Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
Avec "High-Rise", Wheatley transpose remarquablement à l'écran la vision de l'écrivain sur l'avenir sinistre et pathétique de l'humanité fragilisée par les avancées techniques et technologiques.
L'Express
par Christophe Carrière
La mise en scène est parfois un peu tape-à-l'oeil, mais le film, par ailleurs habillé par une bande-son exceptionnelle, hante longtemps après la projection.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Cette adaptation de l'un des chefs-d'œuvre de J.G. Ballard prend la forme, sous la houlette de l'imprévisible Ben Wheatley, d'un cauchemar éveillé, aussi inconfortable que percutant.
Première
par Gérard Delorme
La métaphore paraît parfois simpliste, mais la puissance des visions orchestrées par Wheatley persiste longtemps en mémoire, accompagnées d’un humour discret mais caustique, réminiscence d’"Orange mécanique" et ça n’est sûrement pas par hasard.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Une adaptation du roman culte de Ballard imparfaite mais percluse de visions fascinantes.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Sébastien Uguen
High Rise nous invite dans son univers oppressant et rétrofuturiste. Un trip non conventionnel, violent et poétique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Si son film souffre d’être comparé avec Lien : "Brazil" (Terry Gilliam, 1985), la présence d’excellents comédiens (Tom Hiddleston, Sienna Miller et Jeremy Irons), son esthétique sobre et son atmosphère pesante rendent le spectateur indulgent pour ses faiblesses.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un opus magnum un peu autocentré bien que parsemé de formidables idées de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré une mise en image impressionnante, Ben Wheatley passe à côté de la dimension subversive de son récit.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre fable sociale, science-fiction et thriller d’angoisse, une adaptation soignée du roman culte de J.G. Ballard, même si elle n’en épuise pas toutes les potentialités.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sur une bande sonore qui mêle une belle et inquiétante partition symphonique de Clint Mansell et quelques moments de rock allemand d'époque (...), Ben Wheatley orchestre le ballet de la désintégration.
Paris Match
par Yannick Vely
Punk, assurément, jouissif aussi, même si le film aurait peut-être gagné à raccourcir quelques têtes - le défaut d'un casting aussi imposant (Jeremy Irons, Sienna Miller, Elizabeth Moss...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Ben Wheatley pèche par excès de surenchère, au point de rendre parfois indiscernables les enjeux d’un film tenant plus de l’hommage maladroit que de l’adaptation inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par La Rédaction
Ce film est avant tout une fable sur notre destin, capisce ? Oui, on a saisi. On peut admirer Sienna Miller, bien sexy. Mais ça fait pas un film, non monsieur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Plombé par des longueurs, l’argument s’avère hélas artificiel et faussement provocateur, malgré l’interprétation habitée de Tom Hiddleston.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
"High-Rise" voudrait ressembler très fort à Kubrick mais voisine plutôt avec le cinéma de Terry Giliam ou Jean-Pierre Jeunet, toute cette génération de SF publicitaire que l’on rêvait enfin obsolète.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Si la débauche est esthétique, le discours sur la nature humaine en temps de crise reste pauvre.
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
High rise and low results : on passe notre tour.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’argument, tiré d’un roman de J.-G. Ballard, semble n’être qu’un prétexte pour jouer avec des effets kitsch et psychédéliques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Lorenzo Codelli
Quel ramas de trash - pas de crash ! - rétro-futuriste, déjà subi mille fois, ouf...
Télérama
par Jérémie Couston
Au lieu de moderniser l'intrigue, comme le fit Cronenberg, pour en révéler la teneur prophétique (aliénation à la technologie...), Wheatley choisit, en admirateur de Nicolas Roeg, de conserver le vernis seventies. D'où un rétrofuturisme daté en plus d'un propos filandreux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Une hystérie permanente qui trahit le livre de Ballard.
