur divertissement, ce film de taré est pour vous.

    Il mérite une bonne petite carrière…Même s’il est un peu condamné par ces 8 copies en France !

    Un petit rayon de fraîcheur dans une année cinématographique bien triste…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 mars 2008
    Le génial Park Chan Wook range ici sa vision noire et déséspérée de l'humanité pour nous offrir un conte magique et léger avec les pérégrinations de cette jeune folle qui se prend pour un cyborg. Porté par un impeccable duo d'acteurs déjantés, et truffé de ces trouvailles visuelles typiques de ce réalisateurs (ah ! ce tableau du massacre dans le jardin de l'asile psychiatrique), Je Suis une Cyborg suit une trame scénaristique simple, mais richement accomodée. Oscillant sans cesse entre le burlesque et le dramatique, le poétique et la folie, Park Chan Wook se découvre un fond tendre et humaniste, arrachant sourires et larmes au gré des allers et retours de son film et de son héroine entre la réalité brute et sa folie tordante et angoissante. Il ne peut s'empêcher de nous gratifier d'un minuscule twist ouvrant sur les ténèbres de l'âme humaine, mais ce dernier s'efface aussitôt pour clore en toute allégresse l'une des plus digestes, inventives, drôles et poétiques comédies romantiques de ces dernières années. La manière dont ces deux êtres communiquent et se sauvent de et par leurs folies ne peut guère laisser insensible. On sort alors de ce séjour chez les fous avec la banane, et aussi la ferme conviction que Park Chan Wook est réellement en train de devenir l'un des cinéastes les plus enthousiasmants de ce début de siècle. Certes, Je Suis un Cyborg est moins définitif que les 3 opus de sa trilogie sur la vengance, mais l'humanité n'est-elle pas elle aussi chaotique et imparfaite ?
    Fritz L
    Fritz L

    167 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2007
    Pour apprécier le film, il faut oublier la personnalité charismatique de Park Chan-Wook, ses films précédents, et de manière générale ce qui fait le cinéma aujourd’hui. La clé de cette œuvre profondément décalée est de se laisser surprendre. Surprendre par une charte graphique et visuelle foisonnante et irréelle, par un discours résolument anti conformiste et délirant, par une histoire d’amour ô combien attendrissante et divinement délicieuse. Park Chan-Wook vous embarque dans une dimension à des années lumières de ce que l’on connaît, son film est un beau poème surréaliste dédié à la vie, plus exactement à ce qui fait son sens. Le lieu clos qu’est l’hôpital psychiatrique est le théâtre où se joue la représentation de nos peurs, de nos questionnements, de notre place dans une société qui se veut qualibrée, aseptisée, homogénéisée dont la différence est rejetée, déconsidérée. La jeune Cha Young Goon est emblématique à ce sujet, elle confronte sa personnalité à des règles édictées par une voix (la raison sociétale) qui lui interdit entre l’attendrissement, l’imaginaire, la compassion, elle se doit d’être cruelle et sans état d’âme. Elle est interprétée par Lim Shoo-Yung, saisissante de réalisme. Sa rencontre avec Park II Soon (joué par l’étonnant Jung Ji-Hoon/Rain) cleptomane de la vie va bouleverser ses croyances. Ensemble ils mettent au point une lutte organisée qui les amènera à la délivrance, qui n’est autre que l’amour. Tout tient du fabuleux au sens propre (car la fable est géniale) comme au figuré. La mise en scène explose en délires de tous genres. Forcément burlesque au début (la meilleure partie), plus profonde par la suite. L’inspiration intentionnelle de Chan-Wook se trouve du côté de Burton on le sent jusque dans la musique suggérée par Elfman. On peut y retrouver aussi une atmosphère à la « Vol au dessus d’un nid de coucou » de Milos Forman ou encore au « Roi de Cœur » de Philippe de Broca, dont le sujet est assez similaire. Mais le réalisateur reste bi
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