A Bread Factory Part 1 : Ce qui nous unit : Critique presse
A Bread Factory Part 1 : Ce qui nous unit
Note moyenne
3,3
15 titres de presse
Transfuge
L'Humanité
L'Obs
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Positif
Sud Ouest
Critikat.com
Libération
Télérama
La Septième Obsession
Le Journal du Dimanche
Première
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
Wang ne nous avait pas habitués à cet humour insensé, après deux films intimistes. Pour autant le réalisateur ne perd pas son grand atout : une attention rare portée à la psychologie.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les intrigues et les relations s’entrechoquent sur un ton semi-humoristique dans ce parfait prototype de sitcom alternatif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Patrick Wang ("In the Family") met en scène un journaliste, un teenager, un acteur, un critique, qui défendent ou attaquent, selon leur conception de la culture (consommation ou création ?). Curieusement, ce mince sujet devient passionnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Entre manifeste et sitcom, Patrick Wang s’est ménagé un espace dans lequel on s’installe avec délice.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
À travers cette chronique qui flirte avec l’essai cinématographique et le documentaire, Patrick Wang rend un bel hommage aux artistes amateurs. Déroutant parfois dans ses partis pris scénaristiques, "A Bread Factory Part 1" est aussi baigné de tendresse et de folie douce.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Un centre d'art menacé par l'arrivée d'un théâtre branché. Malgré un pitch qui ne mange pas de pain, ce film révèle une vraie patte et une méthode Wang.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Baptiste Roux
Si Wang n’échappe pas toujours à la caricature (l’art contemporain ne saurait se limiter aux prestations ineptes du duo May/Ray), cette partialité est à mettre sur le compte d’une tendresse immodérée pour un monde évanescent, où l’imprimé et la scène conservent tout leur lustre.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une œuvre pleine d’humour par un cinéaste subtil et poétique.
Critikat.com
par Anthony Moreira
Le premier volet de A Bread Factory navigue ainsi avec aisance et finesse entre la satire et la comédie humaine dans ce qu’elle peut avoir de plus prosaïque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
Il n’est pas complètement sûr que cette façon très démonstrative et légèrement caricaturale de montrer ou démonter une tendance contemporaine du glissement entre culture et marketing conquiert un public acquis à la cause du cinéaste. Le film se gagne sur la durée, dans la familiarité qui se construit avec les personnages [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Avec ses plans fixes, à l’économie, ses gags minimalistes, sa galerie inégale de personnages (dont le couple de gérantes septuagénaires), le film exerce une séduction limitée. Mais on y sent une tendresse infinie, un peu désespérée, pour les lieux de culture à l’ancienne… Et assez d’engagement pour maintenir la curiosité : la seconde partie de l’histoire sortira en janvier 2019.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Fabrice Fuentes
Wang préfère l’élan schématique de la caricature, et démontre lors d’un final théâtral que finesse du regard et grotesque ne sont séparés que d’une fragile barrière.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Chantre d’un cinéma indépendant libéré des grammaires sclérosantes, Patrick Wang s’aventure dans la farce débonnaire au détriment du récit, semé de détours incongrus. Mais c’est ce genre de bizarreries qui fait aussi le charme de ses intrigues faussement banales.
Première
par Éric Vernay
En mêlant la satire mordante (de la gentrification, de la tartufferie du monde de l’art, de la corruption de la démocratie par l’argent) avec la chronique sensible d’un lieu menacé, ce curieux film choral de lutte sociale peine à trouver sa tonalité, son incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Tout est joué d’avance, et le film apparaît vite plus moralisant que simplement moral.
Transfuge
Wang ne nous avait pas habitués à cet humour insensé, après deux films intimistes. Pour autant le réalisateur ne perd pas son grand atout : une attention rare portée à la psychologie.
L'Humanité
Les intrigues et les relations s’entrechoquent sur un ton semi-humoristique dans ce parfait prototype de sitcom alternatif.
L'Obs
Patrick Wang ("In the Family") met en scène un journaliste, un teenager, un acteur, un critique, qui défendent ou attaquent, selon leur conception de la culture (consommation ou création ?). Curieusement, ce mince sujet devient passionnant.
Le Monde
Entre manifeste et sitcom, Patrick Wang s’est ménagé un espace dans lequel on s’installe avec délice.
Les Fiches du Cinéma
À travers cette chronique qui flirte avec l’essai cinématographique et le documentaire, Patrick Wang rend un bel hommage aux artistes amateurs. Déroutant parfois dans ses partis pris scénaristiques, "A Bread Factory Part 1" est aussi baigné de tendresse et de folie douce.
Les Inrockuptibles
Un centre d'art menacé par l'arrivée d'un théâtre branché. Malgré un pitch qui ne mange pas de pain, ce film révèle une vraie patte et une méthode Wang.
Positif
Si Wang n’échappe pas toujours à la caricature (l’art contemporain ne saurait se limiter aux prestations ineptes du duo May/Ray), cette partialité est à mettre sur le compte d’une tendresse immodérée pour un monde évanescent, où l’imprimé et la scène conservent tout leur lustre.
Sud Ouest
Une œuvre pleine d’humour par un cinéaste subtil et poétique.
Critikat.com
Le premier volet de A Bread Factory navigue ainsi avec aisance et finesse entre la satire et la comédie humaine dans ce qu’elle peut avoir de plus prosaïque.
Libération
Il n’est pas complètement sûr que cette façon très démonstrative et légèrement caricaturale de montrer ou démonter une tendance contemporaine du glissement entre culture et marketing conquiert un public acquis à la cause du cinéaste. Le film se gagne sur la durée, dans la familiarité qui se construit avec les personnages [...].
Télérama
Avec ses plans fixes, à l’économie, ses gags minimalistes, sa galerie inégale de personnages (dont le couple de gérantes septuagénaires), le film exerce une séduction limitée. Mais on y sent une tendresse infinie, un peu désespérée, pour les lieux de culture à l’ancienne… Et assez d’engagement pour maintenir la curiosité : la seconde partie de l’histoire sortira en janvier 2019.
La Septième Obsession
Wang préfère l’élan schématique de la caricature, et démontre lors d’un final théâtral que finesse du regard et grotesque ne sont séparés que d’une fragile barrière.
Le Journal du Dimanche
Chantre d’un cinéma indépendant libéré des grammaires sclérosantes, Patrick Wang s’aventure dans la farce débonnaire au détriment du récit, semé de détours incongrus. Mais c’est ce genre de bizarreries qui fait aussi le charme de ses intrigues faussement banales.
Première
En mêlant la satire mordante (de la gentrification, de la tartufferie du monde de l’art, de la corruption de la démocratie par l’argent) avec la chronique sensible d’un lieu menacé, ce curieux film choral de lutte sociale peine à trouver sa tonalité, son incarnation.
Cahiers du Cinéma
Tout est joué d’avance, et le film apparaît vite plus moralisant que simplement moral.