Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Premier long métrage de Jude Ratnam, cette coproduction franco-sri-lankaise impressionne par son ambition : tisser un récit de l’histoire postcoloniale du Sri Lanka, en guerre civile de 1983 à 2009, du point de vue de la minorité tamoule.
Critikat.com
par Benoît Smith
Un travail de mémoire basé moins sur une reconstitution de faits que sur une évocation de fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre témoignages, rencontres et souvenirs, Jude Ratnam revisite le sanglant conflit cinghalo-tamoul des années 1980 qui éclata alors qu’il avait 5 ans. En recherche d’un espoir de réconciliation, il aboutit au constat désespérant que l’Histoire aime à bégayer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Un documentaire saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Ce court-circuitage de l’expérience intime et de l’histoire nationale, du passé et du présent, n’est pas dénué de confusion mais représente un geste fort et nécessaire, une première brèche dans un bloc d’amnésie et de silence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Damien Aubel
Mais la force passionnelle, personnelle et collective, de cette histoire, n’empêche pas Jude Ratnam de tenir une ligne esthétique ferme. Comme chez Panh et Lanzmann, le travail sur la forme, la lumière et les valeurs de plans, est indissociable de l’enquête sur la mémoire.
Télérama
par Samuel Douhaire
A plusieurs reprises, le cinéaste reproduira ce décalage entre les images et les mots dans des scènes splendides, où l’évocation des atrocités accompagne de longs mouvements de caméra sur des bâtiments en partie détruits par des bombardements ou sur des voies ferrées recouvertes par la végétation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
En adoptant la forme d'un journal filmé, le premier long métrage de Jude Ratnam rappelle combien le cinéma peut encore provoquer le dialogue et redonner aux images un pouvoir humaniste et fraternel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Chronique de l’occupation de l’usine Vio.Me de Thessalonique, en Grèce, à partir de 2011. Les salariés non payés prennent en main leur outil de travail, convertissant cette usine de matériel de construction en fabrique de détergent. Le lieu devient le foyer d’une solidarité internationale, signifiée par la visite de Naomi Klein, déjà réalisatrice d’un film sur le même thème en Argentine. Fraternel.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Une réconciliation est-elle possible, comme en Afrique du Sud ? Le Sri Lanka, divisé entre Cingalais, Tamouls, Maures, peut-il redevenir le " paradis " du titre ? Toutes questions délicates abordées avec franchise par le cinéaste (ancien membre d'une ONG), qui brosse le portrait d'un pays déchiré, où le silence officiel règne sur le terrible passé proche.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Évitant l’écueil de l’image édifiante et unilatérale, Ratnam devient acteur d’une histoire encore en cours qu’il s’évertue avec intégrité à reprendre, comme le fil d’une chronologie jadis rompue par les traumatismes d’une guerre civile aussi bien géopolitique que mentale.
Positif
par Hubert Niogret
Si dans une première partie, le cinéaste est hésitant à reconstituer de mémoire les événements et ne réussit pas à en tracer les motivations et les contours, son documentaire devient plus intéressant dans une deuxième partie, quand il interroge les combattants.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le film risque d’être opaque à qui connaît mal le conflit. Mais il suffit de se documenter un peu pour être saisi par l’évocation de ce passé dont les plaies sont loin d’être pansées.
Cahiers du Cinéma
Premier long métrage de Jude Ratnam, cette coproduction franco-sri-lankaise impressionne par son ambition : tisser un récit de l’histoire postcoloniale du Sri Lanka, en guerre civile de 1983 à 2009, du point de vue de la minorité tamoule.
Critikat.com
Un travail de mémoire basé moins sur une reconstitution de faits que sur une évocation de fantômes.
Les Fiches du Cinéma
Entre témoignages, rencontres et souvenirs, Jude Ratnam revisite le sanglant conflit cinghalo-tamoul des années 1980 qui éclata alors qu’il avait 5 ans. En recherche d’un espoir de réconciliation, il aboutit au constat désespérant que l’Histoire aime à bégayer.
Les Inrockuptibles
Un documentaire saisissant.
Libération
Ce court-circuitage de l’expérience intime et de l’histoire nationale, du passé et du présent, n’est pas dénué de confusion mais représente un geste fort et nécessaire, une première brèche dans un bloc d’amnésie et de silence.
Transfuge
Mais la force passionnelle, personnelle et collective, de cette histoire, n’empêche pas Jude Ratnam de tenir une ligne esthétique ferme. Comme chez Panh et Lanzmann, le travail sur la forme, la lumière et les valeurs de plans, est indissociable de l’enquête sur la mémoire.
Télérama
A plusieurs reprises, le cinéaste reproduira ce décalage entre les images et les mots dans des scènes splendides, où l’évocation des atrocités accompagne de longs mouvements de caméra sur des bâtiments en partie détruits par des bombardements ou sur des voies ferrées recouvertes par la végétation.
Culturopoing.com
En adoptant la forme d'un journal filmé, le premier long métrage de Jude Ratnam rappelle combien le cinéma peut encore provoquer le dialogue et redonner aux images un pouvoir humaniste et fraternel.
L'Humanité
Chronique de l’occupation de l’usine Vio.Me de Thessalonique, en Grèce, à partir de 2011. Les salariés non payés prennent en main leur outil de travail, convertissant cette usine de matériel de construction en fabrique de détergent. Le lieu devient le foyer d’une solidarité internationale, signifiée par la visite de Naomi Klein, déjà réalisatrice d’un film sur le même thème en Argentine. Fraternel.
L'Obs
Une réconciliation est-elle possible, comme en Afrique du Sud ? Le Sri Lanka, divisé entre Cingalais, Tamouls, Maures, peut-il redevenir le " paradis " du titre ? Toutes questions délicates abordées avec franchise par le cinéaste (ancien membre d'une ONG), qui brosse le portrait d'un pays déchiré, où le silence officiel règne sur le terrible passé proche.
La Septième Obsession
Évitant l’écueil de l’image édifiante et unilatérale, Ratnam devient acteur d’une histoire encore en cours qu’il s’évertue avec intégrité à reprendre, comme le fil d’une chronologie jadis rompue par les traumatismes d’une guerre civile aussi bien géopolitique que mentale.
Positif
Si dans une première partie, le cinéaste est hésitant à reconstituer de mémoire les événements et ne réussit pas à en tracer les motivations et les contours, son documentaire devient plus intéressant dans une deuxième partie, quand il interroge les combattants.
Le Monde
Le film risque d’être opaque à qui connaît mal le conflit. Mais il suffit de se documenter un peu pour être saisi par l’évocation de ce passé dont les plaies sont loin d’être pansées.