L'Ecran Fantastique
Avec "High-Rise", Wheatley transpose remarquablement à l'écran la vision de l'écrivain sur l'avenir sinistre et pathétique de l'humanité fragilisée par les avancées techniques et technologiques.
L'Express
La mise en scène est parfois un peu tape-à-l'oeil, mais le film, par ailleurs habillé par une bande-son exceptionnelle, hante longtemps après la projection.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation de l'un des chefs-d'œuvre de J.G. Ballard prend la forme, sous la houlette de l'imprévisible Ben Wheatley, d'un cauchemar éveillé, aussi inconfortable que percutant.
Première
La métaphore paraît parfois simpliste, mais la puissance des visions orchestrées par Wheatley persiste longtemps en mémoire, accompagnées d’un humour discret mais caustique, réminiscence d’"Orange mécanique" et ça n’est sûrement pas par hasard.
TF1 News
Une adaptation du roman culte de Ballard imparfaite mais percluse de visions fascinantes.
aVoir-aLire.com
High Rise nous invite dans son univers oppressant et rétrofuturiste. Un trip non conventionnel, violent et poétique.
20 Minutes
Si son film souffre d’être comparé avec Lien : "Brazil" (Terry Gilliam, 1985), la présence d’excellents comédiens (Tom Hiddleston, Sienna Miller et Jeremy Irons), son esthétique sobre et son atmosphère pesante rendent le spectateur indulgent pour ses faiblesses.
CinemaTeaser
Un opus magnum un peu autocentré bien que parsemé de formidables idées de cinéma.
Ecran Large
Malgré une mise en image impressionnante, Ben Wheatley passe à côté de la dimension subversive de son récit.
Le Dauphiné Libéré
Entre fable sociale, science-fiction et thriller d’angoisse, une adaptation soignée du roman culte de J.G. Ballard, même si elle n’en épuise pas toutes les potentialités.
Le Monde
Sur une bande sonore qui mêle une belle et inquiétante partition symphonique de Clint Mansell et quelques moments de rock allemand d'époque (...), Ben Wheatley orchestre le ballet de la désintégration.
Paris Match
Punk, assurément, jouissif aussi, même si le film aurait peut-être gagné à raccourcir quelques têtes - le défaut d'un casting aussi imposant (Jeremy Irons, Sienna Miller, Elizabeth Moss...).
Critikat.com
Ben Wheatley pèche par excès de surenchère, au point de rendre parfois indiscernables les enjeux d’un film tenant plus de l’hommage maladroit que de l’adaptation inspirée.
L'Obs
Ce film est avant tout une fable sur notre destin, capisce ? Oui, on a saisi. On peut admirer Sienna Miller, bien sexy. Mais ça fait pas un film, non monsieur.
Le Journal du Dimanche
Plombé par des longueurs, l’argument s’avère hélas artificiel et faussement provocateur, malgré l’interprétation habitée de Tom Hiddleston.
Les Inrockuptibles
"High-Rise" voudrait ressembler très fort à Kubrick mais voisine plutôt avec le cinéma de Terry Giliam ou Jean-Pierre Jeunet, toute cette génération de SF publicitaire que l’on rêvait enfin obsolète.
Studio Ciné Live
Si la débauche est esthétique, le discours sur la nature humaine en temps de crise reste pauvre.
Culturopoing.com
High rise and low results : on passe notre tour.
L'Humanité
L’argument, tiré d’un roman de J.-G. Ballard, semble n’être qu’un prétexte pour jouer avec des effets kitsch et psychédéliques.
Positif
Quel ramas de trash - pas de crash ! - rétro-futuriste, déjà subi mille fois, ouf...
Télérama
Au lieu de moderniser l'intrigue, comme le fit Cronenberg, pour en révéler la teneur prophétique (aliénation à la technologie...), Wheatley choisit, en admirateur de Nicolas Roeg, de conserver le vernis seventies. D'où un rétrofuturisme daté en plus d'un propos filandreux.
VSD
Une hystérie permanente qui trahit le livre de Ballard.