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    Sur l'Adamant
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    Canovaseric
    Canovaseric

    11 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 avril 2023
    Je n'ai pas compris ce film. Je ne vois pas ou se situe l'intérêt. Qu'a voulu montrer ou démontrer le réalisateur ? On peut basculer vers du voyeurisme mais je n'en suis meme pas sûr. Des plans de bouée de sauvetage, de chaises vides ou de canards sur la Seine qui traînent en longueur. On n'apprend absolument rien si ce n'est que des malades en psychiatrie peuvent avoir des moments de lucidité. Vraiment très bof.
    LaVieLaVraie
    LaVieLaVraie

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mai 2023
    Quand débarque le nouveau film du réalisateur d’ETRE ET AVOIR, on s’attend à un film au pire intéressant. Les notes de la presse résumées sur allociné dépassent largement le 4,3 sur 5. Alors on se dit « c’est forcément du solide ». Alors on y va. On se dit qu’on ne perd pas son temps. Et surprise… ce n’est pas un film documentaire, c’est une succession de plans pendant 1h50, de discussions face caméra sans fin ni objectif. Et il y a pire. Il n’y a dans l’ordre : aucune réalisation, aucun scénario, aucun propos. Des plans laids voire des plans idiots. (Double mention spéciale à deux plans débiles. Le premier sur le canard, et pourtant j’adore les animaux. Et le second sur les tables avec la projection du soleil à travers les persiennes.) C’est moche. C’est mal filmé. Le rythme est ennuyeux. Le réalisateur pose sa caméra face à des tables derrière lesquelles s’expriment patients, médecins… On décroche à chaque scène. L’absence de réalisation ou de direction est d’autant plus incompréhensible que les personnages présentés sont intéressants et qu’ils ont des réflexions intéressantes. Mais tous ces plans sont montés dans un ordre sans queue ni tête. Ce film est une daube. C'est l’antithèse d’ETRE ET AVOIR. Je ne comprends pas les notes 4 à 5 étoiles des critiques des médias. Incompréhensible.
    Salvo M
    Salvo M

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 avril 2023
    J'aime les documentaires, surtout ceux qui font découvrir quelque chose de notre monde ou de notre société, mais à la fin de ce film, j’ai impression de rien savoir de plus sur ce monde. En plus il est monotone et rébarbatif. Pour moi ce film de Philibert est décevant et inintéressant. C’est dommage pour un ours d’or.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 838 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2023
    Je découvre le cinéma de Nicolas Philibert avec ce film, je ne m'étais jamais donné la peine d'aller voir ce qu'il faisait, bien que je le connaisse de nom depuis le succès de son Être et avoir. Et là, à la première minute j'ai été conquis.
    Le film s'ouvre sur une séquence chant où un type dont on ne sait rien se met à reprendre une chanson de Téléphone, ça sonne super bien, on sent qu'il y met toute son âme... Forcément ça marque, ça a un charme fou à la guitare classique et on sent une énergie communicative.

    Tout le film sera comme ça. On est dans un bateau sur la Seine qui sert d'hôpital pour accueillir des personnes avec des troubles mentaux et le parti pris c'est de ne jamais dire qui est fou et qui ne l'est pas. On peut regarder un personnage pendant plusieurs minutes (certains pas tous) et ne pas réussir à savoir s'ils font partie des patients ou des soignants. Il n'y a pas de jugement, Philibert laisse les gens s'exprimer. On voit donc comment des gens qui ont des maladies parviennent à s'en sortir grâce à un accompagnement adapté, faisant la part belle aux ateliers (musique, dessin, cinéma...)

    Parce que mine de rien c'est un film à thèse : l'hôpital irait bien mieux si on pouvait le gérer comme l'Adamant.

    Et puis en plus de ça, on a une belle galerie de personnages et des personnages qui ne correspondent pas au stéréotype de la personne atteinte de troubles psychiques.
    C'est toute la force du film, réussir à ne pas entretenir des clichés. Je n'ai jamais vu au cinéma des malades mentaux aussi biens, avoir des conversations comme qui ont du sens (enfin parfois…) et où on sent qu'ils sont biens. Alors Philibert ne cache pas les moments plus tendus, comme lorsqu'une femme se sent mise à l'écart car elle n'a pas été choisie pour animer un atelier… mais on voit bien la réponse du corps soignant est de prendre en compte la remarque et de voir ce qu'il est possible de faire bien qu'a priori ça ne les enchante pas.

