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    127 heures
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    3,9
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    1 579 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 février 2012
    Bon film, James Franco est convaincant, les décors sont somptueux et côté bande-son ça colle plutôt bien. Le défaut que l'on pourrait reprocher à Danny Boyle est de ne pas vraiment s'attarder sur la solitude et le temps paraissant si long pour Aron Ralston, on aurait aimé une atmosphère plus lourde afin de mieux ressentir les émotions qu'il a pu traverser. Au lieu de ça Boyle maintient tout le long un certain rythme en ponctuant régulièrement avec les visions comme pour ne pas lasser le spectateur, mis à part ça le film mérite d'être vu, ne serait-ce que pour se poser cette fameuse question: "Qu'aurions nous fait à sa place?"
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    106 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2012
    Danny boyle adapte le récit d'Aron Ralston avec la virtuosité technique qu'on lui connait mais passe d'une certaine façon à coté de l'essence même du livre.
    Favorisant une approche expérimentale semi psychédélique au détriment du potentiel dramatique, c'est tout l'aspect introspectif du personnage qui passe à la trappe, notamment son rapport particulier avec l'expérience "vie", sans cesse titillée par des périples en tout genre et dont cette randonnée (et son issue malheureuse) allait le contraindre à reconsidérer tout ce qu'il pensait être.
    Cinememories
    Cinememories

    452 abonnés 1 437 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2012
    Tout escaladeur, comme moi, connait la lutte d'Aron Ralston pour sa vie dans les gorges de l'Utah ! Face à la nature et à lui-même, un dilemme s'impose, celui où sa vie est en jeu. Ces 127 heures passées, bloqué entre deux rocs, sont l'illustration même de ce que la nature peut provoquer. Mais cela montre également la souffrance inévitable et un choix fatidique recourant à un énorme sacrifice. Cette situation est un exemple de la force humaine, pas la force physique, mais celle de la volonté ! Ne considérez pas l'expérience d'Aron et son image de héros ou je ne sais quoi. Ce qui le fait distinguer de nous tous, ce sont ces choix. Et nos choix ne dépendent que de nous. Et pour ceux qui souhaite en savoir Plus, je vous conseille le livre qu'il a lui-même écrit : "Plus fort qu'un Roc" !
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    54 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2012
    superbement bien amené et visuellement très beau.....
    Mathieu Russeil
    Mathieu Russeil

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2012
    Ce film tiré d'une histoire vrai est un des meilleurs de Dany Boyle voir le meilleur, James Franco est formidable dans le rôle d'Aron Ralston cette alpiniste de 27 ans qui c'est retrouvé coincé dans le Blue John Canyon (Utah) pendant 5 jours. Livré à lui même au cœur de la nature, sans espoir de secours, il va devoir affronter sa vie passé et prendre une décision qui le bouleversera à jamais...A voir absolument!!!
    SmEuG
    SmEuG

