Derniers Avis : L'Amour est un crime parfait - Page 6

Très - trop - ampoulé, ce polar qui n'en est pas un peine à maintenir l'attention. Dans ce genre de récit, un minimum de crédibilité ne devrait pas nuire: Amalric en bourreau des cœurs, allons donc...

Quel titre, quel film, que jeu d'acteurs, quelle direction ! "L'Amour est un crime parfait" m'a fait ré-aimer le cinéma français !

Ce film nous montre et démontre que le cinéma français n'est pas mort au contraire avec le trio Arnaud et Jean-Marie Larrieu et Philippe Djian, on peut encore se dire que le cinéma français a de belles années devant lui !

Mathieu Almaric est toujours divin comme une gorgée de Fée verte qui coule dans la gorge d'un pendu qui sourit.

Il m'avait déjà envouté dans "Vénus à la fourrure" de Polanski, mais là, je craque, je suis tombé amoureux, cinéphilement parlant, de cet acteur qui fait à nouveau battre le coeur de la momie comateuse du cinéma Français.

Même Karin Viard qui joue à cache cache dans ma cinémathèque, tant certains de ces films ne m'ont pas enivrer au point que pour la majorité de ces films, je n'ai pas les ai pas regardé jusqu'au bout...Dans, ce film, elle joue le rôle qui convient à son apparence, comme si l'excellent casting de ce surprenant film avait été élaboré au point de laisser toute la place au personnage ( Marc ) de Mathieu Almaric pour nous entraîner dans cette spirale romantique délirante que seuls les quadragénaires et les jeunes qui ont vraiment vécu l'Amour, pouvaient la comprendre...

Sarah Forestier et Maïwenn elles aussi apportent de l'émotion à ce chef-d'oeuvre du cinéma, qui pour paraphraser la critique américaine peut figurer au rang Hitchcockien, sans aucun doute.

Triste et stupéfaite fût ma surprise de lire les critiques de Allo Ciné et même celles de IMDB, lorsque après avoir vu ce film que je classerai parmi les meilleurs films depuis 25 ans, époque où je m'étais régalé avec des films comme "Le Paltoquet" ou "Dobermann",...

J'avais vraiment envie de partager ma critique avec le vrai plaisir que m'a procuré ce film délicieux comme une poésie de Baudelaire avec d'autres spectateurs, mais mes yeux n'en reviennent pas !

Où les spectateurs de Allociné ne savent pas apprécier un vrai bon excellent film où alors, c'est moi apprécie que les films "moyens" en allant même jusqu'aux navets, si j'en juge la proportion de critiques négatives d'un nombre de + ou - 150 sur 234 !

234 critiques au total en tout seulement ! Mais que s'est il passé en Janvier 2014 pour que si peu de personnes soient passé à côté de cette oeuvre magistrale du cinéma ?

Je ne lis jamais les critiques de la Presse et ce depuis mes presque 30 ans d'amour de cinéma, peu importe l'opinion de la presse, mes envies de dépendent pas d'elles.

Mais cette fois-ci, si j'en juge le nombre d'étoiles attribuées, je n'aurai pas regretter de m'être fier à elles, si j'avais pris cette mauvaise habitude cinématographique de lire les critiques de la Presse pour avoir envie de voir un film.

Les critiques des spectateurs m’intéressent davantage, parce qu'elles contiennent des émotions, elles ne sont pas résumés en une phrase presque commerciale genre "Film de l'année, époustouflant,..."

Mais là que conclure, que dire ?

Cela m'est déjà arrivé aussi avec quelques autres films, d'être ainsi surpris par l'avis mitigé voir désobligeant des critiques négatives des spectateurs, c'est pourquoi pour ne pas être influencé par elles, pour ne pas passer à côté d'un chef-d'oeuvre, je n'en tiens pas compte non plus.

En fait, entre le cinéma et moi, c'est une histoire d'Amour, une question de feeling, de surprise, mais certainement pas une envie d'aller voir un film que tout le monde applaudit ou le contraire, d'éviter le film que presque tout le monde descend...

Je préfère me faire mon propre avis, et je constate que je fais bien de conserver cette philosophie cinéphile...