    Le tout dans un cadre totalement improbable, sur cette barge au beau milieu de la Seine… Si c'était une fiction je ne l'aurais pas cru. Et donc la différence d'approche vis-à-vis des autres lieux de soin est totale… on est sur des lieux différents, des méthodes différentes… et ça fait que ça n'a pas la lourdeur et le côté désespérant que beaucoup de films qui rendent compte de l'état du milieu hospitalier, ça a un côté bol d'air frais (pour les patients comme pour le spectateur).

    En tous cas c'est une curiosité à voir, rien que pour savoir que ça existe, mais qui parvient à être vraiment touchant, j'apprécie beaucoup l'utilisation de la musique qui est intradiégétique, on entend quelques notes et on se rend compte que c'était un patient qui jouait de la guitare… tout ça est d'une authenticité folle…

    La conclusion c'est que je m'en veux d'avoir boudé le cinéma de Philibert depuis tout ce temps… parce que c'est vraiment bon, une approche pleine d'humilité, sans voyeurisme, ça fait plaisir à voir.
    Blankovitch
    Blankovitch

    37 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 novembre 2023
    J'ai été déçu par ce documentaire que j'attendais depuis longtemps de voir. Pas de construction, des témoignages de patients touchants mais que la longueur exagérée et avec un organisation indigente qui rendent l'ensemble et le message du film confus voire inexistant. Un sujet ne fait pas un film.
    leobis
    leobis

    48 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 avril 2023
    Film très interessant, vu le sujet traité, mais les séquences sont trop longues, ce qui parfois nous éloignent des personnalltés au demeurant toutes fort sympathiques dans leur singularité.
    Le D.
    Le D.

    180 abonnés 895 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juin 2023
    "Sur l'Adamant" est un documentaire que j'ai moyennement apprécié. Le fond est sympa avec certaines personnes intéressantes. Mais la forme est ennuyeuse et la mise en scène pouvait être mieux tournée.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 030 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2023
    On connaît le délabrement de la psychiatrie en France et ses conséquences pour les malades et la société. Toute nouvelle initiative est donc bonne à prendre, celle de ce centre ouvert sur une péniche en plein Paris est une belle réussite. Le documentaire que lui consacre Philibert remplit le contrat mais n'étonne en rien par sa structure classique, je n'ai pas senti le regard du cinéaste et je suis très étonné que Berlin lui ait décerné sa récompense suprême.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 260 abonnés 7 255 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2023
    Le centre de jour L’Adamant est un bâtiment flottant unique en Europe, c’est un bateau-hôpital psychiatrique de jour amarré quai de la Rapée (à Paris), rattaché aux hôpitaux de Saint-Maurice (94). Sur place, les patients peuvent aller et venir à leur guise, le bateau accueille des adultes souffrant de troubles psychiques et leur propose des moments d’échanges et divers ateliers.

    Filmer « la folie », bon nombre de cinéastes s’y sont déjà essayés, le réalisateur l’avait déjà fait par le passé (La Moindre des choses - 1997), Frederick Wiseman (Titicut Follies - 1967) ou encore Raymond Depardon (San Clemente - 1982) s’étaient déjà intéressés au sujet, à la différence que cette fois-ci, on quitte le cadre très protocolaire de l’hôpital stricto sensu pour celui d’un bateau sur La Seine. L’autre originalité, c’est que pendant toute la durée du film, les soignants sont en retrait et pas aisément identifiables (ils n’ont pas de blouse blanche et se fondent parmi les patients).

    Nicolas Philibert (Être et avoir - 2002) nous invite à suivre le quotidien de l’équipe soignante, pédagogique et des patients qu’il a filmés pendant près de 7 mois. Des moments d’échange autour d’un café et des divers ateliers qui sont proposés (dessin, couture, ciné-club, musique, cuisine, danse, …) dans le but de favoriser le vivre ensemble.

    La force du film réside dans les différents portraits qu’il nous ait donné l’occasion de voir, on y croise Murielle (celle qui dessine une mante religieuse), François (qui chante "La Bombe humaine" de Téléphone et se livre dans un passionnant monologue sur la psychiatrie, lui qui est médicamenté depuis 40ans) ou encore Frédéric (qui fait une fixation sur van Gogh et Jim Morrison).

