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    127 heures
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    3,9
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    1 579 critiques spectateurs

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    Johan Z.
    Johan Z.

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2017
    La critique de 127 heures
    C’est un film très connu parce qu’il est basé sur des faits réels. James Franco joue le premier rôle. Les
    Dialogues sont réels et la perspective change depuis go pro et normal vidéo. Le film est très émouvant. C’est un drame avec des éléments de comédie. Les scènes quand il a été dans la crevasse sont incroyables que toute sa vie passée sur sa tête. A mon Avis James Franco joue très bien. Le paysage est impressionnant. Le producteur John Smithson et Aron Ralston qui a vécu l’histoire sont entrés en contact pour faire un film ensemble. C’était un succès et je suis passionné par ce film.
    La passion du cinéma
    La passion du cinéma

    12 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2017
    Super film émouvant, bouleversant et angoissant que je recommande fortement mais pour ceux et celles qui regarderont ce film allez jusqu'au bout sinon ne le regardez pas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 novembre 2017
    Boyle signe un huis-clos inventif, drôle ou touchant avec un James Franco tout simplement excellent, un scénario solide et une réalisation remarquable.
    P.  de Melun
    P. de Melun

    45 abonnés 1 091 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2017
    « 127 heures » est saisissant de réalisme et c’est une formidable leçon de survie. Comment peut-on être indifférent à une telle histoire ? Ce film nous amène à nous poser des questions, à remuer notre conscience et nous rappeler que tout peut arriver et que nul n'est à l'abri d’un accident. La réalisation de Danny Boyle est parfaitement maîtrisée et nous tient en haleine dans des paysages sublimes. James Franco se révèle exceptionnel, habité comme jamais par son personnage, un casse-cou téméraire mais indescriptiblement attaché à la vie et à ses joies. Attention, certains passages peuvent heurter la sensibilité de certains spectateurs. Pour conclure : un excellent film à ne pas manquer !
    liamsi
    liamsi

    12 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2017
    On retrouve la touche humaine de Danny Boyle dans ce film, les paysages sont magnifiquement bien filmés, par contre c'est vraiment à déconseiller aux âmes sensibles, spoiler: La scène où le personnage se coupe le bras met vraiment mal à l'aise
    .
    Shawn777
    Shawn777

