Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
En un plan-séquence époustouflant, Années 20 saisit, sur le vif, les interrogations d’une jeunesse éprise de liberté après l’expérience du confinement. Magistral.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Véronique Escolano
Un film d’une heure trente tourné sans jamais arrêter la caméra. C’est le pari fou et réussi d’Années 20, plan séquence unique réalisé sur six kilomètres, avec vingt-quatre comédiens dans Paris, un soir d’été de 2020.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Ce patchwork de situations rendues presque théoriques par le dispositif, faisant que la caméra s'intéresse dans un premier temps pour mieux délaisser ensuite, se penchant moins sur l'humain que sur son vécu prenant ainsi valeur d'exemple, reste inégal comme peut l'être tout film à sketches.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
La caméra, brinquebalée, glisse d’une saynète à l’autre, guidée par des interprètes rafraîchissants. Mais, avec ses dialogues, très (trop) écrits, Années 20, hommage déclaré au Slacker de l’Américain Richard Linklater, contourne soigneusement le sujet de fond annoncé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une sorte de ronde qui finit par tourner à vide. L’option choisie du plan séquence unique et du film en temps réel laisse dubitatif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
L’appréciation du plan-séquence finit d’ailleurs par prendre le pas sur le fond : les acteurs s’avèrent avant tout les corps conducteurs d’un « défi technique » parfaitement exécuté mais qui s’use bientôt en prouesse sans aspérités.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Corentin Lê
La dimension sociale et collective d’Années 20 révèle rapidement toute sa vacuité. Chaque trajectoire reste soumise à la marche forcée du plan-séquence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Thierry Chèze
Seul hic mais d’importance, la performance technique prend le pas sur le reste et donne l’impression d’une course à la virtuosité qui ne permet jamais de se poser et de creuser en profondeur les personnages et leurs ressentis.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
En un plan-séquence époustouflant, Années 20 saisit, sur le vif, les interrogations d’une jeunesse éprise de liberté après l’expérience du confinement. Magistral.
Ouest France
Un film d’une heure trente tourné sans jamais arrêter la caméra. C’est le pari fou et réussi d’Années 20, plan séquence unique réalisé sur six kilomètres, avec vingt-quatre comédiens dans Paris, un soir d’été de 2020.
Culturopoing.com
Ce patchwork de situations rendues presque théoriques par le dispositif, faisant que la caméra s'intéresse dans un premier temps pour mieux délaisser ensuite, se penchant moins sur l'humain que sur son vécu prenant ainsi valeur d'exemple, reste inégal comme peut l'être tout film à sketches.
Télérama
La caméra, brinquebalée, glisse d’une saynète à l’autre, guidée par des interprètes rafraîchissants. Mais, avec ses dialogues, très (trop) écrits, Années 20, hommage déclaré au Slacker de l’Américain Richard Linklater, contourne soigneusement le sujet de fond annoncé.
L'Obs
Une sorte de ronde qui finit par tourner à vide. L’option choisie du plan séquence unique et du film en temps réel laisse dubitatif.
Le Monde
L’appréciation du plan-séquence finit d’ailleurs par prendre le pas sur le fond : les acteurs s’avèrent avant tout les corps conducteurs d’un « défi technique » parfaitement exécuté mais qui s’use bientôt en prouesse sans aspérités.
Critikat.com
La dimension sociale et collective d’Années 20 révèle rapidement toute sa vacuité. Chaque trajectoire reste soumise à la marche forcée du plan-séquence.
Première
Seul hic mais d’importance, la performance technique prend le pas sur le reste et donne l’impression d’une course à la virtuosité qui ne permet jamais de se poser et de creuser en profondeur les personnages et leurs ressentis.