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Note moyenne
3,1
23 titres de presse
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20 Minutes
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CNews
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CinemaTeaser
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Dernières Nouvelles d'Alsace
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Femme Actuelle
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Le Figaro
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Le Parisien
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Le Point
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Ouest France
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Télé Loisirs
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Ecran Large
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L'Ecran Fantastique
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La Voix du Nord
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Le Journal du Dimanche
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Les Fiches du Cinéma
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Première
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Télé 7 Jours
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Télérama
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Voici
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Positif
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L'Obs
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Mad Movies
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aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
20 Minutes
Rich Moore et Phil Johnston ont particulièrement soigné le personnage de Vanellope, une princesse hors du commun.
CNews
"Ralph 2.0" regorge de séquences ultracolorées et foisonne d’inventions visuelles, quitte à ressembler parfois à un film publicitaire mettant en avant les entreprises du Web et les produits dérivés de l’univers Disney.
CinemaTeaser
Spectaculaire et étonnamment émouvant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Pour finir de briser les archétypes, avec un humour jubilatoire et conséquent, comme s’il avait importé l’esprit de satire des Simpson, Rich Moore avec son acolyte Phil Johnston décape l’image des princesses Disney en les réunissant dans une même scène, cultissime en diable.
Femme Actuelle
Selon son âge, chacun appréciera les nombreux clins d'oeil à l'univers des jeux vidéo, aux personnages Disney... et même à King-Kong !
Le Figaro
Vif, touchant et plaisant.
Le Parisien
Encore plus réussie que « Les Mondes de Ralph » (2012), cette suite drôle et émouvante matérialise brillamment en animation l’univers d’Internet, avec ses marques omniprésentes, ses ruptures de réseau, ses jeux en ligne…
Le Point
Il ne paye pas de mine et, pourtant, le petit dernier des studios Disney a plus d'un tour dans son sac. Seul ou en famille, adulte ou enfant, foncez !
Ouest France
Ce deuxième opus, rythmé et coloré, est l'occasion d'aventures truffées de clins d'oeil et offrant deux séquences d'anthologie.
Télé Loisirs
Bourrée d'autodérision et de références, cette suite maligne et fun déploie une créativité débridée.
Ecran Large
Sans jamais déplaire, "Ralph 2.0" a beaucoup de mal à trouver quelque chose à raconter et se perd un peu dans ses infinies références.
L'Ecran Fantastique
L'évolution pleine d'émotion des deux personnages est belle à voir et fait de "Ralph 2.0" un film complexe et profond sur la nature humaine.
La Voix du Nord
Un Disney mineur, long et un peu lent à la détente comme son personnage principal, mais avec quelques scènes vraiment plaisantes.
Le Journal du Dimanche
Entre nostalgie et modernité, une fable initiatique à la fois ludique et émouvante.
Les Fiches du Cinéma
Non sans une certaine dose d'opportunisme, cette suite exploite, avec roublardise, les références de la pop culture.
Première
Par son inventivité, le scénario de ce deuxième épisode dépasse l’original, et recèle deux pépites.
Télé 7 Jours
Si l’on retrouve avec plaisir ce tandem attachant et la même excellence graphique dans cette suite, cette immersion dans la Toile s’avère moins inventive, trop sage et répétitive.
Télérama
Si ces aventures restent truffées de bonnes idées comiques, elles font la part trop belle aux géants du Web, dont les (vrais) noms s’étalent partout. Dommage pour Ralph, que cette nouvelle fonction d’homme-sandwich rend un peu moins attachant.
Voici
Rigolote, cette animation à l'esthétique soignée peine toutefois sur l'émotion, artificielle.
Positif
On ne peut pas dire que l'épisode un ("Les Mondes de Ralph") nous avait convaincus. Le deuxième ne fait pas mieux.
L'Obs
Tout, de la satire accommodante des réseaux sociaux aux clins d'œil maison à "Star Wars", trahit l'opportunisme d'un blockbuster calibré pour vendre des jouets et perpétuer l'hégémonie de l'empire Disney sur notre imaginaire.
Mad Movies
Dans cet univers coloré au jus de cerveau disponible, tout n'est que placement de produit et absence absolue de recul réflexif.
aVoir-aLire.com
Un film étouffé par les mondes d’internet qui, au fur et à mesure du déroulement de son intrigue, s’enlise dans une complaisance geek affligeante.