Avis : J'irai dormir à Hollywood - Page 7

J'irai dormir à Hollywood est un road movie français tourné aux USA comme un film d'amateur. Deux aspects intéressants : les paysages et les gens. Ces derniers,le plus souvent des "petits", des exclus de la société américaine : noirs, indiens, amish, SDF nous donnent un visage parfois inquiétant, souvent sympathque de l'autre Amérique. ce que le film gagne en authenticité par le mode de tournage, il le perd malheureusement par cette caméra qui filme l'auteur la moitié du temps c'est trop, beaucoup trop... j'ai vu dans l'affiche du film un clin d'oeil à Into The Wild....mais les 2 films ne jouent pas dans la même catégorie !

Borat est de retour ! Mais, non, ‘’J’irai dormir à Hollywood’’ est l’adaptation au format cinéma de l’excellente émission d’Antoine de Maximy. Il se parachute (littéralement ici) sur un pays sans avoir rien préparé et se promène en s’incrustant chez les gens qui le veulent bien. Il se filme lui-même grâce à des caméras accroché à lui, ce qui ne manque pas de rendre sa présence parfois un peu trop pesante, mais ça va. Dans les régions riches qu’il traverse, son dispositif l’incite à rencontrer plus facilement les marginaux. Finalement c’est dans les coins plus déshérité qu’il renvoie l’image la plus fidèle, notamment dans une hallucinante séquence à la Nouvelle Orléans, où se promener seul en tant que blanc est une invitation au vol à la tire, et où quand quelqu’un vous dit ‘’Montre moi que tu m’aimes’’, il faut comprendre aboule le fric. La fin de son périple n’est pas piquée des hannetons non plus… ‘’Que demande le peuple ?’’ C’est pas trop long sur 1h40 ?’’ Non, car en plus il y a de la bonne zic, c’est Béatrice Ardisson qui régale. Elle n'en est pas à son coup d'essai en matière de bande son puisque c'est à elle qu'on doit entre autres la musique de Paris Dernière. Mais son domaine de compétence ne s'exerçait jusque là que sur le petit écran : ‘’C'est la première fois que je m'occupe d'un film de A à Z, c'est passionnant. Jusqu'ici, j'ai travaillé pour la télévision, ou des évènements plutôt tournés vers le luxe, donc l'idée de m'embarquer dans le projet fou d'Antoine était une vraie nouveauté pour moi, très rafraichissante’’. La musique du film reprend 11 grands standards américains, qui tournent globalement autour du rock, jazz et blues.

Un docu du genre "Pékin Express" où l'insouciant Antoine de M essaie de se faire héberger par des américains.Les rencontres sont souvent intéressantes, le portrait des USA très profond mais au bout de 30 minutes le film devient répétitif et parfois ennuyeux.On retient quand même la prestation et l'entrain de AM.Sympa!

Une traversée des US par les chemins de traverse. Par bus, par train et corbillard. Tout ça nous fixe dans le réel, et ce quotidien américain devient superbe lorsque Antoine de Maximy nous fait rencontrer les vrais personnages de son épopée. Touchants, ces moments ponctuent son chemin jusqu'à Los Angeles. Il semble que rien ne nous soit caché, et on craint quelquefois pour sa sécurité dans les rues de la Nouvelle Orléans, et on est émus dans la réserve indienne, et on vit un instant de voyage comme si on y était pour de vrai. C'est finalement ça, le cinéma du vrai!

