Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La réalisatrice offre deux beaux personnages féminins.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Une œuvre sensible à la tension palpable.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un beau film, assez lent mais d'une grande sensibilité.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Après une longue carrière d’actrice, Jordana Spiro réalise un premier film sensible en s’attachant aux pas d’une jeune femme hantée par la perte et la vengeance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film qui tire sa force de son refus de tout atermoiement, de sa lucidité politique et de la fougue brisée de ses héroïnes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Pour raconter cette histoire de violence et de douleur, Jordana Spiro s’appuie sur deux jeunes comédiennes qui ont la justesse de leur naturel. Elle s’appuie aussi, sans doute un peu trop, sur le déroulement convenu d’une dramaturgie quelque peu prévisible. Mais elle le fait sans pathos, en gardant au sujet sa cruauté latente.
Télérama
par Cécile Mury
En somme, le portrait pudique et poignant d’une jeunesse abandonnée dans un angle mort de l’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si la mise en scène demeure classique, cette première œuvre de cinéma choisit la sobriété pour dresser le portrait gracieux de deux jeunes sœurs à l’humanité magnifique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Si le premier long métrage de Jordana Spiro s’inscrit dans un héritage de chronique indé / East Cost aussi passe-partout que son titre français, il révèle une jeune cinéaste peut-être promise à un bel avenir.
L'Express
par Christophe Carrière
C'est un peu âpre, presque émouvant, interprété au cordeau par deux inconnues. En un mot, juste.
Le Figaro
par La Rédaction
Touchant sans être misérabiliste. La douleur se trouve dans les regards.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Une œuvre touchante, dont l'économie narrative est aussi symptomatique d'un cinéma indépendant (américain) à tendance dogmatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Agréable mais pas marquant, le film de Jordana Spiro sur le parcours de deux sœurs coche toutes les cases du cinéma indépendant, jusqu’à l’excès.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Ce premier long métrage de l'actrice Jordana Spiro déroule ainsi un programme sans surprise, que l'on suit sans déplaisir ni intérêt.
Première
par Thierry Chèze
Alors, certes, Long Way Homen’évite pas certains clichés (que seraient ces récits initiatiques au féminin sans un passage dans un bain amniotique, symbole de renaissance ?), mais il est dominé par une tension permanente qui empêche le récit de basculer dans la mièvrerie pour aboutir à un beau film sur l’amour sororal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit cousu de fil blanc au rythme languissant, qui vaut pour ses deux interprètes.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film de Jordana Spiro, est un road-movie naturaliste typique d’une tendance du cinéma américain indépendant. Le film repose sur le naturel de comédiens ici plutôt touchants et convaincants.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
"Long Way Home" est porté par ses deux actrices très convaincantes, une photographie léchée et une mise en scène qui brille par sa pudeur et une certaine forme de grâce. Mais tout cela reste bien convenu et calculé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
La réalisatrice offre deux beaux personnages féminins.
CNews
Une œuvre sensible à la tension palpable.
Femme Actuelle
Un beau film, assez lent mais d'une grande sensibilité.
L'Humanité
Après une longue carrière d’actrice, Jordana Spiro réalise un premier film sensible en s’attachant aux pas d’une jeune femme hantée par la perte et la vengeance.
L'Obs
Un film qui tire sa force de son refus de tout atermoiement, de sa lucidité politique et de la fougue brisée de ses héroïnes.
Le Dauphiné Libéré
Pour raconter cette histoire de violence et de douleur, Jordana Spiro s’appuie sur deux jeunes comédiennes qui ont la justesse de leur naturel. Elle s’appuie aussi, sans doute un peu trop, sur le déroulement convenu d’une dramaturgie quelque peu prévisible. Mais elle le fait sans pathos, en gardant au sujet sa cruauté latente.
Télérama
En somme, le portrait pudique et poignant d’une jeunesse abandonnée dans un angle mort de l’Amérique.
aVoir-aLire.com
Si la mise en scène demeure classique, cette première œuvre de cinéma choisit la sobriété pour dresser le portrait gracieux de deux jeunes sœurs à l’humanité magnifique.
Cahiers du Cinéma
Si le premier long métrage de Jordana Spiro s’inscrit dans un héritage de chronique indé / East Cost aussi passe-partout que son titre français, il révèle une jeune cinéaste peut-être promise à un bel avenir.
L'Express
C'est un peu âpre, presque émouvant, interprété au cordeau par deux inconnues. En un mot, juste.
Le Figaro
Touchant sans être misérabiliste. La douleur se trouve dans les regards.
Les Fiches du Cinéma
Une œuvre touchante, dont l'économie narrative est aussi symptomatique d'un cinéma indépendant (américain) à tendance dogmatique.
Libération
Agréable mais pas marquant, le film de Jordana Spiro sur le parcours de deux sœurs coche toutes les cases du cinéma indépendant, jusqu’à l’excès.
Positif
Ce premier long métrage de l'actrice Jordana Spiro déroule ainsi un programme sans surprise, que l'on suit sans déplaisir ni intérêt.
Première
Alors, certes, Long Way Homen’évite pas certains clichés (que seraient ces récits initiatiques au féminin sans un passage dans un bain amniotique, symbole de renaissance ?), mais il est dominé par une tension permanente qui empêche le récit de basculer dans la mièvrerie pour aboutir à un beau film sur l’amour sororal.
Le Journal du Dimanche
Un récit cousu de fil blanc au rythme languissant, qui vaut pour ses deux interprètes.
Le Monde
Le film de Jordana Spiro, est un road-movie naturaliste typique d’une tendance du cinéma américain indépendant. Le film repose sur le naturel de comédiens ici plutôt touchants et convaincants.
Les Inrockuptibles
"Long Way Home" est porté par ses deux actrices très convaincantes, une photographie léchée et une mise en scène qui brille par sa pudeur et une certaine forme de grâce. Mais tout cela reste bien convenu et calculé.