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    Voyagers
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    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    39 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2021
    Le film commence très bien avec une vraie ambiance, un très bon casting et une vraie envie de savoir ce qui va se passer. Malheureusement le film ne délivre pas, s'engluant dans un scénario de mise en abyme qui se veut profond mais qui ne dépasse jamais le très basique et le sans grand intérêt. Dommage.
    Marina Lima Roda
    Marina Lima Roda

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juin 2021
    Je n'ai pas du tout trouvé le film ennuyant il est intéressement au contraire. Je ne m'attendais pas à cette fin. Super
    Corentin Hubert
    Corentin Hubert

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mai 2021
    Bof, tout ça pour ça.. Beaucoup de suspens mais particulièrement décevant, néanmoins bons acteurs !!
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    611 abonnés 2 799 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2021
    L’intérêt que présente de prime abord Voyagers, à savoir la mise en place d’un mystère relatif au vaisseau et à son fonctionnement, doublé d’un équipage aliéné qui se délivre progressivement de sa léthargie, s’estompe à mesure que le réalisateur schématise son scénario et porte sur ses personnages un regard similaire à celui d’un laborantin sur ses boîtes de Pétri. Neil Burger ne peut s’empêcher d’appliquer une anthropologie fanée et stérile comme il le faisait dans Divergente (2014), divisant à terme ses adolescents en deux clans définis par un leader. Et si Divergente réussissait à divertir, grâce à ses séquences d’action et sa bande originale signée Junkie XL, il n’en est rien ici : sa mise en scène épouse la froideur clinique de l’expérience ici représentée et s’avère incapable de la moindre audace quand il s’agit de montrer le désir à l’œuvre. Voilà un long métrage prude qui ne dit rien, ou alors si peu, de la nature humaine et des relations entre les êtres. Des problèmes de rythme et un montage charcutier empêchent l’immersion d’un spectateur qui ne peut même pas compter sur les acteurs pour s’identifier ou trouver en eux des vecteurs émotionnels. Un film plus que dispensable.
    Jorik V
    Jorik V

    1 225 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2021
    Ce film de science-fiction réaliste pourrait être un cas d’école de ce que la crise actuelle et inédite a fait subir aux sorties cinéma depuis bientôt un an et demi. « Voyagers » devait sortir l’automne passé, a été annulé puis reprogrammé à la lumière d’une hypothétique sortie de crise au printemps. Résultat, il est sorti aux États-Unis peu de temps après la réouverture des salles sans trouver son public avec un bide retentissant (moins de 5 millions de dollars de recettes), a été privé de sortie au Québec et se voit gratifié d’une minuscule sortie technique en France avec seulement quatre salles le projetant dont même pas une seule à Paris. On pensait que le destin de « La femme à la fenêtre » débarqué sur Netflix était sacrifié et qu’on ne pouvait pas faire pire mais cette production au budget relativement conséquent fait encore pire. En effet, s’il avait été racheté par Netflix ou Amazon, il aurait certainement bénéficié d’une plus grande visibilité car il est loin d’être honteux. C’est un peu une sorte de transfert dans l’espace du culte « Sa Majesté des mouches » mêlé à un « Battle Royale » en mode anticipation et surtout plus sage.



    Le script part d’un postulat contextuel usé jusqu’à la corde : la Terre se meurt pour différentes raisons et les humains tentent de trouver et coloniser une nouvelle planète pour sauver leur espèce. On l’a vu récemment avec la magistral « Oxygène » mais aussi avec toute une palanquée de films de science-fiction américains plus ou moins récent comme « Passengers », avec qui celui-ci développe pas mal de similitudes. Mais, une fois cela posé, « Voyagers » prend une tout autre direction. En enfermant trente jeunes adultes dans un vaisseau spatial pour repeupler une planète lointaine, le long-métrage de Neil Burger se mue en tout autre chose. La mort de leur commandant va scinder le groupe en deux et créer des tensions de plus en plus grandes. Entre thriller, film de survie en milieu hostile et science-fiction psychologique, le scénario est plutôt original et prenant. On le trouve peut-être un peu long à démarrer mais la seconde partie ne manque pas d’action et de panache pour nous distraire et s’avère captivante et sous tension.



    Cependant, « Voyagers » développe pas mal de lacunes, notamment dans la caractérisation de ses personnages, tous un peu trop binaires. Les trois principaux sont certes un peu plus travaillés. A ce titre, Fionn Whitehead tire son épingle du jeu en méchant : il agace et fait vraiment peur. Tye Sheridan et Lily-Rose Depp semblent plus fades et effacés. De la même manière il ne faut pas chercher le grand film de science-fiction à thèse ou le grand spectacle qui en met plein la vue, le film se positionnant plutôt comme une série B de luxe faute de budget. En effet, c’est certainement le manque de moyens qui reste le plus gros défaut du film. Les effets spéciaux sont réussis mais rares et on a l’impression que le film a été tourné dans trois décors uniques dont ces longs et sempiternels couloirs blancs. Cette carence de budget se ressent et ne donne pas l’ampleur nécessaire pour que ce soit une œuvre mémorable du genre. Néanmoins, « Voyagers » est un petit film de science-fiction pas déplaisant et assez original.



