Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Là se trouve la [...] très belle idée des frères d’Innocenzo : faire des enfants ceux qui, dans le même temps, observent, subissent et tentent d’envisager un moyen d’enrayer le fonctionnement vicié de leur lieu de fausse vie, aussi apocalyptique soit-il.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un film terrible et splendide.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Figaro
par Etienne Sorin
Storia di vacanze fait partie des dizaines de films que le Covid a mis sous l'éteignoir. Il a reçu en 2020 l'Ours d'argent du meilleur scénario à la Berlinale, récompense étrange parce que c'est plutôt la mise en scène de Fabio et Damiano D'Innocenzo qui donne son intérêt à cette chronique d'une banlieue pavillonnaire de Rome.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un conte morbide et décalé sur la classe moyenne.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Dans Storia di vacanze, les faits divers prennent la forme d’un conte : il en résulte un film repoussant et captivant à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Une fable morbide, dérangeante mais jamais condescendante ou misérabiliste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Ce curieux film, maîtrisé dans sa mise en scène mais complaisant dans sa noirceur, s’intéresse au mal qui germe à bas bruit dans la banalité et la tristesse névrotique du monde adulte, pour se transmettre tel un virus. Attention, soleil trompeur !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Héritiers sans humour de Todd Solondz, les frères D’Innocenzo ont une patte qui griffe moins qu’elle ne s’use vite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce film choral, voyeur et cruel, dénonce les violences domestiques et la perte de l'innocence mais pêche par sa narration décousue et elliptique, sa mise en scène à distance et son rythme lent si bien qu'on n'éprouve aucune empathie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Si Storia di Vacanze exprime un fort ressentiment à l'égard de la cellule familiale, c'est aussi une énième parodie de la classe moyenne qui souligne à gros trait les petites et grandes lâchetés de notre mode de vie.
Culturopoing.com
Là se trouve la [...] très belle idée des frères d’Innocenzo : faire des enfants ceux qui, dans le même temps, observent, subissent et tentent d’envisager un moyen d’enrayer le fonctionnement vicié de leur lieu de fausse vie, aussi apocalyptique soit-il.
Sud Ouest
Un film terrible et splendide.
Le Figaro
Storia di vacanze fait partie des dizaines de films que le Covid a mis sous l'éteignoir. Il a reçu en 2020 l'Ours d'argent du meilleur scénario à la Berlinale, récompense étrange parce que c'est plutôt la mise en scène de Fabio et Damiano D'Innocenzo qui donne son intérêt à cette chronique d'une banlieue pavillonnaire de Rome.
Le Monde
Un conte morbide et décalé sur la classe moyenne.
Les Fiches du Cinéma
Dans Storia di vacanze, les faits divers prennent la forme d’un conte : il en résulte un film repoussant et captivant à la fois.
Première
Une fable morbide, dérangeante mais jamais condescendante ou misérabiliste.
Télérama
Ce curieux film, maîtrisé dans sa mise en scène mais complaisant dans sa noirceur, s’intéresse au mal qui germe à bas bruit dans la banalité et la tristesse névrotique du monde adulte, pour se transmettre tel un virus. Attention, soleil trompeur !
L'Obs
Héritiers sans humour de Todd Solondz, les frères D’Innocenzo ont une patte qui griffe moins qu’elle ne s’use vite.
Le Journal du Dimanche
Ce film choral, voyeur et cruel, dénonce les violences domestiques et la perte de l'innocence mais pêche par sa narration décousue et elliptique, sa mise en scène à distance et son rythme lent si bien qu'on n'éprouve aucune empathie.
Cahiers du Cinéma
Si Storia di Vacanze exprime un fort ressentiment à l'égard de la cellule familiale, c'est aussi une énième parodie de la classe moyenne qui souligne à gros trait les petites et grandes lâchetés de notre mode de vie.