    497 abonnés 3 370 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2017
    Ce film réalisé par Danny Boyle et sorti en 2010 est très bon ! Il retrace la pénible épreuve qu'a enduré Aron Ralston, à savoir, resté coincé à cause d'un rocher pendant cinq jours sans que personne ne soit au courant. Le scénario est donc plutôt bon et en ayant assez vite parcouru l'histoire vraie de Ralston, le film y est assez fidèle. J'ai beaucoup hésité avant de le voir car j'ai entendu beaucoup de monde dire par exemple "le film est long, on s'ennuie etc." mais je l'ai finalement vu et je n'en suis pas du tout déçu ! Personnellement, je ne me suis pas du tout ennuyé car forcément, il ne faut pas s'attendre à de l'action puisque le film retrace l'histoire d'un homme coincé dans un canyon et de plus, il est tout de même bien rythmé. J'ai aussi été à fond dans le film car on prend vraiment part aux douleurs physiques et morales du personnage, ce qui est très fort. Malgré le fait que je regarde beaucoup de films d'horreur et que donc la vue du sang ne me dérange pas, j'ai quand même eu beaucoup de mal à regarder la scène où spoiler: Aron se coupe le bras
    , qui est affolante de réalisme et qui est à la limite du supportable ! Le style de Boyle se fait, comme dans chacun de ses films, très ressentir avec sa réalisation très particulière et notamment la scène d'introduction qui divise l'écran en trois parties, qui est très bien faite. Les images sont également très belles, surtout au début de son "voyage" et de sa rencontre avec les deux autres jeunes femmes. Du côté des acteurs, enfin ici de l'acteur d'ailleurs, nous avons James Franco dans le rôle d'Aron Ralston qui joue vraiment très bien ! "127 heures" est donc un film très prenant qui est très bon !
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    70 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2017
    Le réalisateur britannique de "Trainspotting" et de "Slumdog Millionnaire" s'attaque ici à l'histoire d'Aron Ralston, un jeune alpiniste chevronné qui se retrouve coincé au fond d'un canyon sans possibilité de demander de l'aide. Dans un premier temps, le film démarre bien, le style de Danny Boyle, adepte du montage et de la recherche de l'esthétisme passe bien. La belle photographie apporte une belle représentation de la nature et le rythme de montage effrénée du film permet au spectateur de rentrer dans le film. Mais à la longue ces procédés qui constituent la marque de fabrique du réalisateur fatiguent le spectateur. Le montage épileptique donne l'impression d'assister à un clip et non à un film de cinéma et cette recherche constante de l'esthétisation parait déplacé voir vulgaire. C'est d'autant plus rageant que le film laisse entrevoir de jolies choses comme la belle interprétation de James Franco. De plus il arrive au cinéaste de délaisser ses habitudes dans certaines scènes en renonçant à l'utilisation de la musique et en prenant d'avantage son temps pour composer es plans. Cela donne des scènes très intéressantes mais aussitôt après, le réalisateur britannique retombe dans ses travers. On a l’impression que Danny Boyle a tellement peur d'épuiser son sujet qu'il surcharge son film d'éléments inutiles tels que la musique ou les flash backs qui alourdissent le récit et lassent le spectateur. Si le film reste globalement divertissant et intéressant par moments, il n'en demeure pas moins assez décevant et il aurait gagné à ce que Danny Boyle prenne d'avantage son temps et privilégie la sobriété à l'hystérie.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    252 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juillet 2017
    "127 heures", c'est un film aux enjeux simples mais efficaces. Il s'agit de la survie d'un homme et de sa réaction face à l'épreuve de se trouver le bras coincé dans un rocher au fond d'une crevasse. Pour ce huis clos, il fallait un acteur au capital sympathie proche du 100%, en cela le choix de James Franco se révèle judicieux de la part de Danny Boyle. Il rend le personnage immédiatement sympathique, et cela tout du long, surtout quand l'on voit sa réaction et son sang froid général par rapport à ce qui lui arrive. Le film alterne entre moments de blues, de déprime absolue, et regains d'optimisme et de joie, voire de réaction désespérée. La solution ultime quand il se retrouve dos au mur est particulièrement gore et difficilement soutenable même pour les plus aguerris. Au final on ne s'ennuie jamais, et il s'agit là d'un coup de maître de la part du réalisateur britannique, qui nous gratifie de magnifiques images de l'Utah.
    The Hateful Citizen
    The Hateful Citizen

    8 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juillet 2017
    Ce film est plutôt réussi, en tout cas quand on voit le scénario de base, faire tout un film sur un mec coincé pendant 127 heures, c'est pas facile. Mais celui-ci est bien réussi, on s'ennuie par moment mais rien de grave. Cependant ce film reste un film sans but et faire un film d'une heure et demi sur une histoire vrai qui peut se résumer en quelques lignes est un très voir trop délicat et c'est ce qui fait que ce film peur difficilement avoir plus de 3/5, il reste juste "pas mal".
    Antoine D.
    Antoine D.

    36 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juin 2017
    C'est un film assez émouvant parce que l'on sait qu'il est tiré d'une histoire réel. Tous les gestes qu'Aron Ralston a fait en 2003 sont retranscrits fidèlement dans ce film. Cependant pour essayer de ne pas ennuyer le spectateur on oublie le caractère premier du film qui devait être un documentaire.
    On assiste à des flash-backs qui ne nous touche pas vraiment car le protagoniste revoit toute sa vie mais on assiste à des moments qui ne suscite aucune émotion à mon goût.
    Je ne suis pas non plus fan d'un plan qui contient 3 scènes différentes, esthétiquement parlant ce n'est pas beau du tout et elle n'apporte rien au film. Le choix de la caméra subjective est en revanche très bien choisie puisqu'on s'identifie clairement au personnage et on ressent ses émotions.
    Enfin, le personnage, sa vie, ses rêves, et toutes ses actions nous touchent énormément, c'est l'un des seul points positifs du film de Danny Boyle car on peut vraiment considérer Aron Ralston comme un héros.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 mai 2017
    C'est un bon film. Le jeu de James Franco est excellent, je n'ai pas vu le temps passer en regardant ce film.
    Redzing
    Redzing

