Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
[...] ce qu'il y a de formidable dans "Yomeddine", c'est cette envie de montrer une Egypte inédite, loin des clichés cairotes ou touristiques (la seule pyramide qu'on voit, authentique, est inconnue et abandonnée de tous), de transmettre des valeurs fondamentales (comme, bien sûr, le droit à la différence), avec une farouche volonté de divertir.
CNews
par La rédaction
Premier film du réalisateur Abu Bakr Shawky, ce drame teinté de poésie suit le voyage d'un lépreux et d'un orphelin, à la recherche de leurs racines.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Plaidoyer pour la compassion et la générosité, mélodrame, critique sociale et comédie, Yomeddine comporte aussi des moments de grâce, d’entraide, de franche rigolade avec ces déshérités méprisés, des scènes oniriques où Beshay demeure hanté par sa famille qu’il n’a pas vue depuis quarante ans.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une œuvre simple et tenace comme ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un film touchant, entre road-movie et fable initiatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier Ubertalli
Un beau conte qui se dévoile au fil des routes égyptiennes, sans s'apitoyer sur le sort des lépreux et des Égyptiens en général.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ecran Large
par Simon Riaux
Pour surprenant et divertissant qu'il soit de prime abord, "Yomeddine" se révèle finalement bien inoffensif et satisfait des horreurs qu'il décrit.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Inégal, "Yomeddine" manque de corps, mais reste un joli film au message positif.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Naïf mais profondément humaniste.
Ouest France
par La Rédaction
Un road-trip sensible.
Paris Match
par Yannick Vely
"Yomeddine" doit beaucoup au charisme de son acteur principal Rady Gamal dont le regard empli de dignité ne vous lâchera pas.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Stéphane Goudet
S'il n'évite pas tous les pièges du bon sentiment et du consentement à l'ordre établi (cinématographique et politique), son humanisme et ses interprètes principaux emportent l'adhésion.
Première
par Christophe Narbonne
Un film simple (pas simpliste) et tendre, qui fuit le misérabilisme pour s’attacher à l’humain, rien que l’humain.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un énième feel-good movie sur route qui surprend, sans tomber, a priori, dans le piège du misérabilisme moralisateur. Mais en approfondissant l’approche de l’auteur, il n’est pas impossible de trouver sa naïveté quelque peu troublante...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Une proposition lacrymale incarnée certes, mais sans déviance aucune.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Quelques jolies scènes (les retrouvailles avec le père), d'autres embarrassantes (le clin d'œil à "Elephant Man") et une morale fataliste sur le sort des éclopés sont comme lissées par une mise en scène insipide et une musique envahissante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un road movie attachant malgré les clichés et un déluge de bons sentiments.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Cette production aux héros hors norme est alourdie par un discours conformiste.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Abu Bakr Shawky signe un road movie poétique mais inégal, qui ne parvient pas à soutenir son ambition de critique sociale.
Télérama
par Louis Guichard
Parfois, une belle idée de mise en scène surgit, comme lorsque l’enfant bricole, avec des déchets, un étrange chapeau à voilette, permettant à son compagnon de faire moins peur aux autres et de devenir, enfin, celui qui observe. Le reste du temps, le cinéaste se repose, non sans raison, sur la compassion et l’empathie suscitées par son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
"(...) ce rire, poussif et artificiel, fige littéralement les figures dans un folklore, celui de "l’humanité" et des marginaux qui, peu gâtés par la vie, nous donnent une leçon d’abnégation et de courage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si l’on se met à penser à "Elephant Man" (1980) et à "Une histoire vraie" (1999) de Lynch, au "Kid" de Chaplin ou au "Freaks" de Browning, c’est plus pour tromper l’ennui devant un film vide que pour en arrimer le débordement à des berges connues.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Express
[...] ce qu'il y a de formidable dans "Yomeddine", c'est cette envie de montrer une Egypte inédite, loin des clichés cairotes ou touristiques (la seule pyramide qu'on voit, authentique, est inconnue et abandonnée de tous), de transmettre des valeurs fondamentales (comme, bien sûr, le droit à la différence), avec une farouche volonté de divertir.
CNews
Premier film du réalisateur Abu Bakr Shawky, ce drame teinté de poésie suit le voyage d'un lépreux et d'un orphelin, à la recherche de leurs racines.
La Croix
Plaidoyer pour la compassion et la générosité, mélodrame, critique sociale et comédie, Yomeddine comporte aussi des moments de grâce, d’entraide, de franche rigolade avec ces déshérités méprisés, des scènes oniriques où Beshay demeure hanté par sa famille qu’il n’a pas vue depuis quarante ans.
Le Figaro
Une œuvre simple et tenace comme ses personnages.
Le Parisien
Un film touchant, entre road-movie et fable initiatique.
Le Point
Un beau conte qui se dévoile au fil des routes égyptiennes, sans s'apitoyer sur le sort des lépreux et des Égyptiens en général.
Ecran Large
Pour surprenant et divertissant qu'il soit de prime abord, "Yomeddine" se révèle finalement bien inoffensif et satisfait des horreurs qu'il décrit.
Franceinfo Culture
Inégal, "Yomeddine" manque de corps, mais reste un joli film au message positif.
La Voix du Nord
Naïf mais profondément humaniste.
Ouest France
Un road-trip sensible.
Paris Match
"Yomeddine" doit beaucoup au charisme de son acteur principal Rady Gamal dont le regard empli de dignité ne vous lâchera pas.
Positif
S'il n'évite pas tous les pièges du bon sentiment et du consentement à l'ordre établi (cinématographique et politique), son humanisme et ses interprètes principaux emportent l'adhésion.
Première
Un film simple (pas simpliste) et tendre, qui fuit le misérabilisme pour s’attacher à l’humain, rien que l’humain.
aVoir-aLire.com
Un énième feel-good movie sur route qui surprend, sans tomber, a priori, dans le piège du misérabilisme moralisateur. Mais en approfondissant l’approche de l’auteur, il n’est pas impossible de trouver sa naïveté quelque peu troublante...
Cahiers du Cinéma
Une proposition lacrymale incarnée certes, mais sans déviance aucune.
L'Obs
Quelques jolies scènes (les retrouvailles avec le père), d'autres embarrassantes (le clin d'œil à "Elephant Man") et une morale fataliste sur le sort des éclopés sont comme lissées par une mise en scène insipide et une musique envahissante.
Le Journal du Dimanche
Un road movie attachant malgré les clichés et un déluge de bons sentiments.
Le Monde
Cette production aux héros hors norme est alourdie par un discours conformiste.
Les Fiches du Cinéma
Abu Bakr Shawky signe un road movie poétique mais inégal, qui ne parvient pas à soutenir son ambition de critique sociale.
Télérama
Parfois, une belle idée de mise en scène surgit, comme lorsque l’enfant bricole, avec des déchets, un étrange chapeau à voilette, permettant à son compagnon de faire moins peur aux autres et de devenir, enfin, celui qui observe. Le reste du temps, le cinéaste se repose, non sans raison, sur la compassion et l’empathie suscitées par son personnage.
Critikat.com
"(...) ce rire, poussif et artificiel, fige littéralement les figures dans un folklore, celui de "l’humanité" et des marginaux qui, peu gâtés par la vie, nous donnent une leçon d’abnégation et de courage.
Les Inrockuptibles
Si l’on se met à penser à "Elephant Man" (1980) et à "Une histoire vraie" (1999) de Lynch, au "Kid" de Chaplin ou au "Freaks" de Browning, c’est plus pour tromper l’ennui devant un film vide que pour en arrimer le débordement à des berges connues.