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    Free Love
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    MC feely
    MC feely

    73 abonnés 645 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2016
    Film émouvant sur l'amour de quel horizon qu'il soit et sur le dernier combat d'un couple pour l'égalité des droits.Même si on connait les aboutissants sur le sujet l'alchimie entre Ellen page et Julian Moore est intense et nous sensibilise un peu plus à leur cause.Bon film 3,5/5
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2016
    Tiré d'une histoire vraie, Free Love est une romance dramatique dans laquelle Ellen Page et Julianne Moore s'éprennent l'une de l'autre malgré leurs différences dans un New Jersey aux valeurs traditionnelles encore très marquées. Très intéressant dans sa première moitié, le film traite de nombreuses difficultés comme la différence d'âge, le sexisme au travail (Stacie qui doit faire ses preuves au garage, Laurel qui n'obtient pas d'affaire trop importance en tant que flic), la difficulté d’avoir un conjoint policier, les couples de même sexe qui ont du mal à s'assumer et à se faire accepter, et bien sûr le cancer, qui arrive bien trop vite pour donner une dimension politique poussive au film.

    Les deux femmes se rencontrent à peine qu’elles éprouvent déjà une attirance et spoiler: vivent ensemble un an après
    : cette accélération est sans doute voulue, tout comme les légères querelles qu’elles ont, mais il aurait été préférable pour le scénario que les débuts de leur relation soit davantage étayé. Le combat politique prend néanmoins trop de place et les manifestations contre la décision du comté, qui refuse d’accorder une pension pour un conjoint non marié, deviennent vite caricaturales avec l’insupportable Steve Carell (qui avait déjà fait très fort dans la suite risible de Bruce tout puissant). Reste un jeu très convaincant pour les deux actrices, bien que cela tende vite vers le tire-larmes pour Julianne Moore spoiler: alors mourante avec plus aucun cheveu.
    etoile2503
    etoile2503

    7 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2016
    Julianne Moore et Ellen Page sont de supers actrices, j' ai vraiment aimé cette histoire d'amour tirée d'une histoire vraie
    La lutte pour l'égalité des droits dans les couples gays comme dans les couples hétéros
    avant le droit au mariage gay aux USA , une maladie terrible qui vient tout achever
    évidement c'est romantique, clichés et larmes .... mais la vie et la lutte de ces femmes a existé et a servi au combat de toute la communauté gay
    Très bon film
    Chris58640
    Chris58640