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    RedArrow
    RedArrow

    1 572 abonnés 1 505 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 mai 2021
    Comme à son habitude, l'humanité a conduit une nouvelle fois la Terre au bord de son extinction. Mais, pas de panique, une planète a été repérée dans une lointaine galaxie pour assurer la survie de notre espèce et, accessoirement, répéter les mêmes erreurs. Seul hic, il faudra un voyage de 86 ans pour atteindre les lieux !
    Grâce au matériel génétique des esprits les plus brillants de la Terre, trente enfants sont créés en laboratoire et élevés loin de toute interaction avec la vie humaine dans le seul but de les conditionner au mieux à ce long périple. Car ce ne seront pas eux, ni même leur propre progéniture qui auront la chance de gambader sur la nouvelle planète mais uniquement leurs petits-enfants.
    Sous la surveillance d'un adulte chargé de les assister, la première génération décolle donc vers l'inconnu des cieux. Plusieurs années après, certains d'entre eux réalisent que leurs émotions sont étouffées par l'ingestion d'un médicament...

    Sur le papier, "Voyagers" a des prétentions de SF plutôt honorables en voulant littéralement incarner dans son postulat le ressenti d'une génération actuelle qui peut se voir comme sacrifiée par le comportement irresponsable des anciennes, bridée par des motivations artificielles pour empêcher l'éveil d'une véritable conscience collective ou, plus généralement, sans grande illusion face à un avenir incertain. Même si l'approche n'est pas nouvelle, le film de Neil Burger trouve du sens en captant ce qui justifie le pessimisme ambiant de cette jeunesse afin de le transposer à la condition de cette génération "no future" d'astronautes n'existant que pour passer le relais à la prochaine. De plus, il y a également quelque chose d'assez malicieux dans le choix d'avoir pris Colin Farrell, ancien enfant terrible d'Hollywood, pour jouer la figure mature et tutélaire chargée de s'assurer que ce jeune équipage reste sur le chemin de la conformité voulue par les adultes...

    Hélas, passé cela, "Voyagers" se met à dérailler au moins autant que l'on a envie de délivrer des paires de baffes à tous ses personnages peu à peu "éclairés". Évidemment, on peut comprendre que ces adolescents élevés loin de la société humaine succombent à l'éveil soudain de leurs phéromones mais de là à les transformer subitement en une espèce de bande d'idiots néandertaliens en roue libre...
    Avec une vision totalement dépassée de l'âge ingrat, "Voyagers" se met en effet à réduire la quasi-totalité de ses protagonistes à la caricature des bas-instincts de cet âge : le désir sexuel devient ainsi synonyme des attitudes les plus déviantes, l'oisiveté et le plaisir immédiat surpassent toute notion d'effort ou même parfois de survie (!), les frustrations les plus futiles engendrent une soif de pouvoir prête à toutes les énormités pour être satisfaite, ... Quelques exceptions vont bien sûr subsister pour établir un camp de héros face à une telle absurdité de comportements mais, bon sang, pour des jeunes présentés comme issus du génie terrien et élevés de façon à faire fructifier leurs intellects, la transformation apparaît si radicale que l'on en vient à penser que leur sacrifice était finalement une donnée assez raisonnable (pas sûr que c'était l'intention du film au départ).

    L'ambition affichée de "Voyagers" était bien entendu d'offrir une relecture façon SF de "Sa Majesté des Mouches" (on retrouve même l'idée d'une force supérieure comme instrument de la peur lié à l'autorité) mais tout ce qui faisait le sel de l'expérience de société primaire du livre de William Golding s'articule ici autour de ressorts si fatigués qu'ils font office de lampadaires sommaires pour forcer ces petits moucherons d'ados à y virevolter en permanence de façon paranoïaque.
    Et, si, au-delà de l'échec global de la proposition sur le fond, vous espériez que l'agitation de ces personnages irritants débouchent au moins sur des moments de grand spectacle SF, le manque d'inventivité de Neil Burger au niveau des péripéties spatiales ne risque pas d'arranger les choses ! Faute d'idées neuves, le bonhomme ira même jusqu'à conférer l'équivalent de la résistance d'une reine Alien à un adolescent dans le but de gonfler artificiellement l'action d'un final aussi atone que le reste.

    Entre une redite terriblement vaine de "Sa Majesté des Mouches" et le caractère hautement prévisible de son déroulement, "Voyagers" représente surtout le parfait moyen masochiste de vous immerger en vase-clos dans la vision la plus rance que l'on peut avoir des pires côtés de l'adolescence. Et, croyez-nous, l'humanité ne donne pas envie qu'on lui laisse une nouvelle chance après un coup pareil...
    Dom p.
    Dom p.

    2 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 mai 2021
    Attention ennui MORTEL! Il ne se passe rien. C’est long, long, long. Sans intérêt donc. L’idée de départ n’était pas mauvaise. Dommage.
    Vador Mir
    Vador Mir

    235 abonnés 722 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 avril 2021
    On s'ennuie un peu alors qu'il y avait vraiment matière à faire un bon film. On a un bon réalisateur, des acteurs corrects, à l'exception de Lily Rose Depp qui est moyenne voire parfois insipide. Il manque quelque chose. Du budget peut-être. Pas particulièrement enthousiasmant.
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