Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Positif
par Eithne O’Neill
Satire jubilatoire, "The Party" est aussi d’une moralité féroce. Il s’agit de la part monstrueuse et faillible de chacun. Une finesse de portraitiste dans des gros plans de têtes et de torses confirme l’humanité des personnages.
20 Minutes
par Caroline Vié
La réalisatrice d’Orlando mord à belles dents dans les mœurs politiciennes pour ce huis clos tourné en plein Brexit.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Le film de Potter se démarque par son humour affûté et un cynisme constant qui amuse tout autant qu’il dénonce l’hypocrisie de cette élite bien-pensante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un huis clos dont le noir et blanc accentue le côté très théâtral, fleurant bon l’humour british, à la fois élégant et rosse, et qui se plaît à mettre à nu les secrets inavoués et le décalage entre la bonne conscience politique affichée et la réalité sociale.
Le Parisien
par La Rédaction
Un dîner très croustillant.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film d’une cruauté et d’une drôlerie revigorantes.
Paris Match
par Yannick Vely
Sally Potter signe un jeu de massacre jubilatoire dans l'Angleterre d'avant le Brexit.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Pierre Murat
Ils sont sept. Plus un objet qui devient le huitième personnage de ce huis clos rigolo : le revolver apporté par le mari de la belle Marianne, que récupère Kristin Scott Thomas pour un dénouement moqueur qui pousse à revoir immédiatement cette Party, afin de bien en mesurer l’ambiguïté et l’ironie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une mise en scène dynamique installée au cœur d’un décor épuré et soutenue par les dialogues ciselés des joutes verbales qui fusent sans temps mort protègent le spectateur de tout ennui et donnent un tempo exaltant à cette comédie enlevée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Une comédie en huis-clos, aussi concise que précise...
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Cinéaste chevronnée, Sally Potter persiste et signe dans son style élégant pour faire passer un message imprégné de ses thèmes féministes, ici exposés avec un ton délicieusement acide.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Reste un film intéressant, parfois même passionnant par à-coups, mais inabouti. C’est dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un vaudeville britannique qui vaut surtout pour ses acteurs. Et le petit coupde théâtre final, amusant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Si l'héroïne fait son Godot, les comédiens n'attendent pas l'Arlésienne pour se déchirer sous nos yeux avec un humour et une subtilité toute britannique.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par La Rédaction
Un huis clos théâtral en noir et blanc entre stupeur, hystérie et pointe d'humour.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On peut reconnaître une habileté d’écriture, cherchant à ménager un rythme particulier pour chacun des interprètes. Mais cet effort d’orchestration du dialogue devient vite mécanique et se trouve désamorcé par un arrosage automatique à l’acide qui vire au jeu de massacre gratuit.
La Croix
par Arnaud Schwartz
En dépit de l’affiche relevée qu’elle est parvenue à réunir, la réalisatrice ne parvient pas vraiment à créer le tourbillon qui eut pu donner à cette métaphore – plus ou moins convaincante – une vraie saveur. En dépit de la tension, des péripéties, des réparties, le spectateur reste souvent étranger à ce qui se joue devant lui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Cynisme et cruauté. Rien ne fonctionne. Ni le talent des acteurs cabotins, ni le noir et blanc incongru, ni la théâtralité assumée. Plouf.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Malgré de bonnes répliques, on a l’impression que le talent ici mobilisé est un peu gaspillé.
Studio Ciné Live
par Stéphanie Belpêche
Le ton est sec et ironique, les acteurs sont au diapason. Mais le film vire à la farce burlesque sur fond de malaisie et d'adultère et se noie sous un flot de mots.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On a beau vouloir faire genre en filmant en noir et blanc pseudo stylé, et en terminant l’histoire sur un coup de théâtre facile et gratuit (même pas un twist), c’est pitoyable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Jadis plus hardie, Sally Potter use et abuse des ressorts de la satire en huis clos. Déprimant de platitude.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonn
Hystérie de l’interprétation, pauvreté des dialogues, incohérence du noir et blanc, ratage du dénouement : "The Party" condense tous les affreux tics du cinéma indé sans imagination.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
Satire jubilatoire, "The Party" est aussi d’une moralité féroce. Il s’agit de la part monstrueuse et faillible de chacun. Une finesse de portraitiste dans des gros plans de têtes et de torses confirme l’humanité des personnages.
