Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La jubilation qui se dégage d’Apaches marie avec aisance l’action bien menée à un romantisme vénéneux pour un cocktail réussi.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Jouant avec la pop culture et l'ambiance des westerns, et s'inspirant des œuvres de Martin Scorsese, «Apaches» réunit une belle bande d’acteurs qui, malgré un jeu parfois trop appuyé, incarnent avec force et sincérité ces voyous à la fois terrifiants et magnétiques qui ont disparu lors de la Première Guerre mondiale.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Ph.M.
Les anachronismes sont assumés, le sang abondant, les tableaux crédibles.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Petites et grosses frappes, prostituées, maquereaux et clients bigarrés hantent les cabarets et bouges montmartrois de ce film à la mise en scène stylisée et haute en couleurs.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Figaro
par O. D.
Romain Quirot signe un film rageur mettant en scène une romance au sein des gangs de criminels qui hantaient la capitale au début du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mad Movies
par François Cau
La reconstitution du Paris du début du XXe siècle s'accommode des anachronismes, et surtout, la dynamique de groupe fonctionne à la fois par son assise dans un imaginaire cinématographique que le cinéaste se réapproprie avec panache, et par l'alchimie entre des comédiens venus de tous les horizons populaires.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un divertissement violent et étonnant.
Public
par Marie-Pierre Galinon
N'est pas Martin Scorsese qui veut, mais on aime tout de même beaucoup ce Gangs of New York à la sauce Belleville et Montmartre.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Benoîtement carré, recherchant moins l’esbroufe que l’efficacité d’un récit certes attendu mais solide (on dit aussi « classique »), Apaches est une proposition de cinéma populaire certes maladroite, parfois en surrégime, mais finalement très attachante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film de genre honorable à la reconstitution soignée, fait pour distraire, et nous rappeler au bon souvenir de ces Apaches qui faisaient la une de la presse et quelque peu oubliés aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Soyons honnêtes : cette série B, deuxième long-métrage de Romain Quirot, n’est pas sans faiblesses (scénario clichetonneux, voix off indigente, ralentis malvenus), mais l’univers fonctionne, les acteurs sont bien, et on se laisse embarquer par l’énergie pop et le sens visuel du réalisateur, qui mériteraient d’être canalisées.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Apaches dénote dans la production française actuelle tout simplement parce qu'il ne ressemble à aucun autre. Une différence autant positive quand elle concerne la folie créative de son auteur, que négative lorsque cette même folie s’essouffle, consciente que le chemin sera encore long avant de pouvoir jouer dans la cour des grands.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Télérama
par Guillemette Odicino
La bonne idée de ce film survitaminé, où même l’abus de palette graphique pour recomposer le vieux Paris, ses toits et ses pavés, devient plaisant ? Le côté punk des apaches, le réalisateur ne craignant pas de parsemer leur existence fiévreuse de certains anachronismes, comme un vieux standard de Johnny Hallyday...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Apaches veut faire beaucoup de jolies choses, mais s'enferme dans un carcan de références écrasantes et dans une écriture vieillotte qui lui donnent l'air d'un mauvais remake d'un mauvais Tarantino. Quirot passe à côté d'un nouveau Mort ou Vif pour donner dans la fiction TF1 à peine améliorée.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ambitieux et visuellement étonnant, mais malheureusement sans ligne directrice. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par M. Dl
Le soin porté à créer une ambiance endiablée finit par nous plonger dans une esthétique de night-club au risque de noyer les humeurs des personnages dans les ténèbres fluorescentes des néons.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Rossy de Palma apparaît de manière aussi incongrue qu’éphémère en Sarah Bernhardt, comme une case cochée dans la visite obligée des icônes d’une époque. C’est bien filmé, mais est-ce un film ?
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Surchargé d’effets de style ampoulés, Apaches est un film d’action indigeste qui gâche son sujet à tout miser sur son rythme et son esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Mais son ambition vient surtout se fracasser sur le temps court… d’un long métrage qui ne permet pas de développer les histoires de ses personnages secondaires haut en couleur. Et on reste donc un peu sur sa faim, en dépit de l’enthousiasme communicatif du cinéaste et de la qualité sans faille de l’interprétation (Alice Isaaz, Niels Schneider et Artus en tête).
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
L’autodidacte du cinéma, Romain Quirot, à force de pousser les velléités à un hyper-esthétisme, ne parvient pas à cacher les faiblesses du scénario.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Bastien Gens
Le film peine à extraire la moindre substance corrosive de ces loubards de papier.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les ambitions de mise en scène (trop démonstrative) et les costumes et décors ne font pas oublier le manque d’enjeux du scénario et la pauvreté des dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
Les gangsters semblent surtout inspirer Romain Quirot pour l’imaginaire esthétique peu travaillé auxquels ils renvoient, plutôt que pour l’injustice et la violence qui les ont menés à cette vie là. En bref, Apaches échoue en n’incarnant jamais le film jeune, insolent et révolté qu’il aurait rêvé être.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
La jubilation qui se dégage d’Apaches marie avec aisance l’action bien menée à un romantisme vénéneux pour un cocktail réussi.
