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    Casablancas, l’homme qui aimait les femmes
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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 juillet 2016
    La curiosité, ce moteur qui m'anime chaque jour qui passe. S'intéresser à l'autre, à la raison pour laquelle il en est arrivé là, aux méthodes qu'il a employé pour parvenir à ses fins dans le domaine qui l'inspire le plus.
    Aujourd'hui, c'est à la vie d'un bellâtre qui éveille mon intérêt, celle de John Casablancas.
    D'abord, son nom a quelquechose de romanesque. Son physique s'apparentant un peu à celui de Don Johnson, toujours éclairé par ce sourire que peu d'inquiétudes semblent capables de tâcher.
    Chacun choisit plus ou moins sa voie. Celui-là a compris qu'il fallait savourer la vie le plus intensément possible et faire de l'hédonisme sa philosophie.
    Loin d'être dans le "siffler en travaillant", Monsieur Casablancas a aimé aller au bureau des années durant.
    En découvrant à l'adolescence sur une plage de la Côte d'Azur ce que les femmes pouvaient susciter comme émois, le jeune John se mit en tête qu'il lui faudrait le plus souvent possible être entouré de celles sans qui lui et moi ne serions rien.
    Hubert Woroniecki, ancien membre des équipes de l'agence Elite créée par John Casablancas, étant resté en bons termes avec la direction, décida de recueillir le récit du businessman glamour et d'en faire un documentaire agréablement conçu, au parfum nostalgique.
    L'enthousiasme, la sensibilité et l'audace de l'homme d'affaires sont mis en relief, illustrés des témoignages de ses proches collaborateurs et de la gratitude des icônes qu'il a fait naître.
    Il disparait prématurément, paraissant bien plus jeune que ses soixante et onze ans; le plaisir et le sourire conservant bien visiblement.
    John Casablancas a mélangé vie professionnelle et vie personnelle, concept au combien périlleux mais dont il a su tirer profit sans pour autant éviter certaines blessures du coeur. Il a aimé son job, a aimé les femmes, aimé ses femmes et il a eu raison.
    Hasard curieux, j'en ai autant appris en une semaine sur la carrière de cet homme que sur celle de feu Michel Rocard, qui partageait le même goût pour la gent féminine, motivé cependant par des enjeux moins "ludiques".
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