J'ai donc vu le film. Je doit dire que je suis énormément surpris. Ce film va très certainement faire une entrée fracassante dans mon top 10 de films préférés. J'ai adoré. Je pensais que se serais long, mais alors pas du tout. Je ne me suis pas ennuyé une seconde, vraiment c'est pas souvent que cela arrive, mais je vais surement revoir ce film dans la semaine. Et vous devriez en faire de même. C'est pas un grand film, c'est pas du grand art. Mais c'est simple, humble plein de bonnes intention. On y voit l'Amérique comme on le l'avais jamais vu... Qui penser vraiment que des gens vive encore comme ça de nos jours. Dans les films on nous montre les Américains riches, qui n'en n'ont rien a foutre de nos sales tronches. Des Américains fier de leur égo. Des américains "tous" heureux. Là ce sont des acteurs/trices d'un jour. Mais se sont eux qui finalement incarne la "vrai" Amérique, celle dont à nous Européens on ne montre pas.
Pour en revenir au film il est tout simplement énorme. Des scènes à mourir de rire, comme des scènes "tristes" qui nous font revenir sur terre. Des personnages mémorables. Je n'ai pas envie de vous raconter le film, il faut le voir. Vraiment.
Je ne connaissait pas Antoine de Maximy ni aucune de ses émissions et reportages. Mais à présent je peut dire que c'est quelqu'un que j'apprécie déjà beaucoup, pour qui bien que je ne le connaissent pas, j'ai un très grand respect. Ce qu'il a fait. Ce film, ce voyage, c'est tout simplement énorme.
Il était présent ce soir. Promis, en espérant que j'arrive à relire mes notes et que mon téléphone est bien tout enregistré je vous ferais un compte rendu, qui sera disponible sur Web Ciné en exclusivité.
Il y a tellement de chose à dire sur ce film, qu'il ne faut pas en parler mieux vaut le voir.
Et finalement la star qu'il rencontre, n'est pas celle que l'ont croit. Mais après réflexion. C'est cette personne...

Tantôt drôle, touchant, effrayant, étonnant, très drôle, ce film d'Antoine de Maximi est un grand bol d'air et d'humanité!
Un film authentique sur les USA, les vrais, tout du moins sur ses habitants, avec les bons et les mauvais côtés! Mais surtout, un road movie passionnant de bout en bout, émaillés de rencontres authentiques, "unforgettable"!
Un concept d'une grande originalité (cf France5) parfaitement transposé au ciné!
A voir d'urgence!! Surtout si on veut en voir davantage dans le futur!

Sensible, émouvant et pasionnant. Voilà ce que je retiendrai de ce documentaire tourné comme un roadmovie. Antoine de Maximy n'a certes pas un grand talent d'acteurs, qu'importe le sujet de son film n'est pas de prouver qu'il peut rester devant la caméra 1h30 mais qu'avec un peu de bonne volonté, d'audace, de tact et de gentillesse, on peut se faire aimer des gens qu'on croise sans regarder autour de soit... Ce film m'a donné envie d'une part de voyager plus et d'autres part de faire le même concept (à ma sauce personnelle) Par sa réalisation, il arrive à rendre aussi les américains touchant et vrai, car il ne filme pas les gens superficiels (sauf 1 ou 2 quand il est à Hollywood mais vous le verrez par vous même). Après qu'il est était vraiment tout seul ou ne serait-ce qu'un peu escorté par moment et dans certaines situations (et franchement il vallait mieux), on s'en fiche un peu... Franchement, allez le voir vous vous ferez votre propre idée sur ce qui est d'un voyage vraiment pas comme les autres.

Antoine de Maximy a fait ce que tout le monde rêve de faire en soi-même: parcourir les Etats-Unis sans point d'attache, sans contrainte. Aidé de ses petites caméras prodigieuses, il en profite pour dresser un portrait atypique de ce pays, constitué de personnages marginaux, de fous, de pauvres, ou de philosophes. J'ai également adoré les paysages spectaculaires, l'ambiance plutôt joviale et un peu road-movie du film, et l'humour sans gêne d'Antoine de Maximy. Mais justement, ce gars à la chemise rouge est parfois un peu trop exubérant, et ces questions très personnelles gênent par moment le spectateur. Mais dans son ensemble, "J'irai dormir à Hollywood" reste une excellente expérience, un très bon divertissement.

