Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Décidemment, ce duo-là parvient toujours à nous surprendre. Après l'excellent "Viva La Liberta", le réalisateur Roberto Andò remet le couvert avec le merveilleux comédien Toni Servillo pour un nouveau film très politique… et très réussi.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une fable philosophico-politique à la Umberto Eco, qui, pour être un peu sèche, réintroduit dans un univers de la violence économique et de la brutalité politique la part oubliée de la morale.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le grand acteur italien incarne un moine insolite au milieu du G8, dans l'étrange thriller de Roberto Ando Les Confessions.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film profond, de haute volée métaphysique, et qui rappelle combien le message évangélique est subversif.
Positif
par Jean A. Gili
De film en film, Roberto Ando poursuit sa recherche des intrigues qui se nouent autour du pouvoir et des complots qui en scandent l'exercice.
Positif
par Jean A. Gili
Un brillant exercice de politique-fiction.
Transfuge
par Damien Aubel
Toni Servillo joue à merveille sa partition, opaque et sereine à la fois.
Télérama
par Guillemette Odicino
Cet affrontement insolite entre la métaphysique et l’économie tourne à la fable altermondialiste, jusqu’au final, dont la poésie rappelle Vittorio de Sica. Toni Servillo ? On jurerait qu’il porte une auréole...
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
L'interprétation, impeccable jusqu'au moindre figurant, est d'ailleurs le principal atout de ce film peu avare en paraboles, qui ferait un excellent préambule pour une table ronde entre altermondialistes déprimés et un poil mystique.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est plastiquement très beau et les images restent en tête. Dommage que le propos sur le pouvoir reste un peu obscur.
L'Obs
par François Forestier
Belle intention de la part du cinéaste Roberto Andò ("Viva la libertà"), mais qui s’enlise assez vite dans son propos.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Porté par Toni Servillo, ce film élégant met en scène un moine confronté au directeur du FMI, pour une réflexion décevante sur le pouvoir, le courage et la morale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Hélas, tout sonne faux dans ce drame théorique et laborieux qui essaie de dénoncer le marasme actuel à l’aide d’une conspiration aux intentions fumeuses. Reste un duel d’acteurs d’exception, Toni Servillo et Daniel Auteuil, pas suffisamment exploité.
Le Monde
par Noémie Luciani
Le fonctionnement du dispositif est trop visible, le casting cinq étoiles trop froidement exploité (on n’y cherche pas tant des avatars d’hommes et de femmes qu’une certaine idée d’un jeu classieux), l’obscurité grandissante ménagée avec trop de tapage pour qu’on ne perde pas assez vite de vue l’essentiel (...).
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce thriller au casting international vire à la fable anticapitaliste. Le moine donne un peu de légèreté à cette histoire qui dénonce la dictature de l'économie sur les gouvernements. Un film intrigant, mais trop froid.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
L'étrangeté chiadée de l'ensemble et le casting international n'empêchent pas le récit de se mordre la queue.
VSD
par Bernard Achour
Une sorte de thriller économico religieux écrit à l'eau bénite.
Franceinfo Culture
Décidemment, ce duo-là parvient toujours à nous surprendre. Après l'excellent "Viva La Liberta", le réalisateur Roberto Andò remet le couvert avec le merveilleux comédien Toni Servillo pour un nouveau film très politique… et très réussi.
Le Dauphiné Libéré
Une fable philosophico-politique à la Umberto Eco, qui, pour être un peu sèche, réintroduit dans un univers de la violence économique et de la brutalité politique la part oubliée de la morale.
Le Figaro
Le grand acteur italien incarne un moine insolite au milieu du G8, dans l'étrange thriller de Roberto Ando Les Confessions.
Les Fiches du Cinéma
Un film profond, de haute volée métaphysique, et qui rappelle combien le message évangélique est subversif.
Positif
De film en film, Roberto Ando poursuit sa recherche des intrigues qui se nouent autour du pouvoir et des complots qui en scandent l'exercice.
Positif
Un brillant exercice de politique-fiction.
Transfuge
Toni Servillo joue à merveille sa partition, opaque et sereine à la fois.
Télérama
Cet affrontement insolite entre la métaphysique et l’économie tourne à la fable altermondialiste, jusqu’au final, dont la poésie rappelle Vittorio de Sica. Toni Servillo ? On jurerait qu’il porte une auréole...
Charlie Hebdo
L'interprétation, impeccable jusqu'au moindre figurant, est d'ailleurs le principal atout de ce film peu avare en paraboles, qui ferait un excellent préambule pour une table ronde entre altermondialistes déprimés et un poil mystique.
Ouest France
C'est plastiquement très beau et les images restent en tête. Dommage que le propos sur le pouvoir reste un peu obscur.
L'Obs
Belle intention de la part du cinéaste Roberto Andò ("Viva la libertà"), mais qui s’enlise assez vite dans son propos.
La Croix
Porté par Toni Servillo, ce film élégant met en scène un moine confronté au directeur du FMI, pour une réflexion décevante sur le pouvoir, le courage et la morale.
Le Journal du Dimanche
Hélas, tout sonne faux dans ce drame théorique et laborieux qui essaie de dénoncer le marasme actuel à l’aide d’une conspiration aux intentions fumeuses. Reste un duel d’acteurs d’exception, Toni Servillo et Daniel Auteuil, pas suffisamment exploité.
Le Monde
Le fonctionnement du dispositif est trop visible, le casting cinq étoiles trop froidement exploité (on n’y cherche pas tant des avatars d’hommes et de femmes qu’une certaine idée d’un jeu classieux), l’obscurité grandissante ménagée avec trop de tapage pour qu’on ne perde pas assez vite de vue l’essentiel (...).
Le Parisien
Ce thriller au casting international vire à la fable anticapitaliste. Le moine donne un peu de légèreté à cette histoire qui dénonce la dictature de l'économie sur les gouvernements. Un film intrigant, mais trop froid.
Studio Ciné Live
L'étrangeté chiadée de l'ensemble et le casting international n'empêchent pas le récit de se mordre la queue.
VSD
Une sorte de thriller économico religieux écrit à l'eau bénite.
Voici
Mi-fable mi-farce morale.