Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
« Le Grinch », adorable méchant bonhomme vert, retrouve une nouvelle vie grâce aux créateurs des Minions.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un joli conte auquel Benedict Cumberbatch prête sa voix en version originale, et Laurent Lafitte en français.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Et puis, voilà qu’on prend de la hauteur, tout là-haut, dans la montagne, l’ermitage du Grinch, solitaire dans sa grotte bourrée de gadgets high-tech. C’est le début de l’aventure, l’essor cartoonesque du film, hilarant avec ses gags à rendre gaga, ses personnages rigolos, un renne en surpoids, une chèvre très bête, un chien mutique à tout faire, domestique, garçon de café, chien de garde et de traîneau.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Des aventures burlesques, pop et pleines de peps, pour attaquer les festivités.
Le Figaro
par La Rédaction
Fable anticonsumériste, Comment le Grinch a volé Noël, écrite en 1957, cherche à sensibiliser les enfants à la générosité et à l'esprit de Noël. Scott Mosier et Yarrow Cheney signent ici leur première réalisation. Et peuvent se targuer d'être parvenus à moderniser l'histoire tout en restant fidèle à la nouvelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
À destination des enfants, Le Grinch saura aussi plaire aux parents avec son esprit moqueur mais attendrissant. Il n'invente rien mais offre ce qu'on attendait de lui : du rire et du divertissement. On en sort avec le sourire aux lèvres, qu'on ait 10 ans, 30 ans ou 60 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Ouest France
par Gilles Kerdreux
L'animation est très réussie. Les voix et la musique sont à la hauteur. Dommage que ce soit si gentillet (...).
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
L'animation est splendide, et l'émotion affleure au gré d'une très jolie voix off qui raconte en vers les mésaventures du héros.
Bande à part
par Jo Fishley
Adapté par ces dingos d'Illumination (ceux des Minions fous), le bon Dr Seuss qui a éduqué l'Amérique nous enseigne l'anti-consumérisme à Noël avec son Grinch grincheux. Économique et ludique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Cependant, à l'instar de ses précédentes productions [...], Illumination semble tenté par l'envie de développer le double discours... puis de se retenir de peur de froisser l'audience.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Redessiné par Peter de Sève, l’antihéros grincheux à la fourrure couleur fiel est d’une belle expressivité que viennent accentuer les intonations sarcastiques de Benedict Cumberbatch et Laurent Lafitte. (...) Hélas, l’épilogue emploie le même ton doucereux que le film s’employait à railler dans son épilogue, édulcorant le propos à force de sourires trop sucrés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une adaptation fidèle aux valeurs familiales de ce récit intemporel qui célèbre l’amour de son prochain et la solidarité, malgré un rythme en dents de scie.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Cette version 2018 dépoussière avec efficacité le célèbre conte du Dr. Seuss par l’animation, mais perd un peu de son mordant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Humour bien dosé, usage parcimonieux des laïus familialistes imposés par le genre et même une louche de street cred (Pharrell Williams en voix off, Tyler, The Creator au générique...) donnent lieu à un objet qui s'épargne inopinément les sirènes neuneus du Christmas movie.
Première
par Thierry Chèze
Le Grinch ne se résume pas à une banale succession de gags et introduit au fil du récit cette jolie idée que si ses manigances vont se retourner contre cet ermite agité, elles vont surtout permettre aux habitants de Chouville de réaliser où se trouve l’essentiel de Noël. Et ce sans tomber dans le piège mièvrerie, même si l’on n’atteint pas ici les sommets des meilleurs Pixar capables (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Trêve de méchanceté réjouissante, c'est un conte pour enfants et (attention spoiler) tout finit bien.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Bien meilleure que le film en prise de vue réelle de Ron Howard, cette nouvelle adaptation du conte de Ted Geisel par Illumination Entertainment emportera les suffrages des jeunes spectateurs, qui y trouveront matière à rire à gorge déployée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dénué de personnalité propre, le film mange un peu à tous les râteliers, depuis la mécanisation de la vie quotidienne du maître et de son chien qui démarque Wallace et Gromit, de Nick Park, jusqu’à la cruauté burtonienne convoquée par la musique d’un Danny Elfman qui « elfmanise » à qui mieux mieux.
Libération
par Marius Chapuis
Le souci de ce conte sur la solitude et l’aigreur est qu’il offre tout juste assez de matière pour faire un moyen métrage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
S'il est techniquement impeccable, ce Grinch 2018 est bavard, bruyant (la musique est pourtant de Danny Elfman), et tellement convenu dans son message final dégoulinant de guimauve.
Mad Movies
par François Cau
À titre indicatif, les 45 bonnes minutes de remplissage ne semblent pas déranger les très jeunes enfants, distraits par les couleurs vives, par le petit chien, ou par la frénésie abusive de la mise en scène sur des séquences qui n'en avaient nul besoin.
Télérama
par Nicolas Didier
Les auteurs parviennent à saisir, par un impressionnant plan-séquence inaugural, la frénésie consumériste de Noël dans le village des Chous. Mais, ensuite, trop occupés à empiler les gadgets visuels — le film évoque un sapin trop décoré —, ils se contentent d’un scénario sous-écrit, prévisible et gentillet. A l’image de leur créature verte et poilue, jamais vraiment odieuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
« Le Grinch », adorable méchant bonhomme vert, retrouve une nouvelle vie grâce aux créateurs des Minions.
