Né à Jérusalem (et toujours vivant) : Critique presse
Né à Jérusalem (et toujours vivant)
Note moyenne
3,3
15 titres de presse
Positif
Cahiers du Cinéma
Femme Actuelle
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Libération
La Croix
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Paris Match
Première
Télérama
L'Obs
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Eithne O'Neill
Voici un petit bijou, petit en apparence seulement. Profitez-en !
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
On peut regretter que Né à Jérusalem n’explore pas plus avant les possibilités réellement abrasives d’une telle idée. Il faut accepter que le film se joue finalement ailleurs, précisément dans cette dissémination qui prend des allures de flânerie mélancolique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
On aime ce subtil mélange de saveurs, tantôt poignant, tantôt tendre et cocasse, par petites touches.
Le Parisien
par Marine Quinchon
Une chronique délicate sur les traumatismes du conflit israélo-palestinien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Yossi Attia signe un premier film sensible, s’emparant avec justesse d’un sujet compliqué en s’appuyant sur des personnages charmants.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
C’est ainsi que "Né à Jérusalem" devient vite, à travers l’autoportrait de l’auteur-guide et le portrait du spectateur-touriste (ému et non concerné), un petit croquis de l’individualisme israélien et planétaire, de sa fatalité, de son ridicule parfois attendrissant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Étonnant sosie d’un Patrick Bruel jeune et replet, Yossi Atia se met en scène dans ce film où humour et mélancolie font bon ménage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Nathalie Simon
Ce premier long-métrage pour Yossi Atia (David Ofek en a déjà coréalisé deux) a bien des airs de documentaire. Et valeur de témoignage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[...] cette comédie noire reposant sur une idée aussi brillante qu'osée sourit des traumatismes d'une génération, qu'incarne son touchant antihéros mû par des motivations mémorielles et thérapeutiques. Elle peine à tenir sur la longueur, tentant de trouver un second souffle dans une romance à laquelle on a plus de mal à s'intéresser.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ainsi le film trouve-t-il une place originale au sein d’une jeune scène israélienne (Hadas Ben Aroya, Nadav Lapid) pour laquelle le champ intime est encore le meilleur biais pour évoquer par la bande des sujets politiques brûlants.
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario manque un peu de consistance et la mise en scène de rythme, l'anti-héros nous touche par son parcours personnel, entre résilience et tourments de l'âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sophie Benamon
Film sur la résilience, Né à Jérusalem dessine le portrait touchant d’un jeune homme d’aujourd’hui - il pourrait d’ailleurs être français- dont les souvenirs d’enfance et d’adolescence s’enchevêtrent avec des actes meurtriers.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Attachant et, parfois, touchant, Né à Jérusalem (et toujours vivant) peine toutefois à tenir la distance du long métrage. Et à assumer la dimension politique provocatrice de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
De cette idée, révélatrice de la psyché israélienne, Yossi Atia et David Ofek auraient dû se contenter de tirer un sketch plutôt que ce long-métrage écrit et filmé à la va-comme-je-te-pousse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une comédie douce amère. Derrière une sorte de désinvolture narrative, le film parle de l’intérieur du drame des attentats qui secouent Israël. Hélas, le propos manque peut-être un peu de consistance pour retenir totalement l’attention de son spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
Voici un petit bijou, petit en apparence seulement. Profitez-en !
Cahiers du Cinéma
On peut regretter que Né à Jérusalem n’explore pas plus avant les possibilités réellement abrasives d’une telle idée. Il faut accepter que le film se joue finalement ailleurs, précisément dans cette dissémination qui prend des allures de flânerie mélancolique.
Femme Actuelle
On aime ce subtil mélange de saveurs, tantôt poignant, tantôt tendre et cocasse, par petites touches.
Le Parisien
Une chronique délicate sur les traumatismes du conflit israélo-palestinien.
Les Fiches du Cinéma
Yossi Attia signe un premier film sensible, s’emparant avec justesse d’un sujet compliqué en s’appuyant sur des personnages charmants.
Libération
C’est ainsi que "Né à Jérusalem" devient vite, à travers l’autoportrait de l’auteur-guide et le portrait du spectateur-touriste (ému et non concerné), un petit croquis de l’individualisme israélien et planétaire, de sa fatalité, de son ridicule parfois attendrissant.
La Croix
Étonnant sosie d’un Patrick Bruel jeune et replet, Yossi Atia se met en scène dans ce film où humour et mélancolie font bon ménage.
Le Figaro
Ce premier long-métrage pour Yossi Atia (David Ofek en a déjà coréalisé deux) a bien des airs de documentaire. Et valeur de témoignage.
Le Journal du Dimanche
[...] cette comédie noire reposant sur une idée aussi brillante qu'osée sourit des traumatismes d'une génération, qu'incarne son touchant antihéros mû par des motivations mémorielles et thérapeutiques. Elle peine à tenir sur la longueur, tentant de trouver un second souffle dans une romance à laquelle on a plus de mal à s'intéresser.
Le Monde
Ainsi le film trouve-t-il une place originale au sein d’une jeune scène israélienne (Hadas Ben Aroya, Nadav Lapid) pour laquelle le champ intime est encore le meilleur biais pour évoquer par la bande des sujets politiques brûlants.
Paris Match
Si le scénario manque un peu de consistance et la mise en scène de rythme, l'anti-héros nous touche par son parcours personnel, entre résilience et tourments de l'âge adulte.
Première
Film sur la résilience, Né à Jérusalem dessine le portrait touchant d’un jeune homme d’aujourd’hui - il pourrait d’ailleurs être français- dont les souvenirs d’enfance et d’adolescence s’enchevêtrent avec des actes meurtriers.
Télérama
Attachant et, parfois, touchant, Né à Jérusalem (et toujours vivant) peine toutefois à tenir la distance du long métrage. Et à assumer la dimension politique provocatrice de son sujet.
L'Obs
De cette idée, révélatrice de la psyché israélienne, Yossi Atia et David Ofek auraient dû se contenter de tirer un sketch plutôt que ce long-métrage écrit et filmé à la va-comme-je-te-pousse.
aVoir-aLire.com
Une comédie douce amère. Derrière une sorte de désinvolture narrative, le film parle de l’intérieur du drame des attentats qui secouent Israël. Hélas, le propos manque peut-être un peu de consistance pour retenir totalement l’attention de son spectateur.