Ex Libris: The New York Public Library : Critique presse
Ex Libris: The New York Public Library
Note moyenne
4,1
18 titres de presse
Critikat.com
Culturopoing.com
Libération
Transfuge
Cahiers du Cinéma
L'Humanité
La Croix
La Septième Obsession
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Positif
Première
Studio Ciné Live
Télérama
L'Obs
Le Figaro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Critikat.com
par Julien Marsa
Trouver ce qui lie des êtres si différents et faire du film une passerelle entre eux, voilà le véritable et beau programme du cinéma de Frederick Wiseman.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Frederick Wiseman nous ouvre les portes de la New York Public Library, où l'intelligence, la philanthropie, l'humanisme, l'enthousiasme et l'altruisme vous accueillent, offrant un visage de l'Amérique à l'opposé de celui de son actuel président.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Marcos Uzal
Une fresque enthousiasmante qui magnifie le rôle essentiel des bibliothèques dans la société.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Damien Aubel
(...) une époustouflante odyssée culturelle.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Résolument optimiste, le film parie sur la capacité des hommes à faire preuve d’une curiosité opiniâtre qui est presque la condition de leur liberté ; en tout cas, une manière de penser en citoyens et d’agir en démocrates.
L'Humanité
par Dominique Widemann
L’effacement du cinéaste, la réfutation active de tout didactisme contribuent à la composition d’un ensemble polyphonique dans lequel chacune des parties vaut pour le tout.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Les bibliothèques, lieux de vie ? Ex Libris, de Frederick Wiseman, en apporte la preuve éclatante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Wiseman déploie sous nos yeux les multiples enjeux d’une institution au service des gens : il donne à voir les grandes mutations auxquelles se trouve confronté ce lieu de vie, de formation, d’éducation.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sous le charme, l’œil malicieux de Frederick Wiseman paraît plus amoureux que critique, et fait durer le plaisir (3 h 20). Qu’importe, le sujet est magnifique, essentiel.
Le Monde
par La Rédaction
Si toute institution est le reflet du peuple qu’elle héberge, celle que filme Wiseman ouvre, dans l’Amérique de Trump, un refuge privilégié à l’intelligence et au partage démocratique, dont le spectacle est le plus réjouissant qui soit.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Wiseman parvient, une fois encore, à nous immerger de façon passionnante dans une institution américaine. Un seul regret : certaines séquences auraient gagné à être plus longues.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le mythique documentariste s'immerge dans une fameuse bibliothèque publique à New-York. Un plaidoyer pour l'accès à la culture et sa démocratisation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Loup Bourget
Loin de la satire mordante de ses films anciens (...), Wiseman s'adonne ici à un éloge de la philanthropie, de la générosité, des valeurs du dialogue et de la démocratie, avant que celles-ci soient si évidemment menacées par le mardi noir de novembre 2016.
Première
par Eric Vernay
Ce qu'il y a de très beau finalement dans ce film, qui peut sembler presque trop laudatif ou décollé du réel, c'est qu'en vérité, il voit en cette institution culturelle une caisse de résonance des maux de l'Amérique, un miroir de ses violences raciales et sociales.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Une plongée immersive dans une instituion hors-norme.
Télérama
par Jacques Morice
Tant sur la diversité des échanges et des services que des visages et des âges (en deçà de 7 ans et au-delà de 77 !), Ex Libris fait un bien fou, s’accordant parfaitement avec la formule de Toni Morrison, citée un moment : « Les bibliothèques sont les piliers de notre démocratie. »
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Trop long et redondant, "Ex Libris" n’en constitue pas moins un document nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Entre une conférence sur les delicatessen et une rencontre avec Elvis Costello, on découvre que les écrans ont envahi le temple du livre. Même le plus endurant des rats de bibliothèque peut trouver le temps long.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Critikat.com
Trouver ce qui lie des êtres si différents et faire du film une passerelle entre eux, voilà le véritable et beau programme du cinéma de Frederick Wiseman.
Culturopoing.com
Frederick Wiseman nous ouvre les portes de la New York Public Library, où l'intelligence, la philanthropie, l'humanisme, l'enthousiasme et l'altruisme vous accueillent, offrant un visage de l'Amérique à l'opposé de celui de son actuel président.
Libération
Une fresque enthousiasmante qui magnifie le rôle essentiel des bibliothèques dans la société.
Transfuge
(...) une époustouflante odyssée culturelle.
Cahiers du Cinéma
Résolument optimiste, le film parie sur la capacité des hommes à faire preuve d’une curiosité opiniâtre qui est presque la condition de leur liberté ; en tout cas, une manière de penser en citoyens et d’agir en démocrates.
L'Humanité
L’effacement du cinéaste, la réfutation active de tout didactisme contribuent à la composition d’un ensemble polyphonique dans lequel chacune des parties vaut pour le tout.
La Croix
Les bibliothèques, lieux de vie ? Ex Libris, de Frederick Wiseman, en apporte la preuve éclatante.
La Septième Obsession
Wiseman déploie sous nos yeux les multiples enjeux d’une institution au service des gens : il donne à voir les grandes mutations auxquelles se trouve confronté ce lieu de vie, de formation, d’éducation.
Le Journal du Dimanche
Sous le charme, l’œil malicieux de Frederick Wiseman paraît plus amoureux que critique, et fait durer le plaisir (3 h 20). Qu’importe, le sujet est magnifique, essentiel.
Le Monde
Si toute institution est le reflet du peuple qu’elle héberge, celle que filme Wiseman ouvre, dans l’Amérique de Trump, un refuge privilégié à l’intelligence et au partage démocratique, dont le spectacle est le plus réjouissant qui soit.
Les Fiches du Cinéma
Wiseman parvient, une fois encore, à nous immerger de façon passionnante dans une institution américaine. Un seul regret : certaines séquences auraient gagné à être plus longues.
Les Inrockuptibles
Le mythique documentariste s'immerge dans une fameuse bibliothèque publique à New-York. Un plaidoyer pour l'accès à la culture et sa démocratisation.
Positif
Loin de la satire mordante de ses films anciens (...), Wiseman s'adonne ici à un éloge de la philanthropie, de la générosité, des valeurs du dialogue et de la démocratie, avant que celles-ci soient si évidemment menacées par le mardi noir de novembre 2016.
Première
Ce qu'il y a de très beau finalement dans ce film, qui peut sembler presque trop laudatif ou décollé du réel, c'est qu'en vérité, il voit en cette institution culturelle une caisse de résonance des maux de l'Amérique, un miroir de ses violences raciales et sociales.
Studio Ciné Live
Une plongée immersive dans une instituion hors-norme.
Télérama
Tant sur la diversité des échanges et des services que des visages et des âges (en deçà de 7 ans et au-delà de 77 !), Ex Libris fait un bien fou, s’accordant parfaitement avec la formule de Toni Morrison, citée un moment : « Les bibliothèques sont les piliers de notre démocratie. »
L'Obs
Trop long et redondant, "Ex Libris" n’en constitue pas moins un document nécessaire.
Le Figaro
Entre une conférence sur les delicatessen et une rencontre avec Elvis Costello, on découvre que les écrans ont envahi le temple du livre. Même le plus endurant des rats de bibliothèque peut trouver le temps long.