Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Brazil
par Véronique Kientzy
Soutenu par un épatant casting (...) Strouse prouve que le sujet irakien peut être abordé sans gros sabots, avec enormement de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par La rédaction
(...) un road-movie sensible et émouvant, où la fuite du père devient une fugue délicate pour adoucir un deuil cruel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Florence Colombani
voir le site www.lepoint.fr
Positif
par Christian Viviani
(...) James C. Strouse a écrit et réalisé un film court, sobre, modeste, linéaire, et très attachant. Aux antipodes du formatage hollywoodien comme du sentimentalisme facile, Grace Is Gone est un road movie qui évoque certains des plus beaux moments du cinéma américain des années 70.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
(...) un film d'une puissance émotionnelle chavirante. Il faut dire que l'excellent John Cusack (également producteur) est entouré d'une fabuleuse paire de jeunes débutantes dont on reparlera.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Jérémie Couston
On pouvait craindre le mélo. Mais James C. Strouse a eu l'intelligence de repousser l'annonce (et les effusions qui la suivent) à la toute fin du film (...) John Cusack a quant à lui rarement été aussi bon que dans ce rôle (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir la critique sur www.cinelive.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Dans l'étude des relations entre Stanley et sa fille aînée, le metteur en scène et ses interprètes font preuve d'assez de retenue et de sens de la nuance pour capter l'attention. [Mais] plus le récit se rapproche de l'inévitable révélation cathartique, plus il se fait conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
John Cusack et les deux filles sont tout à fait formidables, tout en ne livrant pas une " performance " (...). Mais (...) à force de retenue, le voyage que Stanley offre à ses filles (...) finit par ne plus toucher beaucoup.
Première
par Gérard Delorme
(...) le scénariste joue essentiellement sur la corde sensible et accessoirement sur le réalisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Ce premier film (...) traite de la difficulté du deuil avec pudeur, sensibilité et une retenue qui, lorsqu'elle cannibalise la mise en scène, en laisse apparaître les limites.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Christophe Beney
Résignation et frilosité résumant un road-movie qui piste les voies polémiques, mais ne s'y aventure jamais longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Héléna Villovitch
Au risque de passer pour une personne peu charitable, imperméable aux émotions vraies, voire totalement dénuée de coeur, avouons que l'on a pas marché dans cette triste affaire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Cyril Devin
Hésitant farouchement entre la chronique familiale (...) et la métaphore sur l'horreur de la guerre (...), le cinéaste James C. Strouse se contente de non-dits et de regards fuyants pour raconter cette histoire de maux bleus qui tourne au lourd pathos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Bayon
Gageons que le (...) four prévisible servira de leçon au joli bouboule à cheveux teints , et qu'il reviendra vite à ses conneries habituelles, en nous epargnant ses imbécilités sur le "protection des Etats-Unis d'Amérique" à Tikrit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Brazil
Soutenu par un épatant casting (...) Strouse prouve que le sujet irakien peut être abordé sans gros sabots, avec enormement de sensibilité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) un road-movie sensible et émouvant, où la fuite du père devient une fugue délicate pour adoucir un deuil cruel.
Le Point
voir le site www.lepoint.fr
Positif
(...) James C. Strouse a écrit et réalisé un film court, sobre, modeste, linéaire, et très attachant. Aux antipodes du formatage hollywoodien comme du sentimentalisme facile, Grace Is Gone est un road movie qui évoque certains des plus beaux moments du cinéma américain des années 70.
Télé 7 Jours
(...) un film d'une puissance émotionnelle chavirante. Il faut dire que l'excellent John Cusack (également producteur) est entouré d'une fabuleuse paire de jeunes débutantes dont on reparlera.
Télérama
On pouvait craindre le mélo. Mais James C. Strouse a eu l'intelligence de repousser l'annonce (et les effusions qui la suivent) à la toute fin du film (...) John Cusack a quant à lui rarement été aussi bon que dans ce rôle (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.com
Le Monde
Dans l'étude des relations entre Stanley et sa fille aînée, le metteur en scène et ses interprètes font preuve d'assez de retenue et de sens de la nuance pour capter l'attention. [Mais] plus le récit se rapproche de l'inévitable révélation cathartique, plus il se fait conventionnel.
MCinéma.com
John Cusack et les deux filles sont tout à fait formidables, tout en ne livrant pas une " performance " (...). Mais (...) à force de retenue, le voyage que Stanley offre à ses filles (...) finit par ne plus toucher beaucoup.
Première
(...) le scénariste joue essentiellement sur la corde sensible et accessoirement sur le réalisme.
TéléCinéObs
Ce premier film (...) traite de la difficulté du deuil avec pudeur, sensibilité et une retenue qui, lorsqu'elle cannibalise la mise en scène, en laisse apparaître les limites.
Cahiers du Cinéma
Résignation et frilosité résumant un road-movie qui piste les voies polémiques, mais ne s'y aventure jamais longtemps.
Elle
Au risque de passer pour une personne peu charitable, imperméable aux émotions vraies, voire totalement dénuée de coeur, avouons que l'on a pas marché dans cette triste affaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Hésitant farouchement entre la chronique familiale (...) et la métaphore sur l'horreur de la guerre (...), le cinéaste James C. Strouse se contente de non-dits et de regards fuyants pour raconter cette histoire de maux bleus qui tourne au lourd pathos.
Libération
Gageons que le (...) four prévisible servira de leçon au joli bouboule à cheveux teints , et qu'il reviendra vite à ses conneries habituelles, en nous epargnant ses imbécilités sur le "protection des Etats-Unis d'Amérique" à Tikrit.