Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Tous les éléments et toutes les injonctions de notre époque en pleine révolution sont habilement et intelligemment amenés. Pas une once de pathos, ici, mais des tonnes de lucidité et d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Intrigant comme un thriller, intelligent comme un documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Multipliant les points de vue, y compris celui de l’agresseur présumé, soutenu par sa mère (Anne Dorval), Delphine Girard met au jour avec une grande intelligence la mécanique du déni à l’échelle d’une société, la difficulté pour les victimes d’aller au bout de la procédure judiciaire. Un film captivant, porté par une interprétation impeccable.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Isabelle Danel
Passant du thriller au drame intime, ce récit à la beauté douloureuse nous embarque et nous bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec délicatesse, ce film explore les « zones grises » d’une agression sexuelle et ses répercussions des mois après sur les protagonistes et leur entourage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Catherine Balle
Très juste et très bien écrit, ce drame émeut lorsqu’il est éclairé par une histoire de solidarité féminine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Delphine Girard prolonge son court métrage, passant avec habileté du thriller à l’étude psychologique.
Marie Claire
par Garance Fragne
Un long-métrage hautement nécessaire qui dénonce les violences sexuelles.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Yannick Vely
Porté par la qualité de son interprétation, « Quitter la nuit » questionne durablement sur la manière dont les violences sexuelles sont jugées.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
La vertu de Quitter la nuit est d’apparaître comme le film de l’après et du temps long, interrogeant tout autant l’inadéquation du système judiciaire et la difficile réception de la détresse de la victime que les échos qu’elle suscite dans la vie de l’enquêtrice et le cheminement de l’agresseur – du déni familialement encouragé à l’éventuelle prise de conscience.
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Étonnant bien qu’imparfait ce premier long métrage de Delphine Girard, oscillant entre le thriller et l’étude sociologique, construit, à travers ces différentes trajectoires, une zone grise assez stimulante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Inspiré d'une histoire vraie, Quitter la nuit explore méticuleusement la dévastation psychologique d'une victime.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
En femme brisée, culpabilisée, Selma Alaoui bouleverse. Tout semble clair, tout semble finir. Pourtant, ce n'est pas l'issue qui hante son regard, mais les séquelles profondes de la violence.
Le Journal du Dimanche
par B. T.
Les comédiens jouent sur la corde avec beaucoup de justesse, dans une ambiance très noire. Un peu trop peut-être…
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
La cinéaste laisse du temps aux personnages pour se révéler, prendre conscience des actes, et du sol qui se dérobe sous leurs pieds. A trop vouloir en dire, le film devient alors scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
L’acuité à saisir les effets concrets d’une violence banalisée, ainsi que l’investissement incarné de ces deux personnages principaux, permet au long métrage de se détourner du film-dossier édifiant pour lui préférer un film d’anti-enquête qui réfléchit à la notion de justice.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Lou Hupel
Et si les destins sont plus prévisibles – celui du combat judiciaire notamment –, Delphine Girard, toujours à bonne distance, ne laisse place ni à l'excès d’empathie ni au mépris pour ses protagonistes et raconte aussi bien l’agresseur dissimulé et le fils adulé, la victime traumatisée et la mère/femme en quête de reconstruction.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
L’empathie, la sensibilité et la finesse psychologique caractérisent l’ensemble, servi par des acteurs toujours justes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Quitter la nuit est un film très écrit, et plutôt abouti pour une première œuvre de cinéma. Derrière l’apparente simplicité de la mise en scène, se tisse la mécanique monstrueuse de l’abus où auteurs et victimes se renvoient dos à dos le récit de leur vérité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Marius Chapuis
En se tenant à équidistance de ses protagonistes, Girard veut installer un regard à égalité, quasi dépassionné. Au risque que le film manque lui aussi de passion et semble presque éteint.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
La réalisatrice belge Delphine Girard met en scène une histoire de réparation psychologique qui, hélas, s’enlise dans les poncifs. Troublant pendant dix minutes. Dix minutes seulement.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Bande à part
Tous les éléments et toutes les injonctions de notre époque en pleine révolution sont habilement et intelligemment amenés. Pas une once de pathos, ici, mais des tonnes de lucidité et d’humanité.
