Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Verdict : le film, très sexy, s'avère plus drôle et plus enlevé que le roman.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Jérôme Vermelin
Du grand cinéma ? Peut-être pas... Un bon divertissement ? Assurément. Et même un peu plus.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Kahina Sekkai
Pour ce qui avait démarré comme étant une fan-fiction du très prude «Twilight», le résultat sur grand écran est plutôt une bonne surprise tant on avait craint le pire…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par La Rédaction
Beaucoup plus glam que le livre, ce film va hyptoniser les fans.
CNews
par La rédaction
En dépit d'une alchimie pas toujours convaincante entre les deux acteurs principaux, "Cinquante nuances..." n'est pas la pochade redoutée et, surtout, n'est pas dénué d'humour.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Filmsactu
par Fanny Belloq
Le film est-il fidèle au roman ? Autrement dit : y aura-t-il du sexe, de la violence et du tabou ? Non, tout ce tohu-bohu autour du caractère sulfureux du film n’était pas nécessaire. Mais si vous êtes de nature curieuse, le coup d’œil en vaut la peine.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
"Le masochiste est celui qui vit l'attente à l'état pur" écrivait Deleuze dans son introduction à Sacher-Masoch. C'est la définition-même d'une jeune fille romantique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Ursula Michel
Les péripéties d’Anastasia et de Christian pourraient s’assimiler à un bréviaire porno soft pour adolescentes, un SM pour les nuls.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce qui s’annonce comme un thriller sensuel, voire sulfureux, sur une relation passionnelle, est constamment retenu. Parvenir à faire passer "Histoire d’O" de Just Jeackin comme un grand film sadien relève de la prouesse. Allez vous faire fouetter ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Cela a donné un best-seller mondial, lequel se trouve ici adapté en porno sado-maso soft, avec un couple moins convaincant que le marketing déployé.
Le Point
par Michel Schneider
L'adaptation du best-seller qui s'est écoulé à 100 millions d'exemplaires ne fait pas frissonner.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Malgré son emballage soft-porn agréable, le film souffre parfois d’une idéologie balourde et nauséabonde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
A l’arrivée, on se retrouve devant une romance banale à l’érotisme quasi nul : la tension ne monte jamais puisqu’on passe toujours à l’acte. (...) On en viendrait presque à regretter la tension sexuelle contenue de "Twilight", bluette dans laquelle les héros mettent quatre livres à concrétiser.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Jamie Dornan et Dakota Johnson, embarrassés par un rôle à la fois trop intense et trop abstrait, folâtrent maladroitement. Sans alchimie, sans passion, sans envergure, la relation entretenue par les acteurs achève de discréditer le long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Un pathétique épisode de Greg le millionnaire dont le fonds sado-masochiste ne sert qu’à subvertir les codes de la comédie romantique en pliant chaque rebondissement aux clauses d’un contrat verrouillé jusque dans ses moindres détails
GQ
par Toma Clarac
Parler de mystère est de toute manière faire trop d'honneur au film. Mise en scène inexistante, dialogues et situations ridicules... Ne reste que les acteurs pour sauver l'ensemble du naufrage annoncé. Raté. Dakota Johnson et Jamie Dornan (...)sont aussi transparents que leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un ratage qu’on soupçonnait et dans lequel il n’y a vraiment rien à sauver!
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
À prendre comme une invitation régressive à jouer à la Barbie, le film est aussi fantasmatique que la poupée : irréel, il invite finalement assez peu l'imaginaire à s'évader.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Quentin Girard
Dans le fond, en deux heures, il n’y a de supplice que pour une seule personne : le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
On guette en vain la moindre expression sur le visage de Jamie Dornan dans le rôle-titre. Révélé par la série "The Fall", il est ici d’une constante fadeur. Mais avec son petit air de Sophie Marceau, Dakota Johnson la fille de Melanie Griffith et de Don Johnson n’est guère plus en verve expressive.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Grégory Valens
L'intiation évoque "9 Semaines1/2" autre film pseudo-sulfureux qui fit un triomphe voici trente ans (c'était avant Canal+ et Internet). (...) A l'esthétique clipesque d'Adrian Lyne répond un faux classicisme qui n'est qu'une absence de point de vue.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce film qu'on pouvait espérer provocateur, tant qu'à faire, finit même, avec un regard bien puritain, par désigner les fantasmes de M. Grey comme ceux d'un pauvre malade... qui ne demande qu'à guérir ! On nage en pleine hypocrisie.
Le Parisien
Verdict : le film, très sexy, s'avère plus drôle et plus enlevé que le roman.