"L'Amour est un crime parfait" pour moi, est à classer par les 12 meilleurs films du cinéma Français depuis que les Frères Lumière ont émerveillé les yeux de leurs premiers spectateurs.

Son originalité, son rythme, sa poésie, sa mise en scène ont littéralement transcendé mes souvenirs cinématographiques.

Où est l'objectivité ? Y a t'il eu un complot contre ce film ? Les spectateurs ont ils des "goûts de chiotte" ou est ce moi, le deuxième a mettre 5 étoiles pleines, qui a des goûts d’égouts ?

La réponse est ailleurs, elle est astrologique, aussi étonnant que cela puisse être !

J'adore le cinéma mais je m'intéresse aussi à d'autres passions, parmi elles, j'adore aussi les fêtes d'anniversaire, c'est comme ça que j'ai commencé à m’intéresser aux dates d'anniversaire d'une équipe de tournage peu importe celle-ci.

Je vous ai dit que j'avais adoré "Le Paltoquet", c'est comme ça qu'un jour, je découvre que Fanny Ardant est Bélier née dans une année du Buffle chinois, soit le 22 mars 1949.

Ayant pris cette habitude de détective des anniversaires, j'ai mené ma petite enquête sur "L'Amour est un crime parfait" et c'est là que vous allez rire mais j'espère aussi être surpris, intrigué, intéressé, en apprenant que Arnaud et Jean-Marie Larrieu sont tous les deux du Signe du Bélier.

Et là où cela devient subtil, c'est que Philippe Djian lui est né dans la même année du Buffle Chinois que Fanny Ardant !

Je vais essayer de vous expliquer en bref, avec ces données, comment un film peut voir le jour :

Un lecteur, sans doute Jean-Marie Larrieu, né le 8 avril 1965, lit le livre de Djian né en 1949, il est comme moi séduit par ce roman, mais Jean-Marie contrairement à moi ( qui n'ait pas mes entrées dans le monde du cinéma, d'autant que je n'ai pas lu le roman "Incidences" ) pense lui, à en faire une adaptation cinématographique. Il fait lire le roman à son frère, Arnaud Larrieu, né le 31 mars, qui du même signe que son frère, apprécie aussi le livre.

De son côté, Djian apprécie particulièrement Jean-Marie Larrieu, qui lui est né en 1965, soit dans une année du Serpent.

D'après l'astro chinoise, Serpent et Buffle sont nés pour s'entendre ( d'après Wikipédia entre autre ), cela se vérifie avec le "couple" formé par Jean-Marie Larrieu et Philippe Djian.

Mais à ce duo, vient se rajouter Mathieu Amalric qui lui aussi est né en 1965.

Voici le récapitulatif :

- 2 béliers ( hommes ) : Arnaud et Jean-Marie Larrieu
- 2 serpents ( hommes ) : Jean-Marie Larrieu et Mathieu Almaric

Moi qui suis aussi né dans le signe du Bélier ( le 16 avril ) et dans une année du Buffle ( 1961), je ne peux être forcément et en toute (astro)logique que séduit par le film "L'Amour est un crime parfait" réunissant les signes et animaux qui me sont harmonieux ( c'est à dire, dont j'aimerai les oeuvres ).

J'apprécie autant Fanny Ardant et son jeu d'actrice ainsi que son charisme que le jeu de Mathieu Almaric, que la direction des frères Larrieu et l'adaptation du roman de Philippe Djian.

Vous avez constaté qu'un peu plus haut, j'ai parlé de la poésie délirante de Baudelaire, eh bien lui aussi était Bélier né Serpent, c'est pour cette raison que j'en ai parlé parce que comme pour le film des frères Larrieu, ce poète est pour moi une référence dont l'oeuvre fait que j'y retrouve une partie de moi-même, si pas toute !

C'est bien joli, me direz-vous, si vous êtes producteur, acteur ou réalisateur mais, cela n'explique pas pourquoi, un film ne remporte pas l'adhésion d'un plus grand nombre !

L'explication se trouve dans le mauvais choix de "marketing" d'un film, dans le cas de "L'Amour est un crime parfait" la campagne aurait du être "Recommandé aux signes du Bélier et aux Animaux du Buffle et du Serpent"

Ainsi, sur la population Française ou Francophone, + ou - un douzième ( né dans le signe du Bélier ) de cette population ( soit pour la France + ou - 600.000 spectateurs ) apprécieront ce film ( bien sûr, il faudra attendre que les enfants né dans le signe du Bélier grandissent parmi ces 600.000 spectateurs ).