Franceinfo Culture
Intrigant comme un thriller, intelligent comme un documentaire.
L'Humanité
Multipliant les points de vue, y compris celui de l’agresseur présumé, soutenu par sa mère (Anne Dorval), Delphine Girard met au jour avec une grande intelligence la mécanique du déni à l’échelle d’une société, la difficulté pour les victimes d’aller au bout de la procédure judiciaire. Un film captivant, porté par une interprétation impeccable.
L'Obs
Passant du thriller au drame intime, ce récit à la beauté douloureuse nous embarque et nous bouleverse.
La Croix
Avec délicatesse, ce film explore les « zones grises » d’une agression sexuelle et ses répercussions des mois après sur les protagonistes et leur entourage.
Le Parisien
Très juste et très bien écrit, ce drame émeut lorsqu’il est éclairé par une histoire de solidarité féminine.
Les Fiches du Cinéma
Delphine Girard prolonge son court métrage, passant avec habileté du thriller à l’étude psychologique.
Marie Claire
Un long-métrage hautement nécessaire qui dénonce les violences sexuelles.
Paris Match
Porté par la qualité de son interprétation, « Quitter la nuit » questionne durablement sur la manière dont les violences sexuelles sont jugées.
Cahiers du Cinéma
La vertu de Quitter la nuit est d’apparaître comme le film de l’après et du temps long, interrogeant tout autant l’inadéquation du système judiciaire et la difficile réception de la détresse de la victime que les échos qu’elle suscite dans la vie de l’enquêtrice et le cheminement de l’agresseur – du déni familialement encouragé à l’éventuelle prise de conscience.
Culturopoing.com
Étonnant bien qu’imparfait ce premier long métrage de Delphine Girard, oscillant entre le thriller et l’étude sociologique, construit, à travers ces différentes trajectoires, une zone grise assez stimulante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Inspiré d'une histoire vraie, Quitter la nuit explore méticuleusement la dévastation psychologique d'une victime.
Le Dauphiné Libéré
En femme brisée, culpabilisée, Selma Alaoui bouleverse. Tout semble clair, tout semble finir. Pourtant, ce n'est pas l'issue qui hante son regard, mais les séquelles profondes de la violence.
Le Journal du Dimanche
Les comédiens jouent sur la corde avec beaucoup de justesse, dans une ambiance très noire. Un peu trop peut-être…
Le Monde
La cinéaste laisse du temps aux personnages pour se révéler, prendre conscience des actes, et du sol qui se dérobe sous leurs pieds. A trop vouloir en dire, le film devient alors scolaire.
Les Inrockuptibles
L’acuité à saisir les effets concrets d’une violence banalisée, ainsi que l’investissement incarné de ces deux personnages principaux, permet au long métrage de se détourner du film-dossier édifiant pour lui préférer un film d’anti-enquête qui réfléchit à la notion de justice.
Première
Et si les destins sont plus prévisibles – celui du combat judiciaire notamment –, Delphine Girard, toujours à bonne distance, ne laisse place ni à l'excès d’empathie ni au mépris pour ses protagonistes et raconte aussi bien l’agresseur dissimulé et le fils adulé, la victime traumatisée et la mère/femme en quête de reconstruction.
Télérama
L’empathie, la sensibilité et la finesse psychologique caractérisent l’ensemble, servi par des acteurs toujours justes.
aVoir-aLire.com
Quitter la nuit est un film très écrit, et plutôt abouti pour une première œuvre de cinéma. Derrière l’apparente simplicité de la mise en scène, se tisse la mécanique monstrueuse de l’abus où auteurs et victimes se renvoient dos à dos le récit de leur vérité.
Libération
En se tenant à équidistance de ses protagonistes, Girard veut installer un regard à égalité, quasi dépassionné. Au risque que le film manque lui aussi de passion et semble presque éteint.
Marianne
La réalisatrice belge Delphine Girard met en scène une histoire de réparation psychologique qui, hélas, s’enlise dans les poncifs. Troublant pendant dix minutes. Dix minutes seulement.