Ali Farka Touré, le miel n'est jamais bon dans une seule bouche : Critique presse
Ali Farka Touré, le miel n'est jamais bon dans une seule bouche
Note moyenne
3,5
10 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Ciné Live
Le Monde
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
Libération
Première
Zurban
Africultures.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jérôme Larcher
Il est donc inutile d'être un amateur de la musque de Touré pour se laisser envoûter par le rythme lancinant du film.
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il aurait été vain de recenser chacune de ces composantes et d'en évaluer l'importance réciproque. Au-delà du bonheur d'expression cinématographique, la principale qualité du film de Marc Huraux réside dans ses renoncements. On ne saura rien, donc, de la famille actuelle d'Ali Farka Touré.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Ali Farka Toure, sans conteste, possède des forces vitales d'exception, celles des génies du fleuve Niger.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
L'ouverture sereine du personnage se propage dans tout ce documentaire, qui écoute, patiente et partage, avec une belle humilité, à l'unisson d'une musique à la gravité joyeuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Hélène Lee
Mais pour avoir voulu s'accorder au rythme du fleuve et de ses habitants, le film traîne parfois en longueur et il n'est pas sûr que le public des salles parvienne à saisir les allusions furtives qui font son charme (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
Un peu erratique, le film aurait gagné à être doublé. mais en fin de compte, il apporte un éclairage paradoxal sur la véritable nature d'une musique extraordinairement tonique et positive.
Zurban
par Stéphane Brisset
Musicien fascinant, interlocuteur brillant, Ali Farka Toure suscite un intérêt soutenu. Malheureusement, si le réalisateur en trace un portrait attachant, le film perd de sa séduction dès que la caméra s'égare sur des faits et gestes annexes, et tombe alors dans le piège du documentaire ethnologique.
Africultures.com
par Olivier Barlet
(...) une sauce terriblement exotique qu'une caméra fort classique ne permet pas d'élever (...) Déception donc, pour un sujet magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Cahiers du Cinéma
Il est donc inutile d'être un amateur de la musque de Touré pour se laisser envoûter par le rythme lancinant du film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Il aurait été vain de recenser chacune de ces composantes et d'en évaluer l'importance réciproque. Au-delà du bonheur d'expression cinématographique, la principale qualité du film de Marc Huraux réside dans ses renoncements. On ne saura rien, donc, de la famille actuelle d'Ali Farka Touré.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ali Farka Toure, sans conteste, possède des forces vitales d'exception, celles des génies du fleuve Niger.
Télérama
L'ouverture sereine du personnage se propage dans tout ce documentaire, qui écoute, patiente et partage, avec une belle humilité, à l'unisson d'une musique à la gravité joyeuse.
Libération
Mais pour avoir voulu s'accorder au rythme du fleuve et de ses habitants, le film traîne parfois en longueur et il n'est pas sûr que le public des salles parvienne à saisir les allusions furtives qui font son charme (...).
Première
Un peu erratique, le film aurait gagné à être doublé. mais en fin de compte, il apporte un éclairage paradoxal sur la véritable nature d'une musique extraordinairement tonique et positive.
Zurban
Musicien fascinant, interlocuteur brillant, Ali Farka Toure suscite un intérêt soutenu. Malheureusement, si le réalisateur en trace un portrait attachant, le film perd de sa séduction dès que la caméra s'égare sur des faits et gestes annexes, et tombe alors dans le piège du documentaire ethnologique.
Africultures.com
(...) une sauce terriblement exotique qu'une caméra fort classique ne permet pas d'élever (...) Déception donc, pour un sujet magnifique.