CNews
Un joli conte auquel Benedict Cumberbatch prête sa voix en version originale, et Laurent Lafitte en français.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Et puis, voilà qu’on prend de la hauteur, tout là-haut, dans la montagne, l’ermitage du Grinch, solitaire dans sa grotte bourrée de gadgets high-tech. C’est le début de l’aventure, l’essor cartoonesque du film, hilarant avec ses gags à rendre gaga, ses personnages rigolos, un renne en surpoids, une chèvre très bête, un chien mutique à tout faire, domestique, garçon de café, chien de garde et de traîneau.
Femme Actuelle
Des aventures burlesques, pop et pleines de peps, pour attaquer les festivités.
Le Figaro
Fable anticonsumériste, Comment le Grinch a volé Noël, écrite en 1957, cherche à sensibiliser les enfants à la générosité et à l'esprit de Noël. Scott Mosier et Yarrow Cheney signent ici leur première réalisation. Et peuvent se targuer d'être parvenus à moderniser l'histoire tout en restant fidèle à la nouvelle.
Le Journal du Geek
À destination des enfants, Le Grinch saura aussi plaire aux parents avec son esprit moqueur mais attendrissant. Il n'invente rien mais offre ce qu'on attendait de lui : du rire et du divertissement. On en sort avec le sourire aux lèvres, qu'on ait 10 ans, 30 ans ou 60 ans.
Ouest France
L'animation est très réussie. Les voix et la musique sont à la hauteur. Dommage que ce soit si gentillet (...).
Télé Loisirs
L'animation est splendide, et l'émotion affleure au gré d'une très jolie voix off qui raconte en vers les mésaventures du héros.
Bande à part
Adapté par ces dingos d'Illumination (ceux des Minions fous), le bon Dr Seuss qui a éduqué l'Amérique nous enseigne l'anti-consumérisme à Noël avec son Grinch grincheux. Économique et ludique.
L'Ecran Fantastique
Cependant, à l'instar de ses précédentes productions [...], Illumination semble tenté par l'envie de développer le double discours... puis de se retenir de peur de froisser l'audience.
La Croix
Redessiné par Peter de Sève, l’antihéros grincheux à la fourrure couleur fiel est d’une belle expressivité que viennent accentuer les intonations sarcastiques de Benedict Cumberbatch et Laurent Lafitte. (...) Hélas, l’épilogue emploie le même ton doucereux que le film s’employait à railler dans son épilogue, édulcorant le propos à force de sourires trop sucrés.
Le Journal du Dimanche
Une adaptation fidèle aux valeurs familiales de ce récit intemporel qui célèbre l’amour de son prochain et la solidarité, malgré un rythme en dents de scie.
Les Fiches du Cinéma
Cette version 2018 dépoussière avec efficacité le célèbre conte du Dr. Seuss par l’animation, mais perd un peu de son mordant.
Les Inrockuptibles
Humour bien dosé, usage parcimonieux des laïus familialistes imposés par le genre et même une louche de street cred (Pharrell Williams en voix off, Tyler, The Creator au générique...) donnent lieu à un objet qui s'épargne inopinément les sirènes neuneus du Christmas movie.
Première
Le Grinch ne se résume pas à une banale succession de gags et introduit au fil du récit cette jolie idée que si ses manigances vont se retourner contre cet ermite agité, elles vont surtout permettre aux habitants de Chouville de réaliser où se trouve l’essentiel de Noël. Et ce sans tomber dans le piège mièvrerie, même si l’on n’atteint pas ici les sommets des meilleurs Pixar capables (...).
Voici
Trêve de méchanceté réjouissante, c'est un conte pour enfants et (attention spoiler) tout finit bien.
aVoir-aLire.com
Bien meilleure que le film en prise de vue réelle de Ron Howard, cette nouvelle adaptation du conte de Ted Geisel par Illumination Entertainment emportera les suffrages des jeunes spectateurs, qui y trouveront matière à rire à gorge déployée.
Le Monde
Dénué de personnalité propre, le film mange un peu à tous les râteliers, depuis la mécanisation de la vie quotidienne du maître et de son chien qui démarque Wallace et Gromit, de Nick Park, jusqu’à la cruauté burtonienne convoquée par la musique d’un Danny Elfman qui « elfmanise » à qui mieux mieux.
Libération
Le souci de ce conte sur la solitude et l’aigreur est qu’il offre tout juste assez de matière pour faire un moyen métrage.
Positif
S'il est techniquement impeccable, ce Grinch 2018 est bavard, bruyant (la musique est pourtant de Danny Elfman), et tellement convenu dans son message final dégoulinant de guimauve.
Mad Movies
À titre indicatif, les 45 bonnes minutes de remplissage ne semblent pas déranger les très jeunes enfants, distraits par les couleurs vives, par le petit chien, ou par la frénésie abusive de la mise en scène sur des séquences qui n'en avaient nul besoin.
Télérama
Les auteurs parviennent à saisir, par un impressionnant plan-séquence inaugural, la frénésie consumériste de Noël dans le village des Chous. Mais, ensuite, trop occupés à empiler les gadgets visuels — le film évoque un sapin trop décoré —, ils se contentent d’un scénario sous-écrit, prévisible et gentillet. A l’image de leur créature verte et poilue, jamais vraiment odieuse.