Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Des images en noir et blanc (...) d'une beauté à couper le souffle, une recréation baroque, démentielle, de la Russie de 1953, un récit emporté, véritable fleuve qui dévaste tout sur son passage, laisse le spectateur pantois (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C'est sous le signe du Grand-Guignol qu'on aurait plutôt envie d'appréhender ce film, tel un bilan carnavalesque de l'ère soviétique dont la grimaçante surenchère exposerait à la bastonnade quiconque lui demanderait ses raisons.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gérard Lefort
KHROUSTALIOV est sans conteste le film russe maximum sur le stalinisme, celui qui fait son effet d'intelligence parce qu'il se garde bien de se camoufler dans la dénonciation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
(...) l'extraordinaire densité formelle du film s'exprime au détriment de la narration, et on est vite perdu dans la profusion de personnages, d'objets et de sons, filmés avec un appétit d'ogre en plans-séquences d'une complexité inouïe.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Antoine de Baecque
Il en va des personnages (...) comme des spectateurs : tous sont pris dans un immense, inextricable labyrinthe qui les ramène vers l'énigme de leur prise au piège du stalinisme, tous se cassent le nez sur l'irracontable de l'Histoire.
L'Humanité
par Michel Guilloux
Le train de l'histoire de Guerman, sur quoi se conclut son 'Khroustaliov, ma voiture!', est posé sur des rails à mille verstes de la repentance à bon compte.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
(...) une abondance baroque que Guerman ordonne avec minutie - mais en la saturant toujours davantage. (...) D'où la sensation d'étouffement que l'on ressent devant tant de prodigalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par François Gorin
Soucieux d'exorciser autant (sinon plus) que de raconter, Guerman donne au spectateur plus qu'il n'en peut absorber.Seules son énergie et sa constante invention plastique empêchent la somme de virer au pensum.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Elyzabeth François
On ressort du film en ayant l'impression d'un cruel manque d'informations, avec la frustration de ne pas même avoir saisi les micro-actions du film, tant la mécanique de Kroustaliov, ma voiture ! semble pensée dans ses moindre détails.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Studio Magazine
par Mariadèle Campion
Voir la critique sur www.studiomag.com
Les Echos
par Annie Coppermann
Très vite l'accumulation d'objets, de personnages, de mots, désarçonne, et lasse. On perd pied. On se noie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Des images en noir et blanc (...) d'une beauté à couper le souffle, une recréation baroque, démentielle, de la Russie de 1953, un récit emporté, véritable fleuve qui dévaste tout sur son passage, laisse le spectateur pantois (...)
Le Monde
C'est sous le signe du Grand-Guignol qu'on aurait plutôt envie d'appréhender ce film, tel un bilan carnavalesque de l'ère soviétique dont la grimaçante surenchère exposerait à la bastonnade quiconque lui demanderait ses raisons.
Libération
KHROUSTALIOV est sans conteste le film russe maximum sur le stalinisme, celui qui fait son effet d'intelligence parce qu'il se garde bien de se camoufler dans la dénonciation.
Première
(...) l'extraordinaire densité formelle du film s'exprime au détriment de la narration, et on est vite perdu dans la profusion de personnages, d'objets et de sons, filmés avec un appétit d'ogre en plans-séquences d'une complexité inouïe.
Cahiers du Cinéma
Il en va des personnages (...) comme des spectateurs : tous sont pris dans un immense, inextricable labyrinthe qui les ramène vers l'énigme de leur prise au piège du stalinisme, tous se cassent le nez sur l'irracontable de l'Histoire.
L'Humanité
Le train de l'histoire de Guerman, sur quoi se conclut son 'Khroustaliov, ma voiture!', est posé sur des rails à mille verstes de la repentance à bon compte.
Les Inrockuptibles
(...) une abondance baroque que Guerman ordonne avec minutie - mais en la saturant toujours davantage. (...) D'où la sensation d'étouffement que l'on ressent devant tant de prodigalité.
Télérama
Soucieux d'exorciser autant (sinon plus) que de raconter, Guerman donne au spectateur plus qu'il n'en peut absorber.Seules son énergie et sa constante invention plastique empêchent la somme de virer au pensum.
Chronic'art.com
On ressort du film en ayant l'impression d'un cruel manque d'informations, avec la frustration de ne pas même avoir saisi les micro-actions du film, tant la mécanique de Kroustaliov, ma voiture ! semble pensée dans ses moindre détails.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Les Echos
Très vite l'accumulation d'objets, de personnages, de mots, désarçonne, et lasse. On perd pied. On se noie.