Un véritable voyage filmé d'une façon tout à fait inédite au cinéma.

On découvre les Etats unis d'Amérique, c'est effrayant et en même temps cool.

Beaucoup de rencontres on y découvre des gens issus d'univers différend, mais c'est souvent le même constat, l'Amérique n'est pas telle que l'idée que nous nous en faisons, il y a plus de gens dans la misère que de riches au volant de leurs grosse voiture.

La scène que je retiens en particulier c'est la rencontre de Antoine de maximy avec des Indiens Navajos, un peuple qui à survécu à des siècles d'oppressions tout en gardant leurs cultures et malgré ça ils ne se sont toujours pas intégré à la société américaines et on les comprends.

Le premier peuple américain complètement décimé vie aujourd'hui dans un désert complètement isolé.

A Miami on comprend que la mixité Blanc et Noir n'est toujours pas évidente, il y a notamment beaucoup de violence.

A la Nouvelle-Orléans il y a des centaines de maisons détruites.

Bref un fabuleux voyage au coeur de l'Amérique.

Je regrette juste que le film ne dure pas plus de 1h35, j'aurai aimé voir un peu plus de New York et Las Vegas.

Mais ce genre de film est utile et intelligent et il ne peu qu'être saluer par la critique.

Très bon film. De Maximy, grâce à ses trois insolites caméras nous fait découvrir la face cachée des Etats-Unis. Le globe-trotter le plus drôle du paf nous emmène dans une étude sociologique de trois mois.
On découvre le peuple, ses différentes personnalités, ses tracas. On rit de l'ignorance de certains, on en est terrifiée aussi, on a peur de certains et on est ému des injustices... Il filme tout bonnement la vérité.
Il y a plusieurs films en un, très bon. on en veux plus. A quand d'autres pays.
http://chroniquescinephile.blogspot.com/2008/10/jirais-dormir-chez-hollywood.html

Ridicule. On se demande ce que ce "film" fait dans les salles. Il mérite au mieux la curiosité, au pire le prix du plus grand mégalomane de l'année.

film rafraichissant et dépaysant. Un cinéma original avec de petits moyens mais avec un impact fort grâce au talent d'Antoine de Maximy!

On est Antoine de Maximy ou on ne l'est pas. Antoine de Maximy l'est, lui, et joue parfaitement son Antoine de Maximy. Ce type est vraiment excellent.

Désolé Antoine "Globe Trotter" De Maximy, j'adore tes emissions TV, mais le concept reproduit à l'identique supporte mal le cinéma. Aucune plus value de faire un long métrage. On découvre l'Amérique des exclus et des sans noms, du déjà vu, dans une vision assez stéréotypé des américains (les noirs contre les blancs, les blancs contre les arabes,...). Antoine, tu as fait mieux sur du court. Décevant. Spectateurs: branchez France 5 et regardez plutot quelqu'uns de ses périples.

Un film drôle réaliste, plein de surprise et de beauté sur les Etats Unis et la France. Le parcours de Antoine de Maximy de la côte est à la côte ouest. Un documentaire tout simplement.
Le parcours de Antoine de Maximy qui décide de mettre en place son concept de J’irai dormir à chez vous, mais décide de le faire aux Etats Unis et de rencontrer des américains et de partager leurs vies. Tout ça pour essayer d’aller jusqu’à Hollywood en partant de New York, pour dormir chez une star à Hollywood.
Ce film est excellent, et nous prouve que la vie réserve bien des surprise et que les américains sont aussi incroyable que nous à leurs façon. La beauté du film de Antoine de Maximy réside dans l’imprévu que l’on découvre tout au long du film, et dans la beauté et la diversité des personnes qui compose le film. C’est ça qui fait la magie de son film mais aussi du cinéma.
En deux mots : un film drôle et magique sur la beauté intérieur des Etats Unis et des personnes qui compose ce pays.