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    The Power of the Dog
    Note moyenne
    3,9
    18 titres de presse
    • Bande à part
    • CinemaTeaser
    • Culturopoing.com
    • Les Echos
    • Libération
    • Positif
    • Ecran Large
    • Elle
    • L'Obs
    • Le Parisien
    • Le Point
    • Les Inrockuptibles
    • Marianne
    • Cahiers du Cinéma
    • Première
    • Télé 7 Jours
    • Critikat.com
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    18 critiques presse

    Bande à part

    par Mary Noelle Dana

    L’art de l’amour, l’origine de la violence et la science de la vengeance, chez l’humain, réunis dans le nouveau film inouï de Jane Campion, n’ont qu’un seul but : révéler les forces et, surtout, les faiblesses de l’homme. Avec une minuscule.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    CinemaTeaser

    par Emmanuelle Spadacenta

    La maîtrise du cinéma est absolument totale.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Culturopoing.com

    par Jean-François Dickeli & Vincent Nicolet

    Un film fascinant, complexe et exigeant, une œuvre dense et parfaitement maîtrisée, signant le retour en grâce d’une réalisatrice plus que jamais à part dans l’histoire du cinéma contemporain, renouant magistralement avec la veine la plus ambitieuse de sa carrière.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Les Echos

    par Adrien Gombeaud

    La réalisatrice de « La Leçon de piano » revisite le western à sa façon à travers une histoire d'obsession et de mort… « The Power of the Dog » est à la fois un drame claustrophobique et un grand spectacle.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Libération

    par Sandra Onana

    Ce western tout en oscillations, tremblements sublimes et sensualité sourde est l’un des plus beaux films offerts par cette fin d’année.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Positif

    par Adrien Gombeaud

    Cette fable cruelle, sidérante de beauté et de sensibilité, remet en question la masculinité et la virilité traditionnelle à travers l’interprétation puissante de Benedict Cumberbatch.

    Ecran Large

    par Geoffrey Crété

    Jane Campion autopsie le masculin dans un faux western et vrai puzzle ténébreux, qui ne révèle son monstrueux visage qu'à mesure que l'horreur se referme sur le magnétique Benedict Cumberbatch.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    Elle

    par Françoise Delbecq

    Un beau western.

    L'Obs

    par Sophie Grassin

    Cette élégie superbe, à la fois machiavélique et délétère, prend le temps qu’il faut pour nous mener sur la piste de pulsions homoérotiques refoulées, mais pas que…

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Parisien

    par Renaud Baronian

    Éblouissant et interprété de façon sidérante par Benedict Cumberbatch, « The Power of the Dog » révèle, une fois de plus, l’étendue du talent de Jane Campion (...).

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Le Point

    par Victoria Gairin

    Derrière ce western flamboyant, on se laisse surprendre par la poétique autopsie de l'âme humaine. Et l'on en ressort subjugué.

    Les Inrockuptibles

    par Bruno Deruisseau

    Le Pouvoir du chien ne raconte rien d’autre que la façon dont deux personnages en apparence fermés l’un à l’autre vont progressivement s’ouvrir, accepter d’être bouleversés par l’expérience de l’autre et s’apprivoiser, dans une dynamique mêlant érotisme et mutation du désir de domination en une forme d’amour refoulé.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Marianne

    par Olivier De Bruyn

    Dans The Power of the Dog, Jane Campion dynamite les codes du western et, comme dans ses meilleurs films antérieurs (La leçon de piano, Portrait de femme, In the Cut), met en scène avec une inspiration constante les ambiguïtés féroces d’un personnage et ses troubles identitaires et sexuels.

    La critique complète est disponible sur le site Marianne

    Cahiers du Cinéma

    par Olivia Cooper-Hadjian

    De façon beaucoup moins aboutie et moins fine que Kelly Reichardt dans First Cow ou La Dernière Piste, Campion lie la colonisation d’un territoire à des rapports de genre. Flamant rose égaré dans le monde des garçons vachers, Pete réveille chez Phil des pulsions enfouies et finit de remettre en cause le virilisme ambiant.

    Première

    par Pierre Lunn

    Ce n’était pas évident au départ, mais ce drôle de western revisite bien les grands thèmes qui innervent sa filmo - l'adolescence meurtrie, la monstruosité, le regard des autres.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télé 7 Jours

    par Laurent Djian

    Esthétiquement sublime, un film étonnant, puissant, même si les non-dits assèchent un peu l'émotion.

    Critikat.com

    par Sylvain Blandy

    Le plus gros du long-métrage n’échappe pas à la pesanteur du huis-clos familial, alternant les épisodes sadiques et quelques instants de tendresse ou de volupté à l’imagerie finalement assez pauvre.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Le Monde

    par Clarisse Fabre

    Un drame calibré et sans surprise sur une masculinité toxique.

    Les meilleurs films de tous les temps
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