Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
LCI
par La Rédaction
Et si certains personnages comme le couple Samuel-Agathe manquent de consistance, décalque faiblarde des héros de la sitcom Scènes de ménage, la satire gagne en épaisseur dans sa dernière partie lorsqu’elle prend une tournure dramatique inédite dans la filmographie du papa de Bienvenue les Ch’tis.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On rit, mais on sourit aussi beaucoup dans cette expérience gentiment cathartique (ça va parler à tout le monde) qui ne se résume pas à une farce. L’humain d’abord. Le coronavirus s’est révélé douloureux pour de nombreux concitoyens, 8, rue de l’Humanité en prend acte. Il n’est même pas exclu que certains spectateurs versent une petite larme.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Sud Ouest
par Fabien Jan
Ceux qui n'aiment pas, comme on a la droit ne ne pas s'esclaffer devant les grimaçces mille foisvues d'un de Funès, peuvent passer leur chemin. Les autres s'amuseront, surpris d'avoir si vite oublié ce que fut la vie sous éteignoir.
Ecran Large
par Simon Riaux
L'objet que dépose devant nos yeux Dany Boon est dédié "à celles et ceux qui ont souffert". Gageons qu'ils seront encore un peu plus nombreux après son visionnage.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le nouveau film du comédien et réalisateur, une farce qui évoque les conséquences de la pandémie sur une petite copropriété, s’avère tellement maladroit qu’il provoque la gêne plutôt que le rire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans ce film confiné sur la crise sanitaire, l’humoriste se contente du moindre effort, en roi fainéant de la comédie. On aurait préféré qu’il sorte de sa zone de confort.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
LCI
Et si certains personnages comme le couple Samuel-Agathe manquent de consistance, décalque faiblarde des héros de la sitcom Scènes de ménage, la satire gagne en épaisseur dans sa dernière partie lorsqu’elle prend une tournure dramatique inédite dans la filmographie du papa de Bienvenue les Ch’tis.
La Voix du Nord
On rit, mais on sourit aussi beaucoup dans cette expérience gentiment cathartique (ça va parler à tout le monde) qui ne se résume pas à une farce. L’humain d’abord. Le coronavirus s’est révélé douloureux pour de nombreux concitoyens, 8, rue de l’Humanité en prend acte. Il n’est même pas exclu que certains spectateurs versent une petite larme.
Sud Ouest
Ceux qui n'aiment pas, comme on a la droit ne ne pas s'esclaffer devant les grimaçces mille foisvues d'un de Funès, peuvent passer leur chemin. Les autres s'amuseront, surpris d'avoir si vite oublié ce que fut la vie sous éteignoir.
Ecran Large
L'objet que dépose devant nos yeux Dany Boon est dédié "à celles et ceux qui ont souffert". Gageons qu'ils seront encore un peu plus nombreux après son visionnage.
Le Parisien
Le nouveau film du comédien et réalisateur, une farce qui évoque les conséquences de la pandémie sur une petite copropriété, s’avère tellement maladroit qu’il provoque la gêne plutôt que le rire.
Télérama
Dans ce film confiné sur la crise sanitaire, l’humoriste se contente du moindre effort, en roi fainéant de la comédie. On aurait préféré qu’il sorte de sa zone de confort.