Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Transfuge
par Ilan Malka
(...) ce magnifique et délirant "Willy 1er" fait revivre son histoire à un comédien non-professionnel, interrogeant ainsi l'idée oassionnante de devenir, au sens cinématographique autant que philosophique, acteur de son existence.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
"Willy 1er» puise dans le vécu d'un formidable acteur "non professionnel" pour inventer une histoire qui ne ressemble à aucune autre...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par François Forestier
Il y a là quelque chose qui dépasse Willy, un enthousiasme vital, et, aussi, un comportement exemplaire. Le film est, tout bonnement, une ode à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Romain Le Vern
De prime abord, ce premier long métrage a les allures d’un hilarant sketch de Groland. Mais l’illusion est brève. Très vite, "Willy 1er" prend les atours d’une émouvante déclaration d’amour aux rêveurs lunaires, aux inadaptés sociaux, aux exclus solitaires.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Sur une trame ténue, Daniel Vannet bluffe en devenant tour à tour un émouvant Pierrot lunaire, une victime sur le fil du rasoir ou un inquiétant colérique, aux côtés d’autres acteurs non professionnels, mais aussi de Noémie Lvovsky, en curatrice magnifique de bienveillance.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un univers original, à la fois réaliste et stylisé, qui ferait presque penser à un Dumont qui tournerait du Tati et qui introduit à un objet cinématographique surprenant et cocasse, jamais indifférent.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Singulier, bouleversant, sensible, entre documentaire et fiction, "Willy 1er" mérite le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Une fable philosophique bienfaisante, inspirée de la vie de l’acteur principal, qu’elle honore avec tendresse.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L'humour sonne ici à la façon d'un exutoire dénué de surplomb, et la conquête de Willy, aussi élémentaire qu'elle puisse paraître, est celle d'un roi, fût-il nu.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jérémie Couston
Ramassé en une heure vingt et découpé en chapitres, le récit maintient une tension permanente entre scènes ouvertement burlesques, envolées poétiques et accès de noirceur où l'on sent surgir la fatalité du fait divers.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Le parcours émouvant (...) étonne et interroge le plus souvent sur la manière dont un homme dit "en marge" doit se battre pour trouver sa place dans notre société.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
La misère ici est regardée, pas utilisée à des fins comiques, et si ce récit initiatique est souvent drôle, ce n’est jamais aux dépens de son personnage, mais parce qu’il est traité avec une tendresse non feinte.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Christophe Carrière
L'ensemble reste assez singulier et parfois très drôle pour qu'on s'y intéresse - un peu.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Ce beau premier long métrage marche sur un fil fragile, chancelle par moments, mais se relève toujours et finit par se montrer à la hauteur de son ambition (...) Le quadruple regard porté sur Willy ne sert en fin de compte qu'un seul objectif : lui permettre de se voir, lui-même, comme le roi qu'il a toujours été.
Libération
par Gilles Renault
Malgré une portée empathique incertaine (Willy est volontiers renfrogné, homophobe, libidineux…), l’évocation vaut pour la conviction avec laquelle le jeune quatuor de cinéastes (issus de la première promotion de l’école de cinéma de Luc Besson) honore son sujet couronné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un étonnant film dérangeant.
Positif
par Eithne O'Neill
Intéressant.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Après la malaise initial un peu douloureux, la bienveillance respectueuse avec laquelle les réalisateurs observent leur personnage réconcilie avec ce curieux projet.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
L'interpète principal, Daniel Vannet, ancien illettré repéré par les cinéastes, est formidable de naturel. Il impose une présence aussi douce que sauvage et procure des séquences comiques indéniables. Dommage que le scénario, trop terre à terre, limite le propos à celui du petit film social à messages.
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) pour toucher à la vérité de ce personnage, il aurait fallu que les réalisateurs donnent un peu moins l’impression d’avoir flairé le bon coup marketing et ne se limitent pas qu’à la seule présence de leur acteur pour justifier l’existence de leur film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
La misère affective et morale est-elle vraiment un bon sujet de rigolade ? Pour nous, le pathétique du projet incite surtout à la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Bienvenue dans la France d’en-bas chère à un cinéma français contemporain en quête de réalisme cru. Si touchant et convaincant soit l’acteur amateur principal, force est de reconnaître que l’œuvre verse volontiers dans un exhibitionnisme et une complaisance glauques façon Striptease et Groland.
Le Monde
par Jean-François Rauger
L’authenticité, recueillie avec un mélange d’empathie et de voyeurisme, est donc ici au service d’une fiction qui ne peut s’empêcher de réduire l’imaginaire plutôt que de l’étendre.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
On reste perplexe devant cette entreprise cinématographique. Censée célébrer une renaissance, elle reste d'un bout à l'autre profondément déprimante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
(...) ce magnifique et délirant "Willy 1er" fait revivre son histoire à un comédien non-professionnel, interrogeant ainsi l'idée oassionnante de devenir, au sens cinématographique autant que philosophique, acteur de son existence.