    Récompensé de l’Ours d’Or lors de la 73ème Berlinale, Sur l'Adamant (2023) est un magnifique documentaire permettant de mettre en lumière la psychiatrie d’une toute autre façon que celle que l’on a l’habitude de voir. Certains patients nous apparaissent étonnamment très lucides sur leur situation et leur maladie, à travers des profils tous plus divers les uns que les autres (allant de 20 à 70 ans).

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Edgar B
    Edgar B

    72 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2023
    Si l'humilité des rapports sociaux et du langage avaient une beauté, une noblesse, ce serait l'Adamant. Magnifique.
    BMWC
    BMWC

    74 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2023
    Avec la profonde humanité qui le caractérise, Nicolas Philibert signe une nouvelle réussite avec ses portraits des occupants de l'Adamant, tous touchants et certains étonnamment lucides sur leurs troubles. Ce qui nous donne l'impression, tandis qu'on tangue avec eux sur la paisible péniche, immobile sur les quais de Seine au milieu du vif flux de la ville, d'être bel et bien dans le même bateau.
    chas
    chas

    33 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2023
    Une fois éprouvée l’intensité de l’interprétation de « La bombe humaine » du groupe Téléphone en introduction, par un des patients suivi par un centre de jour au centre de Paris, de cette heure quarante au bord de l’eau émane un calme d’autant plus impressionnant que sont perceptibles les tempêtes.
    « Je veux vous parler de l'arme de demain
    Enfantée du monde elle en sera la fin
    Je veux vous parler de moi, de vous
    Je vois à l'intérieur des images, des couleurs
    Qui ne sont pas à moi, qui parfois me font peur
    Sensations qui peuvent me rendre fou »
    Le livret d’accompagnement distribué par le cinéma le Méliès montre la modestie du réalisateur parti « voir ailleurs qui je suis », s’appliquant à « énoncer » plutôt qu’à « dénoncer », se gardant de « fétichiser ce lieu atypique » de psychiatrie où se prend le temps de l’écoute.
    https://blog-de-guy.blogspot.com/2013/04/la-maison-de-la-radio-nicolas-philibert_29.html
    « Je suis chargé d'électricité
    Si par malheur au cœur de l'accélérateur
    J'rencontre une particule qui m'mette de sale humeur
    Oh, faudrait pas que j'me laisse aller
    Faudrait pas que j'me laisse aller, non
    La bombe humaine, tu la tiens dans ta main
    Tu as l'détonateur juste à côte du cœur »
    Sans remonter à des explications renvoyant à une situation de voyeur, la caméra respecte les personnes qui s’expriment dans une institution accueillante par la peinture, la musique, la poésie, une implication dans un projet collectif en évolution permanente. Une séquence où les patients se prennent réciproquement en photo avec et sans masque révèle les regards.
    « Adamant » signifie diamant.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    33 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2023
    Assez déçu par ce nouveau documentaire de Nicolas Philibert, pourtant lauréat de l'Ours d'Or à la dernière Berlinale.

    J'avoue avoir eu un peu de mal à appréhender le film dans son ensemble. Comme l'impression d'avoir survolé quelque chose... d'avoir visionné une suite de rush... d'avoir collecté des pièces de puzzle que j'ai eu du mal à relier les unes aux autres. Le réalisateur laisse (délibérément ou non, je ne sais pas), un certain flou quant aux fonctions de ce lieu et même quant au statut de ses personnages, dans un premier temps (qui est patient ? qui est encadrant ?). Je me suis même demandé si j'aurais facilement compris le sujet du documentaire si je n'en avais pas eu connaissance avant la projection...

    Le documentaire enchaîne les séquences de vie ou les témoignages de patients, à l'intérêt variable et pas toujours très éclairants sur ce que ce lieu de vie leur apporte. J'aurais en effet préféré que Nicolas Philibert s'attarde davantage sur cette structure si singuliere, ses espaces, son organisation, son personnel, etc... même si l'on comprend que c'est davantage la galerie de portraits qui l'intéresse. Peut être aussi que l'inscription finale, venant enfin éclairer les intentions de l'auteur sur le message qu'il souhaitait faire passer, aurait gagné à apparaître en début de film.