    184 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juin 2016
    « Inspiré d’une histoire vraie » (la formule magique de Hollywood depuis ces 15 dernières années) comme c’est indiqué dans le générique de début et rappelé dans le générique de fin, « Free Love » n’est pas ce qu’on appelle d’habitude un « Court Movie », c'est-à-dire un film construit autour d’un procès. Ici, il n’est pas question de faire appliquer la loi, ou de chercher à savoir qui la contourne, il s’agit de changer la loi. C’est donc bien un film politique, militant, et assumé comme tel que propose Peter Solett. En suivant une trame chronologique classique (la rencontre, l’installation dans la nouvelle maison puis l’épreuve jusqu’à l’inévitable dénouement), il filme d’abord et avant tout une histoire d’amour entre une femme mûre, installée dans la vie et socialement reconnue et une jeune femme plus assumée et plus masculine. Le talent de Juliane Moore et d’Ellen Page apporte beaucoup à la crédibilité de cette histoire d’amour sur laquelle on n’aurait pas parié au départ. Elles sont très différentes, elles n’assument pas leur orientation sexuelle et amoureuse de la même manière et l’obsession de Laurel à cacher sa partenaire aurait pu lasser cette dernière, et cela aurait été bien compréhensible. Sur ce point, le film est assez démonstratif et c’est normal. Laurel est flic, elle est une femme et en plus, elle est lesbienne. Déjà c’est son partenaire que l’on félicite en premier quand un coup est réussi, elle est une femme, elle est d’abord un faire valoir de son collègue. Il lui est impossible en plus d’assumer sa différence dans un milieu si machiste et conservateur, il n’y a rien de surjoué dans cette situation. Julianne Moore (affublé d’un brushing très 70’s assez laid, pour tout dire) est très touchante dans ce rôle, à la fois forte et fragile, à la fois sure d’elle dans son travail et si peu sure d’elle dans la vie. Sa maladie puis son agonie (interminable) montrée de façon sobre et sans (trop) de pathos lui offre l’occasion de jouer dans un registre difficile, tout en émotion (beaucoup de silence, beaucoup de jeu juste avec le regard). A ses côté, Ellen Page est dans un rôle plus « facile », celle d’une jeune femme amoureuse et combative, qui voudrait juste vivre normalement la vie qu’elle a choisit, pour peu qu’il s’agisse d’un choix. Les seconds rôles, essentiellement masculins d’ailleurs, sont très bien tenus. Michael Shannon (que je préfère 100 fois dans ce registre que dans « Midnight Special ») est sobre et impeccable. Steve Carell apporte un tout petit peu d’humour en composant un militant gay à l’engagement démonstratif et bruyant (ce qui ne le rend pas tellement plus efficace). Josh Charles, quant à lui, aurait mérité un rôle plus écrit. Au sein du comité du Comté, il est celui qui peut faire pencher la balance, tiraillé entre ses ambitions politiques et ses convictions. Ce qu’il est, son histoire, sa vie et son engagement, tout cela aurait pu être un tout petit peu plus développé. Là, il apparait comme un modéré mal assumé, écrasé par des idéaux politiques conservateurs avec lesquels il doit composer, c’est un peu court et un peu léger, je trouve. La réalisation de Solett est très académique, il nous livre un film assez démonstratif, en usant des ficelles habituelles : peu de flash back (sinon pour faire un peu pleurer sur la fin), musique appuyée, il ne parvient pas à nous épargner le pathos qui finit par engluer un peu les 15 dernières minutes du film. Mais sur un sujet comme celui là, j’imagine qu’il est difficile de faire autrement. Le petit souci de « Free Love », à mon sens, est qu’il place le débat de l’égalité homo-hétéro dans le contexte de l’administration américaine auquel, il faut bien l’avouer, nous ne comprenons pas grand-chose. C’est le principal écueil du film, cette commission qui siège et refuse obstinément de modifier la réglementation administrative (je ne suis pas certaine qu’on doive l’appeler commission d’ailleurs), on ne parvient pas à comprendre quelle est sa place dans la vie politique du New Jersey : dépend-elle du judiciaire autant que de l’administratif ? Quelle est sa place vis-à-vis du gouverneur de l’Etat ? Ses membres sont probablement élus, mais ce n’est jamais clairement précisé. Or, c’est devant cette commission que tout se joue, c’est le cœur du film. Ces détails (qui n’en sont pas si on veut appréhender le film dans sa globalité), il n’est nul besoin de les exposer aux yeux du public américain qui connait le fonctionnement de son administration. Mais à nos yeux à nous, cela reste confus, on devine l’importance de ce qui ce joue plus qu’on ne le comprend vraiment. Reste que « Free Love » est un film d’une 1h40 qui se laisse voir sans problème et sans ennui, qui donne l’occasion à deux comédiennes de donner corps à une histoire d’amour entre femmes (ce que ce cinéma n’a quasiment jamais montré jusqu’à très récemment) et qui pose la question, jamais superflue et jamais inutile, de la différence et de l’acceptation de l’autre. Qu’elle fasse cette démonstration de façon un peu appuyée et avec un peu de pathos n’est finalement pas bien grave.
    Fireim24
    Fireim24

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juin 2016
    L'un des film les plus émouvant que j'ai vu ! Ellen Page est incroyable dans ce film ! Je le conseille à tous.
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    56 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2016
    Toujours à l’affiche dans quelques grandes salles de la capitale et de cinémas de quartier, « Free love » est un film émouvant et touchant. Basée sur des faits réels, l’histoire démontre que même au XXIème siècle, il est difficile de vivre de façon égalitaire et de faire valoir ses droits.

    Excessivement bien réalisé, le film est porté par un casting impliqué et irréprochable. Au centre de l’intrigue, Laurel, incarnée par Julianne Moore. La cinquantenaire n’a jamais hésité à tenir des rôles sensibles. Pour preuve, « Still Alice », pour lequel elle a été récompensée d’un oscar (et où elle interprétait un professeur d’université touché par l’alzheimer). Avec « Free love », elle ne choisit pas la simplicité et entre dans la peau d’une femme qui combat la maladie et parallèlement à cela, la justice de son pays. Son investissement est total et d’un réalisme déconcertant ! Comme toujours, la comédienne parvient à se fondre dans son personnage et semble marquée elle-même par la maladie. Si elle n’a plus rien à prouver, la comédienne continue cependant à nous étonner et à montrer l’étendue de son talent dans des interprétations denses et pourtant peu évidentes à porter.