    34 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2012
    127 Heures débute comme n'importe quel film de Danny Boyle, soit à 100 km/h. En moins de 15 minutes, chronomètre en main, le personnage interprété par James Franco a trouvé le temps de rouler en voiture des kilomètres seul dans la nuit, de rouler des kilomètres à vélo dans le désert nous gratifiant d'une où deux cascades, de faire la rencontre de deux midinettes bien gaulées, puis de les draguer en leur apprenant la plongée souterraine, pour finalement leur dire adieu et se coincer la main sous un lourd rocher au fin fond d'un crevasse. Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est vite expédié, d'autant plus que je n'ai pas parlé du générique qui prend bien deux minutes à lui tout seul.
    Et ces quinze petites minutes caractérisent parfaitement l'archétype du cinéma de Boyle, à savoir un cinéma conçu par un hyperactif pour les hyperactifs.
    La première et unique règle : le spectateur ne doit pas s'ennuyer. Du coup, hormis le rythme effréné d'une cuisine de fast-food, le montage nous assène une multitude de petits festons, guirlandes, ornements, une kyrielle de dentelures et de franges, de la décoration destinée à capter l'intention d'un spectateur trop vite ennuyé, une explosions de stimulus neuronaux, qui s'exprime à travers un usage sans limite du split-screen, la présence perpétuelle de la musique, des plans jamais plus long que 3-4 secondes, le tout donnant naissance à un clip musical de MCM ou une publicité pour agence de voyage.
    Soudain, Voilà qu'arrive le fameux incidents, dont les conséquences vont pousser le film au huis-clos. Ouf! Boyle va pouvoir ingurgiter ses calmants et tenter une approche plus audacieuse de son métier. Malheureusement, ce qui devait lui permettre d'exhiber ses talents cachés de réalisateur, ne fait que mettre en exergue l'effroyable imposture cachée derrière ses autres films conçu sous Speed, Trainspotting ou la Plage. En effet, dénué de ses Gimmicks, Danny se retrouve nu face à la difficulté du défi auquel il est confronté. Indéniablement, le film tombe à plat, se vautre dans le sable chaud du désert qu'il se plait à montrer. C'est simple, à l'instar d'un autre huis-clos sorti un peu avant, Buried, on s'emmerde face au travail de réalisateurs incapables d'être à la hauteur de leur concept. Pour faire passer le temps, le film s'essaie en vain à divertir le spectateur à coup de flash-back, permettant à Boyle d'étaler à nouveau sa palettes de gadgets, mais on sent bien qu'à présent seul le feu d'artifice final compte et que ce couronnement impressionnera la galerie, au point qu'il suffira de mettre une musique pompeuse à tambour battant pour achever ce qui lui restera d'amour propre et lui faire lâcher une larme face à ce flot d'émotions fabriquées en laboratoire.
    Non, Boyle n'est pas un cinéaste subtil, qu'il continue dans son style survitaminé, car au moins le but premier est atteint, le spectateur ne s'ennuie pas.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 février 2012
    Avec un pitch pareil, on se dit que ça parait légèrement beaucoup ennuyeux : regarder un gars coincé dans un canyon qui va se couper le bras, whouhou !
    Mais non, film de Danny Boyle, on peut y aller les yeux fermés ! (enfin une fois devant, ouvrez les hein...) Rythmé, avec une BO d'enfer (on note du Plastic Bertrand !!), des paysages superbes, un acteur beau comme un camion, des dialogues et scènes pleins d'humour, on se prend vite au jeu de ce pauvre gars coincé là, le temps passe lentement pour lui, mais vite pour nous. Pas un soupçon d'ennui, mais plutôt de l'impatience : "Bon quand est-ce qu'il le coupe, ce bras ??"
    La fin est un peu rapide, mais c'est pas le plus important. Le plus important c'est de savoir comment ce mec a tenu aussi longtemps là dedans, avec un moral d'enfer et de se faire une bonne petite morale sur le dépassement de soi.
    Je le conseille, même aux claustro comme moi !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 février 2012
    Danny Boyle réalise là un film efficace. Écrit d'après l'autobiographie d'Aron Ralston, 127 heures est un divertissement incroyablement prenant, mêlant la compassion à l'espoir. Émotions que le spectateur ne peut que ressentir tant James Franco transcende par son interprétation. L'acteur signe là sa meilleure performance et, de par le fait, prouve que son jeu gagne en maturité et en créativité. Les paysages sont tout bonnement magnifique et la musique originale de A.R. Rahman apporte une vraie légèreté bien nécessaire à l'ensemble. 127 heures est un huit-clos saisissant orchestré par une réalisation novatrice et soignée. A voir.
    Pipyche
    Pipyche