20 Minutes
"Willy 1er» puise dans le vécu d'un formidable acteur "non professionnel" pour inventer une histoire qui ne ressemble à aucune autre...
L'Obs
Il y a là quelque chose qui dépasse Willy, un enthousiasme vital, et, aussi, un comportement exemplaire. Le film est, tout bonnement, une ode à la liberté.
LCI
De prime abord, ce premier long métrage a les allures d’un hilarant sketch de Groland. Mais l’illusion est brève. Très vite, "Willy 1er" prend les atours d’une émouvante déclaration d’amour aux rêveurs lunaires, aux inadaptés sociaux, aux exclus solitaires.
La Croix
Sur une trame ténue, Daniel Vannet bluffe en devenant tour à tour un émouvant Pierrot lunaire, une victime sur le fil du rasoir ou un inquiétant colérique, aux côtés d’autres acteurs non professionnels, mais aussi de Noémie Lvovsky, en curatrice magnifique de bienveillance.
Le Dauphiné Libéré
Un univers original, à la fois réaliste et stylisé, qui ferait presque penser à un Dumont qui tournerait du Tati et qui introduit à un objet cinématographique surprenant et cocasse, jamais indifférent.
Le Figaro
Singulier, bouleversant, sensible, entre documentaire et fiction, "Willy 1er" mérite le détour.
Les Fiches du Cinéma
Une fable philosophique bienfaisante, inspirée de la vie de l’acteur principal, qu’elle honore avec tendresse.
Sud Ouest
L'humour sonne ici à la façon d'un exutoire dénué de surplomb, et la conquête de Willy, aussi élémentaire qu'elle puisse paraître, est celle d'un roi, fût-il nu.
Télérama
Ramassé en une heure vingt et découpé en chapitres, le récit maintient une tension permanente entre scènes ouvertement burlesques, envolées poétiques et accès de noirceur où l'on sent surgir la fatalité du fait divers.
aVoir-aLire.com
Le parcours émouvant (...) étonne et interroge le plus souvent sur la manière dont un homme dit "en marge" doit se battre pour trouver sa place dans notre société.
Bande à part
La misère ici est regardée, pas utilisée à des fins comiques, et si ce récit initiatique est souvent drôle, ce n’est jamais aux dépens de son personnage, mais parce qu’il est traité avec une tendresse non feinte.
L'Express
L'ensemble reste assez singulier et parfois très drôle pour qu'on s'y intéresse - un peu.
Les Inrockuptibles
Ce beau premier long métrage marche sur un fil fragile, chancelle par moments, mais se relève toujours et finit par se montrer à la hauteur de son ambition (...) Le quadruple regard porté sur Willy ne sert en fin de compte qu'un seul objectif : lui permettre de se voir, lui-même, comme le roi qu'il a toujours été.
Libération
Malgré une portée empathique incertaine (Willy est volontiers renfrogné, homophobe, libidineux…), l’évocation vaut pour la conviction avec laquelle le jeune quatuor de cinéastes (issus de la première promotion de l’école de cinéma de Luc Besson) honore son sujet couronné.
Ouest France
Un étonnant film dérangeant.
Positif
Intéressant.
Première
Après la malaise initial un peu douloureux, la bienveillance respectueuse avec laquelle les réalisateurs observent leur personnage réconcilie avec ce curieux projet.
Studio Ciné Live
L'interpète principal, Daniel Vannet, ancien illettré repéré par les cinéastes, est formidable de naturel. Il impose une présence aussi douce que sauvage et procure des séquences comiques indéniables. Dommage que le scénario, trop terre à terre, limite le propos à celui du petit film social à messages.
Critikat.com
(...) pour toucher à la vérité de ce personnage, il aurait fallu que les réalisateurs donnent un peu moins l’impression d’avoir flairé le bon coup marketing et ne se limitent pas qu’à la seule présence de leur acteur pour justifier l’existence de leur film.
L'Humanité
La misère affective et morale est-elle vraiment un bon sujet de rigolade ? Pour nous, le pathétique du projet incite surtout à la mélancolie.
La Voix du Nord
Bienvenue dans la France d’en-bas chère à un cinéma français contemporain en quête de réalisme cru. Si touchant et convaincant soit l’acteur amateur principal, force est de reconnaître que l’œuvre verse volontiers dans un exhibitionnisme et une complaisance glauques façon Striptease et Groland.
Le Monde
L’authenticité, recueillie avec un mélange d’empathie et de voyeurisme, est donc ici au service d’une fiction qui ne peut s’empêcher de réduire l’imaginaire plutôt que de l’étendre.
Le Parisien
On reste perplexe devant cette entreprise cinématographique. Censée célébrer une renaissance, elle reste d'un bout à l'autre profondément déprimante.