Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Fleur Albert livre une fiction âpre sur les invisibles des squats.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Entre fiction et documentaire, un premier film fort sur les ravages du crack...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Il n’y a aucun artifice, aucune démesure, ni dans la manière de filmer, ni dans la mise en scène, ni dans le jeu des acteurs, toujours juste. Le récit, bien mené, les décors naturels, et les personnages complexes suffisent à donner toute son esthétique et toute sa puissance au drame.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Sandrine Marques
Un film hybride curieux qui ne fonctionne guère sur la durée, coincé entre une prise ultra-réaliste sur les événements et une théâtralité revendiquée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Entre documentaire, polar et spectacle théâtral, son film rend un hommage singulier, même si parfois maladroit, à ces damnés de la terre qui vivent quasi clandestinement entre la Porte de la Chapelle et le métro Stalingrad, et réussit à leur rendre dignité et combativité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Fleur Albert a passé cinq ans entre la Goutte d'Or et Stalingrad, avec les usagers de crack parisiens. (...) D'où cet effet de réel immédiat, sans fard, et un regard rare.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Sophia Collet
La réalisatrice se heurte à l’écueil propre à un cinéma français qui se voudrait épris d’altérité mais retombe toujours sur ses pattes – celui du romantisme forcené des Klotz ou de Vincent Dieutre.
Première
par Eric Vernay
(...) un film choral d'un sérieux affecté, tellement artificiel et dénué de sensualité que l'humanité des personnages n'affleure jamais vraiment sous les pesantes intentions poétiques.
L'Humanité
Fleur Albert livre une fiction âpre sur les invisibles des squats.
aVoir-aLire.com
Entre fiction et documentaire, un premier film fort sur les ravages du crack...
aVoir-aLire.com
Il n’y a aucun artifice, aucune démesure, ni dans la manière de filmer, ni dans la mise en scène, ni dans le jeu des acteurs, toujours juste. Le récit, bien mené, les décors naturels, et les personnages complexes suffisent à donner toute son esthétique et toute sa puissance au drame.
Le Monde
Un film hybride curieux qui ne fonctionne guère sur la durée, coincé entre une prise ultra-réaliste sur les événements et une théâtralité revendiquée.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Entre documentaire, polar et spectacle théâtral, son film rend un hommage singulier, même si parfois maladroit, à ces damnés de la terre qui vivent quasi clandestinement entre la Porte de la Chapelle et le métro Stalingrad, et réussit à leur rendre dignité et combativité.
Télérama
Fleur Albert a passé cinq ans entre la Goutte d'Or et Stalingrad, avec les usagers de crack parisiens. (...) D'où cet effet de réel immédiat, sans fard, et un regard rare.
Cahiers du Cinéma
La réalisatrice se heurte à l’écueil propre à un cinéma français qui se voudrait épris d’altérité mais retombe toujours sur ses pattes – celui du romantisme forcené des Klotz ou de Vincent Dieutre.
Première
(...) un film choral d'un sérieux affecté, tellement artificiel et dénué de sensualité que l'humanité des personnages n'affleure jamais vraiment sous les pesantes intentions poétiques.