Metro
Du grand cinéma ? Peut-être pas... Un bon divertissement ? Assurément. Et même un peu plus.
Paris Match
Pour ce qui avait démarré comme étant une fan-fiction du très prude «Twilight», le résultat sur grand écran est plutôt une bonne surprise tant on avait craint le pire…
Public
Beaucoup plus glam que le livre, ce film va hyptoniser les fans.
CNews
En dépit d'une alchimie pas toujours convaincante entre les deux acteurs principaux, "Cinquante nuances..." n'est pas la pochade redoutée et, surtout, n'est pas dénué d'humour.
Filmsactu
Le film est-il fidèle au roman ? Autrement dit : y aura-t-il du sexe, de la violence et du tabou ? Non, tout ce tohu-bohu autour du caractère sulfureux du film n’était pas nécessaire. Mais si vous êtes de nature curieuse, le coup d’œil en vaut la peine.
Chronic'art.com
"Le masochiste est celui qui vit l'attente à l'état pur" écrivait Deleuze dans son introduction à Sacher-Masoch. C'est la définition-même d'une jeune fille romantique.
Critikat.com
Les péripéties d’Anastasia et de Christian pourraient s’assimiler à un bréviaire porno soft pour adolescentes, un SM pour les nuls.
Franceinfo Culture
Ce qui s’annonce comme un thriller sensuel, voire sulfureux, sur une relation passionnelle, est constamment retenu. Parvenir à faire passer "Histoire d’O" de Just Jeackin comme un grand film sadien relève de la prouesse. Allez vous faire fouetter ailleurs.
Le Dauphiné Libéré
Cela a donné un best-seller mondial, lequel se trouve ici adapté en porno sado-maso soft, avec un couple moins convaincant que le marketing déployé.
Le Point
L'adaptation du best-seller qui s'est écoulé à 100 millions d'exemplaires ne fait pas frissonner.
Les Inrockuptibles
Malgré son emballage soft-porn agréable, le film souffre parfois d’une idéologie balourde et nauséabonde.
Première
A l’arrivée, on se retrouve devant une romance banale à l’érotisme quasi nul : la tension ne monte jamais puisqu’on passe toujours à l’acte. (...) On en viendrait presque à regretter la tension sexuelle contenue de "Twilight", bluette dans laquelle les héros mettent quatre livres à concrétiser.
aVoir-aLire.com
Jamie Dornan et Dakota Johnson, embarrassés par un rôle à la fois trop intense et trop abstrait, folâtrent maladroitement. Sans alchimie, sans passion, sans envergure, la relation entretenue par les acteurs achève de discréditer le long-métrage.
Cahiers du Cinéma
Un pathétique épisode de Greg le millionnaire dont le fonds sado-masochiste ne sert qu’à subvertir les codes de la comédie romantique en pliant chaque rebondissement aux clauses d’un contrat verrouillé jusque dans ses moindres détails
GQ
Parler de mystère est de toute manière faire trop d'honneur au film. Mise en scène inexistante, dialogues et situations ridicules... Ne reste que les acteurs pour sauver l'ensemble du naufrage annoncé. Raté. Dakota Johnson et Jamie Dornan (...)sont aussi transparents que leurs personnages.
Le Journal du Dimanche
Un ratage qu’on soupçonnait et dans lequel il n’y a vraiment rien à sauver!
Les Fiches du Cinéma
À prendre comme une invitation régressive à jouer à la Barbie, le film est aussi fantasmatique que la poupée : irréel, il invite finalement assez peu l'imaginaire à s'évader.
Libération
Dans le fond, en deux heures, il n’y a de supplice que pour une seule personne : le spectateur.
Ouest France
On guette en vain la moindre expression sur le visage de Jamie Dornan dans le rôle-titre. Révélé par la série "The Fall", il est ici d’une constante fadeur. Mais avec son petit air de Sophie Marceau, Dakota Johnson la fille de Melanie Griffith et de Don Johnson n’est guère plus en verve expressive.
Positif
L'intiation évoque "9 Semaines1/2" autre film pseudo-sulfureux qui fit un triomphe voici trente ans (c'était avant Canal+ et Internet). (...) A l'esthétique clipesque d'Adrian Lyne répond un faux classicisme qui n'est qu'une absence de point de vue.
Télérama
Ce film qu'on pouvait espérer provocateur, tant qu'à faire, finit même, avec un regard bien puritain, par désigner les fantasmes de M. Grey comme ceux d'un pauvre malade... qui ne demande qu'à guérir ! On nage en pleine hypocrisie.