Mon compte
    Et j'aime à la fureur
    Note moyenne
    4,2
    10 titres de presse
    • Libération
    • Ouest France
    • Positif
    • L'Obs
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Première
    • Télérama
    • Sud Ouest

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    10 critiques presse

    Libération

    par Clémentine Mercier

    A travers ce kaléidoscope familier, ressort la conviction que la pellicule, organe sensible, enregistre sur les films amateurs plus que le réel : elle capte le désir, les gestes tendres, la joie et les rêves. Ces petites choses qui n’ont l’air de rien et sont pourtant l’essence de la vie.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Ouest France

    par Thierry Chèze

    Trente ans après C'est arrivé près de chez vous, Bonzel signe un retour aussi espiègle que bouleversant, accompagné d'une BO d'exception composée par Benjamin Biolay.

    Positif

    par Lætitia Mikles

    En exhibant les films tournés dans l’intimité d’une chambre à coucher, en rendant à la vie l’empreinte éphémère des jours heureux, le cinéaste travaille l’air de rien la mémoire qui fout le camp, la cruauté d’un destin contrarié, et l’amour toujours l’amour.

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Autoportrait à travers les vies des autres d’un enfant du XXe siècle et des frères Lumière, cabinet de curiosités d’un voyeur généreux, « Et j’aime à la fureur », mis en musique avec malice par Benjamin Biolay, déborde d’amour pour le cinéma, ce mensonge qui dit vrai vingt-quatre fois par seconde.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Journal du Dimanche

    par Baptiste Thion

    Un documentaire aussi original que touchant

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    La matière filmique – ruban anonyme de vues tour à tour tendres, lyriques, cocasses, grivoises – se fait ici ouverture sur le monde, invitation au partage de la vie, incitation à suppléer imaginairement au destin de ces gens qui ne nous sont rien, sinon nos plus proches semblables par le simple fait d’être filmés.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Florent Boutet

    Des bobines de films comme lien familial, dans un amour du cinéma artisanal, c’est toute la matière utilisée par André Bonzel dans son film. Cette histoire intime touche à l’universel en narrant ce point familier, celui des amours et des destins contrariés.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Première

    par Thierry Chèze

    Puissamment intime, Et j’aime à la fureur ne place cependant jamais le spectateur en position de voyeur. Il l’invite dans ce tourbillon d’émotions fortes où fous rires et larmes se succèdent, accompagné par la BO d’une richesse époustouflante de Benjamin Biolay.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télérama

    par Marie-Hélène Soenen

    Ce long métrage, son premier depuis C’est arrivé près de chez vous en 1992, est le geste émouvant d’un éternel enfant fasciné par les images d’inconnus, sur lesquelles il projette ses propres rêveries, angoisses et fantasmes.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Émouvant, foutraque parfois, mais attachant et original, voici le portrait d’un cinéaste de 60 ans. Un acte de fureur, peut-être, d’amour sans aucun doute.

    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top