Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Critikat.com
par Antoine Oury
Cristi Puiu préserve l'étrangeté de Viorel, non par une réalisation pudique ou honnête, mais par un montage qui préfère les non-dits.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
À travers le portrait d'un homme dépassé par ses problèmes quotidiens, Cristi Puiu livre une chronique de la violence ordinaire, habilement conduite malgré sa longueur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un objet filmique radicalement singulier qui tranche dans le cinématographiquement routinier, qu'il soit hollywoodien ou français, et nous laisse avec un rire jaunâtre au coin des lèvres.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Le montage incisif, le plan fixe, la triple composition de l'image captant le corps entre embrasures et à travers vitres, le mot épars, visent la précision.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
"Aurora" est d'abord déstabilisant, mais on est très vite saisi par l'intensité d'une mise en scène qui entretient sans cesse curiosité et acuité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
On émerge donc de ce thriller paranoïaque comme après un long périple en terre inconnue : groggy et fasciné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Itinéraire d'une haine ordinaire, filmé avec un talent minutieusement descriptif. Mais c'est long!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
En trois heures, Cristi Puiu tente avec un succès certain de démontrer que les tueurs en série sont aussi ennuyeux que le reste de l'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
On reste troublé par le choix de Puiu d'incarner lui-même le protagoniste de ce film ample et saisissant - sans que l'on y retrouve tout à fait la densité et l'ironie glaciaire qui avait érigé Dante Lazarescu en plus brillant représentant du renouveau du cinéma roumain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Une oeuvre ton sur ton, assez ingrate visuellement, plaquant la grisaille sur la misanthropie, et ne faisant que trop peu appel à une salvatrice ironie.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le crime pour les nuls. (...) Le cinéaste joue lui-même le rôle principal. Il est parfait en homme taiseux qui passe le plus clair de son temps à guetter on ne sait quoi. Mais cet " on ne sait quoi " prend de telles proportions (suspense interminable), que parfois on se sent un peu floué.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Projet certes ambitieux, mais qui s'égare dans un hermétisme certain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Bernard Achour
Déambulation crucifiante de lenteur (...), "Aurora" ne doit qu'à un foudroyant épilogue l'impact rétrospectif de ses trois heures, dont chaque minute résonne comme un défi à la patience.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Julien Welter
(...) le film finit par donner une vision du monde aussi palpitante qu'une main courante au commissariat du coin.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Critikat.com
Cristi Puiu préserve l'étrangeté de Viorel, non par une réalisation pudique ou honnête, mais par un montage qui préfère les non-dits.
Les Fiches du Cinéma
À travers le portrait d'un homme dépassé par ses problèmes quotidiens, Cristi Puiu livre une chronique de la violence ordinaire, habilement conduite malgré sa longueur.
Les Inrockuptibles
Un objet filmique radicalement singulier qui tranche dans le cinématographiquement routinier, qu'il soit hollywoodien ou français, et nous laisse avec un rire jaunâtre au coin des lèvres.
Positif
Le montage incisif, le plan fixe, la triple composition de l'image captant le corps entre embrasures et à travers vitres, le mot épars, visent la précision.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
"Aurora" est d'abord déstabilisant, mais on est très vite saisi par l'intensité d'une mise en scène qui entretient sans cesse curiosité et acuité.
Télérama
On émerge donc de ce thriller paranoïaque comme après un long périple en terre inconnue : groggy et fasciné.
Le Figaroscope
Itinéraire d'une haine ordinaire, filmé avec un talent minutieusement descriptif. Mais c'est long!
Le Monde
En trois heures, Cristi Puiu tente avec un succès certain de démontrer que les tueurs en série sont aussi ennuyeux que le reste de l'humanité.
Libération
On reste troublé par le choix de Puiu d'incarner lui-même le protagoniste de ce film ample et saisissant - sans que l'on y retrouve tout à fait la densité et l'ironie glaciaire qui avait érigé Dante Lazarescu en plus brillant représentant du renouveau du cinéma roumain.
Cahiers du Cinéma
Une oeuvre ton sur ton, assez ingrate visuellement, plaquant la grisaille sur la misanthropie, et ne faisant que trop peu appel à une salvatrice ironie.
L'Humanité
Le crime pour les nuls. (...) Le cinéaste joue lui-même le rôle principal. Il est parfait en homme taiseux qui passe le plus clair de son temps à guetter on ne sait quoi. Mais cet " on ne sait quoi " prend de telles proportions (suspense interminable), que parfois on se sent un peu floué.
La Croix
Projet certes ambitieux, mais qui s'égare dans un hermétisme certain.
Première
Déambulation crucifiante de lenteur (...), "Aurora" ne doit qu'à un foudroyant épilogue l'impact rétrospectif de ses trois heures, dont chaque minute résonne comme un défi à la patience.
L'Express
(...) le film finit par donner une vision du monde aussi palpitante qu'une main courante au commissariat du coin.