Mais à ce nombre de 600.000 spectateurs, il faut aussi rajouter le douzième de Buffle et le douzième de Serpent.

Ce qui donne le chiffre de 1.800.000 spectateurs, si on retire la moitié qui sont encore des enfants de ce nombre, cela nous laisse 900.000 spectateurs, rien que pour la France.

Rajoutez à ce nombre, la population francophone suisse, belge et canadienne, et on dépasse largement le nombre du million de spectateurs...

Faites le test vous aussi, et vous constaterez selon votre signe et/ou votre animal de naissance que vous aussi, vous avez apprécié un film sur base de ma petite explication.

Il faut donc revoir les campagnes de promotion d'un film et supprimer la critique de presse qui n'est en rien objective que ce soit dans le cas d'une critique négative ou positive.

Mais ce n'est pas tout, en effet, l'année de sortie d'un film est déterminante elle aussi, ainsi, je ne me suis pas renseigné mais je suis certain que l'avant dernier film des frères Larrieu, "Les Derniers Jours du monde" a eu plus de succès que le dernier, ce qui est logique, puisque c'est en général, l'avant dernier film qui paye le dernier, je veux dire qu'un réalisateur ne peut pas cumuler un échec, plusieurs fois de suite, aucun producteur n'a envie de perdre son investissement...

Dans le cas, de "L'Amour est un crime parfait", la distribution aurait du choisir une autre date de sortie, en effet, au mois de Janvier 2014, nous étions encore dans l'année du Serpent, et là, contrairement à l'harmonie qui existe entre certains Animaux, sortir son film ( ou n'importe quel autre projet ) dans une année identique à son animal de naissance ( dans ce cas, Jean-Marie Larrieu, né Serpent ) est en général, le vouer à un échec.

Par comparaison, "Les Derniers Jours du monde" est sorti en 2009 ( une année du Buffle) et cette année-là, le film fût mieux perçu...

Cette comparaison est intéressante puisque dans ces 2 films, Mathieu Almaric et Karin Viard ont joué un rôle.

Voilà, j'espère que vous aurez compris que mon voeu le plus cher, est que le cinéma continue à produire à tout va, afin que chacun acteur, réalisateur et producteur continuent à faire du cinéma, plutôt que d'abandonner ce monde merveilleux, parce que soit la campagne de promo est mal ciblée soit parce que le film sort dans une année où il ne doit pas, soit les deux en même temps...

Ah oui, dernier détail, peu importe le décalage de la Précession des Equinoxes pour l'astrologie "occidentale", ma théorie est quand même valable, puisque je me base sur les dates d'anniversaires en tant que chiffres et non pas en tant que signes.

Alors si cela vous fait plaisir de concevoir qu'un bélier est d'après l'astrologie sidérale, un poisson, cela ne change rien, au principe de calcul astro-cinématographique.

Parmi d'autres exemples d'acteurs que j'apprécie, il y a aussi : Ewan Mac Gregor, Robert Downey Junior, Jessica Lange, Alex Baldwin, Andy Garcia, Christophe Lambert, etc...je vous laisse deviner de quel signe, ils sont ;-

En conclusion de ma critique, saviez-vous qu'au tout début, le logo de Gaumont ( était un zodiaque des 12 signes ? Si si c'est vrai, c'est pas une blague ! Regardez les films des années 30 !

Au fait, si vous voulez éclairez votre lanterne cinéma, n'hésitez pas à me m'écrire via mon facebook, je serai enchanté de contribuer à ce que vive le cinéma ! ;-

Ah oui, juste une petite critique négative, l'affiche du film n'est vraiment pas à la hauteur de l'excellent scénario, c'est sur qu'une affiche contribue aussi au succès d'un film, c'est en tout cas, ma modeste expérience en graphisme qui s'exprime.

Don Juan fait su ski

Mathieu Amalric est transpirant de film en film.

