Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Drôle, incisif, parfois cruel, et toujours juste.
Ouest France
par Nina Di Battista
Certains épisodes sont hilarants, d'autres traînent plus en longueur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Et si les histoires que chacun raconte sont toutes différentes, un même esprit les réunit : un humour grinçant, simplement rigolard parfois, franchement noir plus souvent, et où l’on retrouve pêle-mêle l’esprit chansonnier, la blague potache, la grosse plaisanterie. La charge satirique en reste le point fort et récurrent.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le ton de la farce qui domine "Salauds de pauvres" flirte parfois avec un non-sens très britannique, dans ce pamphlet sur la pauvreté qui ne plaira pas à tout le monde.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un film collectif qui manie intelligemment humour noir et provocation, mais à la qualité de sketchs inégale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par A.V.
Une satire féroce autour de la misère et de la lâcheté.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bien qu’inégal et malgré les intermèdes très dispensables de François Rollin entre les histoires, l’ensemble se révèle plutôt distrayant.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’ensemble, dont les recettes iront au Secours populaire, se caractérise par une veine grotesque, insolente et un rien graveleuse qui n’est pas sans évoquer l’influence lointaine du dessinateur Reiser.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
L'ensemble trouverait mieux, de toute évidence, sa place au théâtre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Christophe Narbonne
Le décalage et la méchanceté sont au programme de ce projet – monté par un producteur qui, ayant connu la précarité, préfère en rire qu’en pleurer. On en retient 115 Bonsoir de GiedRé (portrait amer de la solitude et de la maladie mentale des SDF) et Le Cadeau de Charles Dubois(peinture féroce de la lutte des classes).
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Absence de dimension politique, forte précarité de la mise en scène, bref un programme pour rien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La Rédaction
Mais ce long métrage, bâti sur de louables intentions, rate pour le moins sa cible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Sud Ouest
par Sophie Avon
(...) le producteur Frédéric Marboeuf a tenu à rassembler des auteurs qui n’aient pas leur langue ni leur caméra dans la poche. Le résultat dépasse ses espérances tant le niveau de cinéma laisse à désirer.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jérémie Couston
Caricatural, mal écrit, mal joué et à peine drôle : ce pénible effort du monde du spectacle pour attirer l’attention sur une juste cause met mal à l’aise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
Drôle, incisif, parfois cruel, et toujours juste.
Ouest France
Certains épisodes sont hilarants, d'autres traînent plus en longueur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Et si les histoires que chacun raconte sont toutes différentes, un même esprit les réunit : un humour grinçant, simplement rigolard parfois, franchement noir plus souvent, et où l’on retrouve pêle-mêle l’esprit chansonnier, la blague potache, la grosse plaisanterie. La charge satirique en reste le point fort et récurrent.
Franceinfo Culture
Le ton de la farce qui domine "Salauds de pauvres" flirte parfois avec un non-sens très britannique, dans ce pamphlet sur la pauvreté qui ne plaira pas à tout le monde.
Les Fiches du Cinéma
Un film collectif qui manie intelligemment humour noir et provocation, mais à la qualité de sketchs inégale.
Voici
Une satire féroce autour de la misère et de la lâcheté.
Le Journal du Dimanche
Bien qu’inégal et malgré les intermèdes très dispensables de François Rollin entre les histoires, l’ensemble se révèle plutôt distrayant.
Le Monde
L’ensemble, dont les recettes iront au Secours populaire, se caractérise par une veine grotesque, insolente et un rien graveleuse qui n’est pas sans évoquer l’influence lointaine du dessinateur Reiser.
Le Parisien
L'ensemble trouverait mieux, de toute évidence, sa place au théâtre.
Première
Le décalage et la méchanceté sont au programme de ce projet – monté par un producteur qui, ayant connu la précarité, préfère en rire qu’en pleurer. On en retient 115 Bonsoir de GiedRé (portrait amer de la solitude et de la maladie mentale des SDF) et Le Cadeau de Charles Dubois(peinture féroce de la lutte des classes).
L'Obs
Absence de dimension politique, forte précarité de la mise en scène, bref un programme pour rien.
La Croix
Mais ce long métrage, bâti sur de louables intentions, rate pour le moins sa cible.
Sud Ouest
(...) le producteur Frédéric Marboeuf a tenu à rassembler des auteurs qui n’aient pas leur langue ni leur caméra dans la poche. Le résultat dépasse ses espérances tant le niveau de cinéma laisse à désirer.
Télérama
Caricatural, mal écrit, mal joué et à peine drôle : ce pénible effort du monde du spectacle pour attirer l’attention sur une juste cause met mal à l’aise.