Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Ce joli conte familial sur l'imaginaire, la persévérance et l'acceptation de l'autre va vous mettre du baume au coeur.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La question se pose de façon lancinante tout au long d’un film porté par les bons sentiments, mais où la justesse du récit d’enfance recouvre des questions plus lourdes, comme la xénophobie et la foi.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Si le petit Jakob Salvati est impeccable dans le rôle-titre, c'est le comédien le plus âgé du casting, le vétéran japonais Cary-Hiroyuki Tagawa, formidable de bout en bout, qui laisse la plus forte impression.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Ce conte enjoué propose une belle réflexion sur le pouvoir de la foi tout en prenant soin de ne jamais tomber dans le piège de la bondieuserie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Les images sont magnifiques, le gamin (Jakob Salvati) est étonnant, le film, très maîtrisé, et le message, bien martelé (espoir, tolérance et peace, brother). Mais c’est au cinéma ce que les musiquettes de Vangelis sont à la musique. Faut aimer les sucreries.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Beaucoup de thèmes riches et forts sont traités sous l'aspect d'un mélodrame enfantin qui a parfois les défauts du genre (une fin un peu mièvre) mais aussi son charme et sa fraîcheur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Attachant et lumineux, il nous convie aussi dans une Amérique des années 1940 impeccablement reconstituée.
Première
par Christophe Narbonne
Une mélancolie têtue finit par infuser ce "Little Boy", servi par un casting très homogène.
Télérama
par Cécile Mury
Un conte généreux et naïf sur la tolérance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Film familial émouvant, jolie fable sur la foi et ce que l'on en fait.
L'Express
par Christophe Carrière
Le côté cul-béni sous-jacent a de quoi agacer, mais il est astucieusement effacé par le mode de pensée de l'enfant (...). On peut donc se divertir sans crainte de prosélytisme et même, pour les plus candides, céder à une émotion propice à activer les glandes lacrymales. Ce n'est pas non plus indispensable.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
À ces réserves sur le fond, on ajoutera qu’une réalisation sirupeuse, au-delà du style chromo, ne lésine pas sur la musique et les larmes. Dommage pour la formidable Emily Watson, qui interprète la mère de Pepper, et le jeune Jakob Salvati qui fait ses débuts devant la caméra.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le film d’Alejandro Monteverde dégage une forme de naïveté plus que problématique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Eithne O'Neill
La production lisse et vintage, aux couleurs de carte postale, ne ménage pas ses peines dans l'exploration de clichés.
Femme Actuelle
Ce joli conte familial sur l'imaginaire, la persévérance et l'acceptation de l'autre va vous mettre du baume au coeur.
Le Dauphiné Libéré
La question se pose de façon lancinante tout au long d’un film porté par les bons sentiments, mais où la justesse du récit d’enfance recouvre des questions plus lourdes, comme la xénophobie et la foi.
Le Parisien
Si le petit Jakob Salvati est impeccable dans le rôle-titre, c'est le comédien le plus âgé du casting, le vétéran japonais Cary-Hiroyuki Tagawa, formidable de bout en bout, qui laisse la plus forte impression.
aVoir-aLire.com
Ce conte enjoué propose une belle réflexion sur le pouvoir de la foi tout en prenant soin de ne jamais tomber dans le piège de la bondieuserie.
L'Obs
Les images sont magnifiques, le gamin (Jakob Salvati) est étonnant, le film, très maîtrisé, et le message, bien martelé (espoir, tolérance et peace, brother). Mais c’est au cinéma ce que les musiquettes de Vangelis sont à la musique. Faut aimer les sucreries.
Le Figaro
Beaucoup de thèmes riches et forts sont traités sous l'aspect d'un mélodrame enfantin qui a parfois les défauts du genre (une fin un peu mièvre) mais aussi son charme et sa fraîcheur.
Le Journal du Dimanche
Attachant et lumineux, il nous convie aussi dans une Amérique des années 1940 impeccablement reconstituée.
Première
Une mélancolie têtue finit par infuser ce "Little Boy", servi par un casting très homogène.
Télérama
Un conte généreux et naïf sur la tolérance.
Voici
Film familial émouvant, jolie fable sur la foi et ce que l'on en fait.
L'Express
Le côté cul-béni sous-jacent a de quoi agacer, mais il est astucieusement effacé par le mode de pensée de l'enfant (...). On peut donc se divertir sans crainte de prosélytisme et même, pour les plus candides, céder à une émotion propice à activer les glandes lacrymales. Ce n'est pas non plus indispensable.
La Croix
À ces réserves sur le fond, on ajoutera qu’une réalisation sirupeuse, au-delà du style chromo, ne lésine pas sur la musique et les larmes. Dommage pour la formidable Emily Watson, qui interprète la mère de Pepper, et le jeune Jakob Salvati qui fait ses débuts devant la caméra.
Le Monde
Le film d’Alejandro Monteverde dégage une forme de naïveté plus que problématique.
Positif
La production lisse et vintage, aux couleurs de carte postale, ne ménage pas ses peines dans l'exploration de clichés.