Ses yeux globuleux font un léger mouvement, comme les crocodiles, pour nous transmettre une émotion. Son ton est monocorde et de plus, il n’est pas séduisant. Bon ça peut ressembler à de l’acharnement et tous les intelllos vont me tomber sur le paletot, je cite: « …Comment Amalric ?!? c’est un grand acteur et réalisateur de génie… Quand même, comment ne pas aimer la coqueluche de Télérama. »

Parce que que je n’ai pas vu son film « Tournée »

Karin Viard, n’a pas de dimension dans son rôle , elle ne semble pas concernée , mais c’est une belle actrice, vue il y a peu dans « Lulu Femme Nue » où elle était vraiment chouette.

Maïwenn (as Maïwenn Le Besco) : Ouais elle joue toujours un peu pareil elle est pseudo intense en papillonnant des yeux mais elle a un vrai talent de réalisatrice.

Sara Forestier, est comme d’habitude , elle minaude, mais là au moins, on lui demande de le faire.
Rien à dire de Denis Podalydès: il est discret et efficace.

Bon le film peut très bien nous faire passer un bon dimanche soir. Le scénario n’est pas dénué d’intérêt mais c’est un peu longuet et le casting est bancal. On s’ennuie et les acteurs semblent ailleurs.

Dans ce genre j’ai préféré « Avant l’aube » de Raphaël Jacoulot.

Abrupt et trop mystérieux, ce film n'en n'est pas moins un très bon polar. Peut être un peu trop de préciosité dans le langage qui nuit à l'attachement mais un bon film sans aucun doute... Merci;-))

Étonnant, assez inquiétant (c'est fait pour...) : grand Matthieu AMALRIC & Karin VIARD, dans des paysages grandioses (neige et Fac futuriste) pour une intrigue bien dure à découvrir.
A voir au chaud ou au soleil, en bonne compagnie ?

On reste pantois devant un scénario navrant aussi inexistant qu’inintelligible, une mise en scène laborieuse aussi désagréable que prétentieuse , un acteur principal aussi excessif et exaspérant.
Il reste une profonde tristesse d'avoir gâcher une soirée avec tant de nullité.

Ennuyeux et terriblement mal joué, des scènes absurdes et sans intérêt, c'est bien dommage !!

On comprend aisément ce qui a motivé les frères Larrieu à s’attaquer à l’adaptation de ce roman noir de Dijan : un goût du souffre, un univers presque hors du temps en huis clos, une histoire à tiroirs (cachés de préférence). Après le désastreux « Voyage aux Pyrénées » et l’inclassable « Les derniers jours du monde », ils replongent dans un réalisme salvateur (pour leur carrière également) et se paient le luxe de signer un polar raffiné bien acéré. « Le cœur n’est jamais si bien en équilibre que sur un tranchant d’acier » cette pensée de Reverdy semble coller à la peau de Marc, ce professeur de lettre un peu cavaleur et surtout bien cavalier. Le personnage, sur lequel repose tout l’intérêt du film, est incroyablement inquiétant, brillant, morgueux, porté et sublimé par le charismatique Amalric. Il est épaulé par une Maïwenn plus convaincante que d’ordinaire et une Karine Viard par contre un peu en deçà.
Equilibre et acier sont aussi les maîtres mots du film. Equilibre car il en fallait peu pour que ce drame bourgeois sombre dans le ridicule. Mais les fréres Larrieu ont trouvé la juste mesure, la même approche orginale qui en son temps faisait de « Peindre ou faire l’amour » un film d’exception. Ce qui n’est pas le cas ici toutefois à cause d’une forte baisse d’intensité sur la fin. Quant à l’acier, il teinte le film de sa lumière gris bleue et glacée, s’imisce dans les cadrages (les scènes de crise notamment), se plante au niveau des décors pétrifiés ou glisse sur les instruments stridents (excellente partition de Caravaggio).

Explorer un nouveau registre. Il faut bien le dire, les cinéastes français sont peu nombreux à se lancer dans cette aventure. A quelques exceptions près. Les frères Larrieu aiment, plus que tout, brouiller les pistes. Après le cinéma bucolique, la prose existentielle ou encore le film de fin du monde, ils s’essaient au polar. Non, pas tout à fait. Au thriller psychologique plutôt.