    978 abonnés 4 336 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2017
    En 2003, Aron Ralston, aventurier occasionnel, s'aventure dans un canyon de l'Utah, et y restera coincé plusieurs jours, le bras écrasé par un rocher. Danny Boyle s'approprie cette histoire, pour un film qui reprend de nombreux tics clipesques du réalisateur. On y dénote ainsi plusieurs scènes efficaces : l'intro rentre-dedans, ou le dernier acte particulièrement intense (le montage sonore et visuel de la séquence spoiler: de l'amputation
    vaut son pesant de cacahuètes). Mais il contient également plusieurs longueurs, des effets tape-à-l’œil, et un protagoniste assez antipathique. Néanmoins, James Franco est très à l'aise dans la peau de ce jeune sportif arrogant et égoïste, qui va se remettre violemment en question. Par ailleurs, les images sont jolies, filmant les beaux paysages de l'Utah. Inégal toutefois.
    tisma
    tisma

    269 abonnés 1 881 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2017
    Un tres beau film tiré d'une histoire vraie, on compatie, on y est affecté, l'emotion est tres bien retranscrite par l'acteur James Franco
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mai 2017
    Hormis le fait que l'on peut interrompre le film quand on veut si on a une envie pressante, le home-cinéma a un avantage incontestable sur le ciné en salle: on est peinard. Oui: PEINARD. C'est-à-dire pas dérangé par une bande de teenagers en pleine mue qui en ont rien à battre du film et qui ricanent bêtement au fond de la salle, ou par un jeune couple en rut qui se fait une soupe de langues en faisant d'insupportables bruits de succions, ou bien encore ce que je considère aujourd'hui comme étant la plus grande plaie des multiplexes: les bouffeurs de friandises qui vont mettre la moitié du film à s'enfiler le seau de pop-corn qu'ils ont machinalement acheté avant d'entrer dans la salle! Il existe aussi une catégorie plus rare qui peut perturber une séance ciné mais pour laquelle j'ai beaucoup plus d'indulgence: les âmes sensibles qui tournent de l'oeil pendant le film. Je n'ai eu droit à ça qu'une seule fois, en 2010, pendant la reconstitution de l'auto-amputation d'Aron Ralston dans "127 heures", lors de laquelle le protagoniste se répète d'ailleurs à voix haute de ne pas tomber dans les pommes. Et bien figurez-vous que ce sont deux jeunes mecs qui ont pété un malaise l'un après l'autre, leurs copines paniquées alertant la direction du complexe. Bilan: interruption du film pendant une bonne dizaine de minutes le temps que les deux gars, blancs comme les ratiches de Donald Trump et allongés sur les marches, reprennent leurs esprits.
    Impact réel de la séquence-clé du film de Danny Boyle, hyper-réaliste et shootée plein cadre: on ne peut pas en atténuer l'horreur en misant sur le hors-champ puisqu'elle est la raison même de l'existence de ce récit surréaliste et pourtant véridique. Il fallait donc imposer à l'écran cette démonstration édifiante de courage et acte ultime de survie, en jouant sur un découpage chirurgical (ouais je sais, elle était facile celle-là), montage ultra-serré alternant de nombreux angles de caméra, y compris celui du caméscope d'Aron calé sur le rocher: cadrages en plongée/contre-plongée sur le charcutage, courtes focales épileptiques sur le visage déformé par la souffrance, légers flous, raccords en plans sur plans traduisant de mini-ellipses. Une torture qu'a enduré le vrai Aron Ralston pendant une heure (!) résumée ici en un éprouvant climax de 3 minutes 30s, expérience sensorielle flanquée d'une musique rock au crescendo anxiogène dont les soudaines stridences aiguës insistent avec une efficacité monstrueuse sur la douleur quasi insoutenable lorsque le petit canif usé atteint les nerfs du bras. Sacrifice corporel traumatisant s'avérant dans l'épilogue l'acte fondateur d'une véritable renaissance, volonté assumée de Boyle, particulièrement impressionné par le livre du jeune alpiniste américain racontant ces 127 heures de solitude après une chute dans une étroite crevasse perdue dans les gorges de l'Utah, le bras droit coincé sous un énorme rocher qui a roulé le long de la paroi. Un ouvrage paru en 2004, un an et demi après les faits, s'intitulant "Between a rock and a hard place", expression évoquant un cruel dilemme moral, un choix impossible entre deux solutions aussi désastreuses l'une que l'autre. Ca pourrait aussi être un clin d'oeil à un morceau des Rolling Stones qui a pour titre "Rock and a hard place", vu qu'il faut faire sacrément gaffe à une grosse pierre qui roule (j'suis en forme, moi). Quoiqu'il en soit, le film pose cette question essentielle: quel est le cheminement psychologique et physique qui peut amener à prendre une décision aussi terrible et extrême? Réponse brillamment apportée par le réalisateur de "Trainspotting" dans ce long-métrage décoché tel un crochet à l'estomac.