    Face à elle, Ellen Page, cheveux courts et très masculine, est elle aussi excellente ! La shadowcat de la nouvelle trilogie « X-Men » (qui a aussi brillé il y a dix ans dans le film « Juno ») maîtrise le sujet puisqu’elle assume son homosexualité depuis quelques années. Forcément impliquée dans son personnage, l’actrice fait montre d’un talent pudique et parvient à nous convaincre que c’est son histoire qui se joue sous nos yeux. Audacieuse, la jeune femme soutient sa partenaire de vie avec courage et ténacité et ne faiblira qu’une fois la porte fermée.

    Côté masculin, on retrouve un Michael Shannon au top ! Incroyable dans « 99 homes », l’acteur américain joue ici le partenaire de Laurel. Discret, il n’aura de cesse de se battre à ses côtés pour qu’elle obtienne gain de cause. Et c’est sans compter sur l’aide d’un militant gay, en la personne de Steve Carrell (l’oncle crazy dans « Little Miss Sunshine »), qui défendra bec et ongles la cause de Laurel et Stacie. Aussi bon dans la retenue que dans l’excès, le comédien assure dans ce nouveau rôle engagé. Le quatuor constitué, ils n’auront qu’un seul objectif : démontrer que l’Etat américain à le pouvoir de faire changer les choses, pour peu qu’il le souhaite !

    L’histoire est dense, la quête honorable et le casting impeccable. Que demander de plus ? Peter Sollett a su trouver l’angler et la dynamique pour nous présenter une histoire délicate et ô combien actuelle. Peu prolixe, le réalisateur a cependant déjà marqué quelques esprits avec son long-métrage « Long Way Home » (qui avait reçu le Grand Prix du Festival de Deauville en 2002). Dans son dernier film, il s’attaque avec justesse à un sujet sensible : le droit des femmes homosexuelles dans une société américaine encore trop rigide. Belle leçon de vie et de courage, « Free Love » vaut la peine d’être vu tant pour sa réalisation que pour son interprétation. Notre seul regret aura été qu’il ait été peu distribué car il vaut véritablement la peine d’être distribué et projeté.
    Jérémy J
    Jérémy J

    29 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2016
    Une histoire très touchante. Malgré tout le résultat est plutôt mitigé à l'écran. Les acteurs sont convainquant sans être transcendant. La première partie du film est plutôt classique et on s'ennuie un peu. La fin est très touchante à contrario. Un bon film simplement.
    Ciné2909
    Ciné2909

    63 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2016
    Inspiré de l’histoire vraie vécue par Laurel Hester, Free love nous donne l’occasion de découvrir le combat acharné que cette policière aura livré avec le soutien indéfectible de sa compagne Stacie Andree pour faire valoir ses droits. Une lutte qui aura grandement contribué à défendre la cause homosexuelle en participant notamment, quelques années plus tard, à l’instauration du mariage gay dans l’Etat du New Jersey. Fort de ce sujet, le réalisateur Peter Sollett déroule ensuite une histoire qui suit un schéma on ne peut plus classique laissant la part belle aux interprètes. Julianne Moore se montre une nouvelle fois bouleversante formant avec Ellen Page un excellent duo. Un film qui constitue avant tout un hommage mérité à une femme qui se sera montré aussi courageuse qu’admirable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 mars 2016
    Jolie histoire, qui met en particulier l'accent sur l'amour inconditionnel qui unit ces deux femmes, beau combat pour l'égalité, encore d'actualité malheureusement. Les acteurs sont parfaits, mention spéciale à Steve Carell, hilarant en militant gay. La mise en scène ne brille pas par son originalité et son rythme mais l'histoire passionne et compense ce manque.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2016
    J'ai énormément pleurer ce film est vraiment plus qu' émouvant et ma fais prendre conscience de beaucoup de choses ! Je le conseille vivement !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 mars 2016
    Free Love est un film honnête à la réalisation classique et de bonne facture. Peter Solett nous livre une histoire touchante portée par de bons acteurs, convaincants dans leurs rôles et attachants dans leurs personnages. Cependant, une fois l’intrigue principale installée, je trouve que le film tombe un peu dans la facilité. L’émotion devient alors l’unique ressort d’une histoire qui tend progressivement vers le tire-larmes. On pourrait également regretter le manque d’originalité dans le thème, qui bien qu’étant un drame humain n’en reste pas moins un fait divers comme il en existe des milliers, et que seuls les gros titres de la presse ont pu faire ressortir du lot : en bref, je trouve que l’histoire manque d’enjeu. Avec en prime une énième interprétation de personnage cancéreux en phase terminale, rôle trop souvent utilisé pour permettre l’obtention d’un prix d’interprétation à l’acteur concerné (ici Julianne Moore). Je saluerais tout de même la prestation d’Ellen Page, pleine de justesse, bien que le rôle soit totalement taillé sur mesure. 14/20
    Ellen Zooey G
    Ellen Zooey G