Pour cela, ils ont choisi un roman de Philippe Djian (Incidences), soit l’auteur d’un certain 37°2 le matin. Sans atteindre la virtuosité de l’oeuvre de Jean-Jacques Beineix, l’Amour est un crime parfait contient ce qu’il faut de mystère et de perversion pour en faire un polar ambitieux. Au menu, on y trouve pêle-mêle : un chalet perdu sous la neige, un prof d’écriture porté sur la bagatelle, une soeur incestueuse, une jeune femme qui disparaît, une autre libertine, une chaussure rouge et une belle-mère éplorée un peu trop jolie.

Le jeu de piste est séduisant. Le décor fait de montagnes enneigées et d’immeubles en verre hypnotise. Les couleurs sont chaudes. Les dialogues ciselés. Malheureusement rien n’y fait. Chacun joue sa partition un peu trop parfaitement. Surtout Mathieu Amalric (Jimmy P.) qui récite son texte comme au théâtre. Très vite, l’identité du meurtrier ne fait rapidement aucun doute. Les frères Larrieu auraient gagné à jouer plus avec le notion de réalité. Multiplier les références littéraires ne suffira pas pour berner les spectateurs. Même si c’est plaisant.

On retiendra tout de même l’ambiance légèrement malsaine qui s’en dégage, le goût prononcé pour le libertinage qui marque ce début d’année et la prestation de Karin Viard. Elle est bluffante dans ce rôle entre la femme fatale et la mère possessive. Elle a bien fait d’échanger son rôle avec celui plus anecdotique de Maïwenn dont le personnage se contente d’être belle.

Lire d'autres critiques sur Lost in Universes.

Les frères Larrieu nous plonge en plein polar avec L’amour est un crime parfait, adaptation du roman Incidences écrit par Philippe Djian. C’est avec une délectation non dissimulée qu’on suit les mésaventures de ce pauvre Mathieu Almaric poursuivie par une étudiante nymphomaniaque et des relations plus qu’ambigües avec sa sœur Karin Viard. C’est sur on ne s’ennuie pas même si l’intrigue est finalement assez légère et c’est finalement les paysages en plein cœur des montagnes tout comme l’édifice atypique qu’est cette université qui viennent compenser un peu tout ça en conférant une atmosphère particulière. Bien que plutôt plaisant dans l’ensemble, le film ne laissera au final pas de grands souvenirs.

Quand on va voir un film de ce genre on ne s'attend pas des rebondissements style explosion mais on souhaitte tout de meme du suspens
Mais ici, avec un minimum de bon sens, on comprend dès le départ d'ou vient le problème et ca casse tout

Les acteurs font peine a voir, aucun n'est a son avantage pas car noyé dans un contexte mélant sexe et mauvais gout
L'histoire tient sur une feuille format A6 et c'est la le problème

Je met une étoile pour la beauté des paysages alpins et la qualité de la prise de vue

Beaucoup lui reprocheront son jeux d'acteur très décalé, très théâtrale, c'est pour moi un des grands atout du film, qui n'est pas sans rappeler le cinéma de Alain Resnais. Et puis quelle architecture, la caméra nous ballade dans le magnifique bâtiment du Rolex Center de SANAA en passant par les chalets suisse jusqu'au villas en porte à faux les plus folles. Seul bémol, la contre performance de Sara Forestier qui n'apporte rien au scénario et qui bien en dessous des autres acteurs.

durant le film j'ai été gêné par deux chose l'une : je n'ais jamais vu autant de cigarettes fumés en si peu de temps, l'autre : film qui m'a laissé une sensation bizarre un sentiment qu'il manquait quelque chose comme si le travail avait été abandonné ou bâclée à la fin...

On me dirait que ce film a été sponsorisé par l'industrie du tabac que je répondrais c'est évident : j'avais l'impression de puer la cigarette en sortant du ciné !
Quel dommage que Mathieu Amalric et Karin Viard, qui font ce qu'il peuvent avec ce scénario inconsistant, se soient compromis dans ce navet. Quant au personnage de Sara Forestier, qui montre ses fesses comme d'habitude, il est totalement improbable.
Une étoile uniquement pour la qualité de la photo et de l'image...

Bon jeu d'acteurs, bluffant jusqu'au dénouement, un bon thriller.