    Dans le genre du survival, il existe un sous-genre que j'appellerais le "huis-clos esthético-masculino-statique", figure de syle qui consiste à enfermer un beau gosse dans un lieu très étroit, dans lequel on peut retrouver des films comme "Phone game" où Colin Farrell menacé par un sniper est obligé de rester des plombes dans un cabine téléphonique, "Buried" où Ryan Reynolds enterré vivant est enfermé du début à la fin dans un cercueil, ou donc ce "127 heures" bien au-dessus du lot, avec James Franco dans le rôle du joli piégé pas veinard. Le challenge est évidemment de maintenir l'intérêt du spectateur avec un type seul quasi immobile pendant plus d'une heure. Mais contrairement aux deux films susnommés, le bonhomme se retrouve dans cette situation par sa propre faute et n'est jamais en relation téléphonique avec autrui. Il est seul au monde, ne pouvant compter que sur lui-même, comme l'illustre ce fantastique plan aérien partant de Ralston coincé dans la cavité rocheuse, s'élevant au-dessus de lui pour sortir de la crevasse et s'envoler façon Google Earth, montrant le piège sur une échelle d'une cruelle réalité: une faille minuscule, interstice dérisoire perdu dans l'immensité désertique du canyon. Exemple frappant de l'inventivité visuelle de Danny boyle qui nous régale d'idées provenant de sa culture pop, compensant l'immobilisme de la situation par un rythme créatif époustouflant - en particulier dans ces passages clippés traduisant la soif qui assaille l'aventurier en détresse et ces séquences d'hallucinations en split-screens - entrecoupant la narration de rêves et flash-back intimes. Avec la collaboration de deux directeurs photo (dont le fidèle Anthony Dod Mantle) qui ont chacun apporté un style différent - couleurs vives et éclatantes contrastant avec une pâleur angoissante et mortifère - le réalisateur british compose notamment un pur instant de grâce avec ce rayon de soleil venant baigner furtivement la crevasse de son éclat et sa chaleur, comme une lumière divine qui rappelle à Aron la façon dont son père lui a transmis cet amour inconditionnel de la nature. Premier flash-back émouvant d'une série de souvenirs qui permettent à Aron de s'évader provisoirement de sa solitude tout en en soulignant la cruauté, telles des gouttes de douceur tombant dans l'écume de l'amertume. Car le film n'est pas uniquement un formidable récit sur l'instinct de survie et les ressources ultimes enfouies au plus profond du corps et de l'esprit. C'est aussi une réflexion sur les regrets d'un homme en perpétuel mouvement, allant trop vite et passant à côté des choses, introspection rédemptrice transcendant une situation tragique en un révélateur sur sa propre personne et sa destinée. Poignant face-à-face avec soi-même matérialisé par ce caméscope avec lequel Aron s'est filmé durant ces six jours interminables, témoignage-confession vidéo ressemblant à un dernier journal intime.

    Et puis pardonnez-moi encore ce mauvais jeu de mots mais…James y va franco dans l'investissement. Son interprétation, en étroite collaboration avec le vrai Aron, est fabuleuse d'intensité sans jamais donner l'impression de surjouer. De l'euphorie insouciante/inconsciente des premières scènes avant la chute jusqu'à son épuisement et sa souffrance finale en passant par l'ironie désabusée, la nostalgie, l'effroi, le désespoir ou la colère, l'acteur déroule une panoplie d'émotions nous emportant dans une vertigineuse confusion des sens.

    Hommage magnifique, âpre et viscéral sur le refus d'abandonner quand la mort vient jeter son ombre sur l'âme, telle un vautour planant lentement au-dessus de votre tête.

    Les-chroniques-cine-de-francisco.blog4ever.net
    Nicolas V
    Nicolas V

    73 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2017
    127 heures tient la route grâce à la réalisation de Dany Boyle et à la performance de James Franco.
    Le premier propose en une heure trente une tension palpable et une angoisse grandissante d'un réalisme assez rare.
    Quelques flash back ponctuent l'histoire sans rendre le film trop émouvant ni casser son rythme .
    Ce dernier vise juste par son réalisme ( écartez les enfants ) et son manque de temps mort.

    Une histoire vraie, une histoire bluffante, une fin incroyable , un film incontestablement réussi.
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