CNews
Jouant avec la pop culture et l'ambiance des westerns, et s'inspirant des œuvres de Martin Scorsese, «Apaches» réunit une belle bande d’acteurs qui, malgré un jeu parfois trop appuyé, incarnent avec force et sincérité ces voyous à la fois terrifiants et magnétiques qui ont disparu lors de la Première Guerre mondiale.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les anachronismes sont assumés, le sang abondant, les tableaux crédibles.
Filmsactu
Petites et grosses frappes, prostituées, maquereaux et clients bigarrés hantent les cabarets et bouges montmartrois de ce film à la mise en scène stylisée et haute en couleurs.
Le Figaro
Romain Quirot signe un film rageur mettant en scène une romance au sein des gangs de criminels qui hantaient la capitale au début du XXe siècle.
Mad Movies
La reconstitution du Paris du début du XXe siècle s'accommode des anachronismes, et surtout, la dynamique de groupe fonctionne à la fois par son assise dans un imaginaire cinématographique que le cinéaste se réapproprie avec panache, et par l'alchimie entre des comédiens venus de tous les horizons populaires.
Ouest France
Un divertissement violent et étonnant.
Public
N'est pas Martin Scorsese qui veut, mais on aime tout de même beaucoup ce Gangs of New York à la sauce Belleville et Montmartre.
Culturopoing.com
Benoîtement carré, recherchant moins l’esbroufe que l’efficacité d’un récit certes attendu mais solide (on dit aussi « classique »), Apaches est une proposition de cinéma populaire certes maladroite, parfois en surrégime, mais finalement très attachante.
Franceinfo Culture
Un film de genre honorable à la reconstitution soignée, fait pour distraire, et nous rappeler au bon souvenir de ces Apaches qui faisaient la une de la presse et quelque peu oubliés aujourd’hui.
L'Obs
Soyons honnêtes : cette série B, deuxième long-métrage de Romain Quirot, n’est pas sans faiblesses (scénario clichetonneux, voix off indigente, ralentis malvenus), mais l’univers fonctionne, les acteurs sont bien, et on se laisse embarquer par l’énergie pop et le sens visuel du réalisateur, qui mériteraient d’être canalisées.
Le Journal du Geek
Apaches dénote dans la production française actuelle tout simplement parce qu'il ne ressemble à aucun autre. Une différence autant positive quand elle concerne la folie créative de son auteur, que négative lorsque cette même folie s’essouffle, consciente que le chemin sera encore long avant de pouvoir jouer dans la cour des grands.
Télérama
La bonne idée de ce film survitaminé, où même l’abus de palette graphique pour recomposer le vieux Paris, ses toits et ses pavés, devient plaisant ? Le côté punk des apaches, le réalisateur ne craignant pas de parsemer leur existence fiévreuse de certains anachronismes, comme un vieux standard de Johnny Hallyday...
Ecran Large
Apaches veut faire beaucoup de jolies choses, mais s'enferme dans un carcan de références écrasantes et dans une écriture vieillotte qui lui donnent l'air d'un mauvais remake d'un mauvais Tarantino. Quirot passe à côté d'un nouveau Mort ou Vif pour donner dans la fiction TF1 à peine améliorée.
La Voix du Nord
Ambitieux et visuellement étonnant, mais malheureusement sans ligne directrice. Dommage.
Le Monde
Le soin porté à créer une ambiance endiablée finit par nous plonger dans une esthétique de night-club au risque de noyer les humeurs des personnages dans les ténèbres fluorescentes des néons.
Le Parisien
Rossy de Palma apparaît de manière aussi incongrue qu’éphémère en Sarah Bernhardt, comme une case cochée dans la visite obligée des icônes d’une époque. C’est bien filmé, mais est-ce un film ?
Les Fiches du Cinéma
Surchargé d’effets de style ampoulés, Apaches est un film d’action indigeste qui gâche son sujet à tout miser sur son rythme et son esthétique.
Première
Mais son ambition vient surtout se fracasser sur le temps court… d’un long métrage qui ne permet pas de développer les histoires de ses personnages secondaires haut en couleur. Et on reste donc un peu sur sa faim, en dépit de l’enthousiasme communicatif du cinéaste et de la qualité sans faille de l’interprétation (Alice Isaaz, Niels Schneider et Artus en tête).
aVoir-aLire.com
L’autodidacte du cinéma, Romain Quirot, à force de pousser les velléités à un hyper-esthétisme, ne parvient pas à cacher les faiblesses du scénario.
Critikat.com
Le film peine à extraire la moindre substance corrosive de ces loubards de papier.
Le Journal du Dimanche
Les ambitions de mise en scène (trop démonstrative) et les costumes et décors ne font pas oublier le manque d’enjeux du scénario et la pauvreté des dialogues.
Les Inrockuptibles
Les gangsters semblent surtout inspirer Romain Quirot pour l’imaginaire esthétique peu travaillé auxquels ils renvoient, plutôt que pour l’injustice et la violence qui les ont menés à cette vie là. En bref, Apaches échoue en n’incarnant jamais le film jeune, insolent et révolté qu’il aurait rêvé être.