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2016
    Une interprétation très juste et une histoire forte. On ne s'ennuie pas une seconde. Un super film . A voir !
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2016
    Avant que le mariage gay soit légalisé, le combat de Laurel Hester, en phase terminale d'un cancer incurable, pour que sa compagne, Stacie Andree, puisse à sa mort recevoir sa pension, avait ému l'Amérique. Il était prévisible que cette histoire inspire le cinéma. Il était inévitable qu'il s'en saisisse avec une éléphantesque maladresse et un impudique sentimentalisme.

    La mise en scène de Peter Sollett ne fait pas dans la finesse. On lui a demandé de mettre en image une thèse. Il s'acquitte de sa tâche avec une subtilité de bûcheron canadien en plein effort.

    Deux femmes se rencontrent et tombent amoureuses. Elles sont belles et se roulent des pelles (ça rime !). Juste ce qu'il faut pour montrer qu'elles s'aiment d'amour ; mais pas trop non plus pour éviter de sombrer dans le voyeurisme (dommage !). Elles sont lesbiennes, donc elles sont en butte à de méchants homophobes. Parmi eux, un homme d'Église évidemment, un agent immobilier bégueule, des politiciens veules et des flics machistes. Bouh ! l'homophobie c'est mal. Laurel et Stacie s'installent ensemble. Elles ont une maison, un chien. Sous-titre : on peut être lesbienne et mener une petite vie bien sage. Vraiment ?????? Laurel tombe malade. Sortez vos mouchoirs. Elle a un cancer des poumons. Chimio. Vomissements. Calvitie (moi ça se verra pas !!!). Laurel va mourir. Stacie pleurt. La salle itou. Mais Laurel veut que sa compagne touche la pension de réversion que les conjoints (hétérosexuels) perçoivent en cas de décès. Elle fait un procès au comté.

    Je ne vous raconterai pas la fin, même si vous l'imaginez sans peine. Si vous pensez qu'elle perd son procès et survit, vous n'êtes pas tout à fait dans le vrai. Et je pourrais terminer ici ma critique de petit con prétentieux.

    Sauf que. Sauf que ce film m'a vraiment ému. J'en ai vu toutes les ficelles grossières. Et pourtant, j'ai été touché par cette histoire filmée sans voyeurisme. Le couple que forme Ellen Page - qui a fait l'annonce publique de son homosexualité - et Julianne Moore - en phase terminale de Merylstreepisation - est crédible et juste. La réaction de Michael Shannon, le coéquipier de Laurel, d'abord choqué mais très vite solidaire, est particulièrement bien vue.

    Free love n'est sans doute pas un grand film. Mais ce n'est ni le mélo gluant ni le film-à-thème manichéen qu'une critique paresseuse se plaît à descendre.
    Furiosa Fury
    Furiosa Fury

    26 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2016
    Une véritable merveille se film ! Les acteurs jouent tous sans exception a la perfection et même les rôles secondaires ! Du début a la fin on ne s ennuie pas une seconde, on a très souvent les larmes aux yeux et plein d émotions durant toute la séance et même des rires, a la fin du film le publique a applaudi ! Un film a ne raté sous aucun prétexte pour tout cinéphile.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 février 2016
    Allez le voir les amis. C'est un film qui est puissant et riche en émotions. On rit, on pleure... Ça fait du bien de voir ce genre de film au cinéma. Mention à Julianne Moore qui est au sommet dans ce film. Gros Coup de coeur pour ce film
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