20 Minutes
La réalisatrice d’Orlando mord à belles dents dans les mœurs politiciennes pour ce huis clos tourné en plein Brexit.
Critikat.com
Le film de Potter se démarque par son humour affûté et un cynisme constant qui amuse tout autant qu’il dénonce l’hypocrisie de cette élite bien-pensante.
Le Dauphiné Libéré
Un huis clos dont le noir et blanc accentue le côté très théâtral, fleurant bon l’humour british, à la fois élégant et rosse, et qui se plaît à mettre à nu les secrets inavoués et le décalage entre la bonne conscience politique affichée et la réalité sociale.
Le Parisien
Un dîner très croustillant.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une cruauté et d’une drôlerie revigorantes.
Paris Match
Sally Potter signe un jeu de massacre jubilatoire dans l'Angleterre d'avant le Brexit.
Télérama
Ils sont sept. Plus un objet qui devient le huitième personnage de ce huis clos rigolo : le revolver apporté par le mari de la belle Marianne, que récupère Kristin Scott Thomas pour un dénouement moqueur qui pousse à revoir immédiatement cette Party, afin de bien en mesurer l’ambiguïté et l’ironie.
aVoir-aLire.com
Une mise en scène dynamique installée au cœur d’un décor épuré et soutenue par les dialogues ciselés des joutes verbales qui fusent sans temps mort protègent le spectateur de tout ennui et donnent un tempo exaltant à cette comédie enlevée.
CinemaTeaser
Une comédie en huis-clos, aussi concise que précise...
Franceinfo Culture
Cinéaste chevronnée, Sally Potter persiste et signe dans son style élégant pour faire passer un message imprégné de ses thèmes féministes, ici exposés avec un ton délicieusement acide.
L'Obs
Reste un film intéressant, parfois même passionnant par à-coups, mais inabouti. C’est dommage.
Le Figaro
Un vaudeville britannique qui vaut surtout pour ses acteurs. Et le petit coupde théâtre final, amusant.
Rolling Stone
Si l'héroïne fait son Godot, les comédiens n'attendent pas l'Arlésienne pour se déchirer sous nos yeux avec un humour et une subtilité toute britannique.
Voici
Un huis clos théâtral en noir et blanc entre stupeur, hystérie et pointe d'humour.
Cahiers du Cinéma
On peut reconnaître une habileté d’écriture, cherchant à ménager un rythme particulier pour chacun des interprètes. Mais cet effort d’orchestration du dialogue devient vite mécanique et se trouve désamorcé par un arrosage automatique à l’acide qui vire au jeu de massacre gratuit.
La Croix
En dépit de l’affiche relevée qu’elle est parvenue à réunir, la réalisatrice ne parvient pas vraiment à créer le tourbillon qui eut pu donner à cette métaphore – plus ou moins convaincante – une vraie saveur. En dépit de la tension, des péripéties, des réparties, le spectateur reste souvent étranger à ce qui se joue devant lui.
La Voix du Nord
Cynisme et cruauté. Rien ne fonctionne. Ni le talent des acteurs cabotins, ni le noir et blanc incongru, ni la théâtralité assumée. Plouf.
Le Monde
Malgré de bonnes répliques, on a l’impression que le talent ici mobilisé est un peu gaspillé.
Studio Ciné Live
Le ton est sec et ironique, les acteurs sont au diapason. Mais le film vire à la farce burlesque sur fond de malaisie et d'adultère et se noie sous un flot de mots.
Les Inrockuptibles
On a beau vouloir faire genre en filmant en noir et blanc pseudo stylé, et en terminant l’histoire sur un coup de théâtre facile et gratuit (même pas un twist), c’est pitoyable.
Libération
Jadis plus hardie, Sally Potter use et abuse des ressorts de la satire en huis clos. Déprimant de platitude.
Première
Hystérie de l’interprétation, pauvreté des dialogues, incohérence du noir et blanc, ratage du dénouement : "The Party" condense tous les affreux tics du cinéma indé sans imagination.