Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Cette suite très réussie tire vers la satire politique avec l'élection de 2017 pour référence.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
C'est un peu surchargé en péripéties, mais la comédie tire assez plaisamment le fil satirique du carriérisme politique. Il y a des situations cocasses et de bonnes trouvailles dans les dialogues. Et surtout, la comédie est enlevée par des acteurs réjouissants, Podalydès en tête, sans oublier les apparitions de Valérie Lemercier.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Si cette suite, un peu trop caricaturale, n'est pas à la hauteur du premier opus, on se réjouit de retrouver toute la famille dix ans plus tard.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Comme dans le premier volet, les auteurs ont pris le parti de coller à l'actualité et d'en rire. Une marque de fabrique assumée.
La Voix du Nord
par C. P.
Une comédie qui parle de l’époque mais qui n’en dit pas grand-chose, finalement.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Catherine Balle
Malgré quelques qualités humoristiques, la suite de « Neuilly, sa mère », sorti en 2009, n’est pas une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette farce bon enfant, à l'humour un peu lourd, recèle toutefois quelques savoureuses pépites et un casting pour le moins inattendu.
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
En déportant son action des rues chics de Neuilly aux blocs de béton de Nanterre, "Neuilly sa mère, sa mère" pousse la satire politique plus loin que son prédécesseur, et fait de la chronique parodique d'une France à deux visages un fourre-tout indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
La seule vertu de cette comédie jamais drôle, c'est qu'elle permet de résumer en une phrase une trajectoire ordinaire dans le cinéma français : neuf ans après ses débuts, un réalisateur prometteur est devenu un incompétent notoire, mais qui a plein de noms connus dans son répertoire.
Télérama
par Pierre Murat
Sorti en 2009, “Neuilly sa mère !” avait-il réellement besoin d’une suite ? Non. Mais la vraie question, c’est plutôt de savoir ce que Denis Podalydès ou Valérie Lemercier sont venus faire dans cette galère, au milieu d’un attelage hétéroclite où personnalités politiques et médiatiques sont venues faire la claque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
La comédie sociale sympa a viré à la caricature relou.
Closer
Cette suite très réussie tire vers la satire politique avec l'élection de 2017 pour référence.
Le Figaro
C'est un peu surchargé en péripéties, mais la comédie tire assez plaisamment le fil satirique du carriérisme politique. Il y a des situations cocasses et de bonnes trouvailles dans les dialogues. Et surtout, la comédie est enlevée par des acteurs réjouissants, Podalydès en tête, sans oublier les apparitions de Valérie Lemercier.
Femme Actuelle
Si cette suite, un peu trop caricaturale, n'est pas à la hauteur du premier opus, on se réjouit de retrouver toute la famille dix ans plus tard.
Télé Loisirs
Comme dans le premier volet, les auteurs ont pris le parti de coller à l'actualité et d'en rire. Une marque de fabrique assumée.
La Voix du Nord
Une comédie qui parle de l’époque mais qui n’en dit pas grand-chose, finalement.
Le Parisien
Malgré quelques qualités humoristiques, la suite de « Neuilly, sa mère », sorti en 2009, n’est pas une réussite.
Télé 7 Jours
Cette farce bon enfant, à l'humour un peu lourd, recèle toutefois quelques savoureuses pépites et un casting pour le moins inattendu.
Les Inrockuptibles
En déportant son action des rues chics de Neuilly aux blocs de béton de Nanterre, "Neuilly sa mère, sa mère" pousse la satire politique plus loin que son prédécesseur, et fait de la chronique parodique d'une France à deux visages un fourre-tout indigeste.
Positif
La seule vertu de cette comédie jamais drôle, c'est qu'elle permet de résumer en une phrase une trajectoire ordinaire dans le cinéma français : neuf ans après ses débuts, un réalisateur prometteur est devenu un incompétent notoire, mais qui a plein de noms connus dans son répertoire.
Télérama
Sorti en 2009, “Neuilly sa mère !” avait-il réellement besoin d’une suite ? Non. Mais la vraie question, c’est plutôt de savoir ce que Denis Podalydès ou Valérie Lemercier sont venus faire dans cette galère, au milieu d’un attelage hétéroclite où personnalités politiques et médiatiques sont venues faire la claque.
Voici
La comédie sociale sympa a viré à la caricature relou.