    En ressortent tout de même des personnages hauts en couleur, attachants pour certains (ce père de famille plein d'amour pour ses filles, cette dame âgée qui regrette de ne pouvoir recevoir d'amis, ce jeune homme qui semble tout aussi fasciné que terrorisé par les images mentales qu'il se crée...), ainsi que le regard très positif posé sur ces patients qui parviennent à atteindre, grâce à ce lieu de liberté d'expression, une certaine forme de sérénité, par le biais de pratiques artistiques, notamment (danse, écriture, chant, musique, dessin...) mais aussi grâce au regard tendre et à l'accompagnement du personnel encadrant (incroyable d'humanité mais trop peu présent à l'écran malheureusement).

    Je reste toutefois avec une impression d'inachevé, comme si je n'avais pas vu le documentaire dans son intégralité.

    Ma page ciné insta : fenetre_sur_salle
    Yves G.
    Yves G.

    1 309 abonnés 3 310 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 avril 2023
    L’Adamant est une péniche amarrée en bord de Seine, dans le douzième arrondissement, au pied du quai de la Rapée, qui accueille depuis 2010 des malades souffrant de troubles psychiques. Nicolas Philibert, sans doute le plus grand documentariste français, devenu célèbre grâce à "Être et avoir" (2002), y a posé sa caméra pendant sept mois à la rencontre des patients. Son intérêt pour la psychothérapie institutionnelle – qui met l’accent sur la dynamique de groupe et la relation entre soignants et soignés – n’est pas nouveau. Il avait consacré un précédent documentaire à la clinique de La Borde en 1995 et aux méthodes novatrices du Dr Oury.
    Auréolé de l’Ours d’or qu’il a obtenu au dernier festival de Berlin et des lauriers que lui a tressés sa présidente Kristen Stewart, "Sur l’Adamant" est sorti en salles cette semaine et attire un public nombreux.

    Cette curiosité est méritée. Nicolas Philibert n’a pas son pareil pour laisser traîner sa caméra et susciter les confidences. On pourrait craindre son voyeurisme, surtout face à des personnages fragilisés. Mais rien n’est plus empathique que le regard qu’il porte sur les doux dingues qu’il filme et dont il interroge la différence : qu’est-ce qu’être « normal » nous demandent François, qui donne une interprétation incarnée de La Bombe humaine de Téléphone, Frédéric et sa curieuse dégaine à la Houellebecq, Muriel à la gouaille de titi parisien ?
    Le seul défaut de ce documentaire est son manque de linéarité. "Sur l’Adamant" qui aurait pu, sans conséquence, durer une heure de plus ou de moins, tourne en rond et nous mène un peu en bateau. Nicolas Philibert s’en justifie dans le dossier de presse : « J’ai toujours aimé improviser, et avec le temps, l’improvisation est devenue pour moi comme une nécessité éthique. Ne rien expliquer, surtout. Ne pas assujettir son film à un programme, à un ‘vouloir-dire’ préalable. Ne pas chercher à filmer utile. Traquer toute trace d’intentionnalité ». On adhèrerait volontiers à cette idéologie si elle n’ouvrait la porte à toutes les paresses. À force de ne vouloir rien démontrer, "Sur l’Adamant" court le risque de ne pas montrer grand chose qu’on n’ait déjà vu dans sa bande-annonce.

    "Sur l’Adamant" est le premier volet d’un triptyque consacré à la psychiatrie. Le deuxième se déroulera à l’hôpital Esquirol à Charenton ; le troisième filmera des visites domiciliaires. Ils sortiront dans les mois à venir.
    Loïck G.
    Loïck G.

    297 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 avril 2023
    Je n’ai toujours pas saisi l’intérêt de ce documentaire et encore moins sa distinction suprême au dernier festival de Berlin. On nous invite à participer au quotidien de patients souffrants de troubles psychiatriques au sein d’un bateau spécialement conçu pour une activité médicale, et amarré sur un quai de Seine. Il ne navigue jamais, et n’offre au documentaire aucune prise susceptible d’expliquer l’importance de sa structure dans la thérapie engagée. Les malades s’y sentent bien ( beaucoup d’ateliers, d’ouvertures donc ), et se racontent, écoutés par un encadrement qui me parait fragilisé par les restrictions gouvernementales sur le monde médical. La psychiatrie a toujours souffert d’un manque d’intérêt de sa part. Rappeler qu’il existe des établissements de ce genre, les lieux alternatifs, montrer leurs activités, prouver qu’elles portent leurs fruits me parait alors être la raison première de ce documentaire. En ce sens il est évidemment important et utile.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
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