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 janvier 2012
    127h bon début avec de belles images, péripéties très intenses, mais la fin déçue trop rapide.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 février 2012
    probablement le meilleur 8 clos que j'ai jamais vu. james franco est parfait dans son rôle et il arrive à nous faire passer son message dramatique uniquement par le regard et lesd belles paroles qu'il nous procure. de plus, le réalisateur a réussi avec brio à réaliser son film tout en faisant ressortir une belle photographie et l'effet dramatique de l'histoire du sportif. une très très grande surprise qui mérite qu'on y jette le coup d'oeil.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 janvier 2012
    bonjour à tous, super je pensais trouver sa long et ennuyeux ,mais non c est prenant du début à la fin ,juste le moment ou il ce coupe le bras faut être accrochez ..... sinon je vous le conseil,bon film à tous
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 janvier 2012
    On pourrait croire qu'un film racontant les 127 heures passées par un aventurier au fond d'un canyon avec le bras coincé sous un rocher pourrait être un peu long mais pas du tout, au contraire ! On se met vraiment dans la peau du personnage en admirant son courage et aussi sa folie (bravo James Franco). Le gros plus : les paysages sont juste magnifiques ! On en redemande !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 janvier 2012
    Après le succès retentissant de Slumdog Millionnaire, Danny Boyle s'attelle à la réalisation d'un film biographique retraçant l'incroyable expérience d'Aron Ralston, un randonneur américain qui fut coincé pendant 6 jours au fond d'un canyon dans les gorges de l'Utah en mai 2003. A la base prévu pour être un documentaire, le réalisateur a su prouvé qu'il était capable de faire de "127 heures" un film dramatique intense, qui parvient à captiver et faire vibrer son spectateur durant 1h30, malgré le huis clos quasi immobile dans lequel il l'entraîne. Un pari osé, mais réussit, que l'on doit à la réalisation dynamique et singulière de Boyle, qui ne nous laisse finalement que peu de répits, un comble vu la situation de son personnage central. Mais si on échappe à l'ennui, le style clipesque du réalisateur n'est malheureusement pas sans faire de tord à son récit. Split screens, musique pop, plans surprenants et autres effets gratuits donnent du rythme au long-métrage, certes, mais nuise à l'émotion et à la compassion du spectateur à l'égard d'Aron. Le recours abusif aux hallucinations et aux flash-blacks n'arrangent rien, car en plus de ne pas toujours être pertinents, ils donnent une désagréable impression de remplissage, comme si Boyle cherchait à tout prix à éviter l'ennui. Le film aurait pourtant gagné à être plus sobre, plus calme et posé, notamment pour aborder avec plus de finesse le cap de la réflexion d'Aron sur ses propres fautes, qui lui reviennent aujourd'hui violemment en pleine figure. Car si c'est bien cette maudite roche de 500 kilos qui a pris au piège son bras contre la paroi, c'est son égoïsme, son tempérament solitaire, voire asocial, qui a exclus tout espoir de voir les secours venir le chercher, puisqu'il n'a même pas pris la peine de dire à ses proches où il se rendait. Mais malgré mes réserves sur le style de Boyle qui, selon moi, dessert par moment le long-métrage, ça serait être de mauvaise foi que de ne pas relever ses excellentes idées. Je pense notamment au corbeau, symbole ici de la liberté, qui passe chaque jours à la même heure au dessus d'Aron, ou encore les bains d'soleil, la brève hallucination d'Aron lorsqu'il aperçoit dans son canyon Scooby-doo à la lumière de son appareil photo, ainsi que l'usage répété, mais utile, de la caméra. J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié la séquence, à la fois drôle et triste, où Aron parodie une émission télévisée, abordant avec ironie et humour noir son triste sort et sa part de responsabilité. James Franco, pour qui l'année 2011 fut fructueuse, est réellement bluffant dans ce quasi one-man-show d'une heure et demi, un rôle éprouvant qui lui a valu sa première nomination aux oscars. Il dévoile un jeu très crédible, passant par tout les états d'esprits qu'a pu traverser le véritable Aron. D'abord habité par la rage de s'extirper du rocher qui le retient prisonnier, l'espoir laisse place peu à peu au fatalisme, à mesure où la soif, la faim et la fatigue malmène dangereusement son corps. Mais son courage, sa détermination à revoir ses proches, à ne pas mourir seul dans ce foutu canyon, sa fureur de vivre, mais surtout l'instinct de survie va l'amener à un acte difficilement imaginable pour le reste d'entre nous. Arrive donc la scène clef du film, formidable mais tétanisante, à la limite du supportable, et devant laquelle les âmes sensibles feraient mieux de s'abstenir. Impossible d'en sortir insensible, surtout qu'on est directement tenté de se poser la question: "Et moi, qu'aurai-je fais à sa place?". En conclusion, si Danny Boyle et son style hyperactif parviennent à rendre ce huit clos palpitant, c'est au détriment de l'émotion, et d'une véritable immersion dans ce qu'a pu être le calvaire d'Aron Ralston. Le plaisir était là, mais j'attendais autre chose.
    Demogorgon
    Demogorgon

    28 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2012
    Rarement je me suis senti autant claustrophobe ! Espérer tenir en haleine le spectateur avec une telle histoire et son paquet de contraintes qui vont avec, c'était un pari risqué. Ce n'est qu'une nouvelle démonstration du grand talent de Danny Boyle...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 septembre 2012
    Qu’elle déception devant cet immense ennui qu’est ‘127 heures’… Il faudra attendre 1h15 avant d’avoir une once d’action, mais la joie retombe vite en voyant ce déferlement de gore complètement inutile (…) Reste des paysages magnifiques façon carte postale et un James Franco honorable.
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