Le Ciel rouge
Note moyenne
3,7
22 titres de presse
  • Le Parisien
  • Sud Ouest
  • 20 Minutes
  • Cahiers du Cinéma
  • Dernières Nouvelles d'Alsace
  • Elle
  • L'Obs
  • La Croix
  • Le Figaro
  • Le Monde
  • Les Echos
  • Les Fiches du Cinéma
  • Ouest France
  • Première
  • Transfuge
  • Télérama
  • Le Journal du Dimanche
  • Libération
  • Télé Loisirs
  • aVoir-aLire.com
  • Critikat.com
  • Les Inrockuptibles

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

22 critiques presse

Le Parisien

par La rédaction

La plus belle intention de ce long-métrage profondément humain consiste à nous embarquer sur un récit de marivaudage d’une douceur estivale infinie pour nous faire comprendre que son vrai sujet porte sur les affres de la création artistique, dans ce qu’elle peut avoir de sublime et de douloureux…

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Sud Ouest

par Julien Rousset

Le nouveau film de Christian Petzold n’est pas que brillant, il est mieux encore : magnétique. Frustration et désir, tension et sensualité électrisent chaque plan.

La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

20 Minutes

par Caroline Vié

« Le Ciel rouge » est porté par Paula Beer, présence féminine fascinante.

La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

Cahiers du Cinéma

par Fernando Ganzo

Petzold situe son film, d'apparence on ne peut pas plus simple, dans la zone troublante de l'incertitude, du gouffre, de la destruction.

Dernières Nouvelles d'Alsace

par Nathalie Chifflet

"Le Ciel rouge" ne dit pas banalement quelque chose sur notre époque. Il saisit l’expression de l’angoisse générale qui nous traverse, le sentiment de piège face aux désastres, en même temps qu’il confie à l’amour le soin de la consolation, une quête d’humanité pour se sentir un peu moins seul, un peu moins petit, tandis que la terre brûle.

La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace

Elle

par Françoise Delbecq

Un brûlot dévastateur. Paula Beer est délicieuse en dilettante dominatrice qui fait tomber les masques.

L'Obs

par Jérôme Garcin

Servi par trois jeunes excellents comédiens et par une Paula Beer qui a décidément la grâce, ce beau film brûlant (auréolé de l’ours d’argent à la Berlinale) consume tout sur son passage : la jeunesse, la légèreté, les illusions, l’amour, les corps et les cœurs.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

La Croix

par Céline Rouden

Oscillant en permanence entre légèreté et gravité, le film séduit par la force de son propos, la présence lumineuse de son actrice principale et une issue, une fois n’est pas coutume chez Christian Petzold, plutôt optimiste.

La critique complète est disponible sur le site La Croix

Le Figaro

par Eric Neuhoff

Le film nage dans cette misanthropie bou­deuse, flotte dans les sous-entendus, file un air bien à lui, intelligent et policé. La caméra de Petzold ne cale jamais.

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

Le Monde

par Clarisse Fabre

Le réalisateur allemand livre un conte rohmérien à l’heure de tous les dérèglements, avec un quatuor d’acteurs qui déconstruit constamment le récit avec une fluidité stupéfiante.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Les Echos

par Adrien Gombeaud

Raffiné et délicieusement empoisonné.

La critique complète est disponible sur le site Les Echos

Les Fiches du Cinéma

par Michael Ghennam

Sous des apparences de comédie estivale légère, une surprenante et piquante étude de caractère.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Ouest France

par Pascale Vergereau

Ce film de Christian Petzold, dans lequel les corps s’enflamment aussi, possède un charme inquiétant. Et envoûtant, grâce notamment à Paula Beer.

Première

par Thierry Chèze

Au fil d’un scénario riche en rebondissements distillés avec soin, Peztold signe une tragédie aussi bouleversante que malaisante.

La critique complète est disponible sur le site Première

Transfuge

par Corentin Destefanis Dupin

Petzold filme avec la grâce qu'on lui connaît un corps empêché, perclus d'angoisses et condamné selon sa propre volonté à un cruel exil.

Télérama

par Frédéric Strauss

[Ce] "Ciel rouge", qui provoque sans cesse l’étonnement, est d’une superbe profondeur.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Le Journal du Dimanche

par Stéphanie Belpêche

On est captivé par ce drame sur l’amitié masculine mise à l’épreuve grâce à l’étude complexe des personnages et en dépit d’une progression narrative lente.

La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

Libération

par Elisabeth Franck-Dumas

Petzold met habilement en espace le tissu des relations humaines qui se forme sous nos yeux, la géographie de la maison, ses fenêtres et sa pergola se chargeant de déployer le surplomb de l’une et le statisme de l’autre, le désir courant par-ci par-là, le tout tenant de l’agréable démonstration.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Télé Loisirs

par Sébastien Ors

Badin, le film s'imprègne de gravité au fur et à mesure que le ciel rougit des incendies de forêt qui embrasent la région. Une menace qui maintient plus notre intérêt que les états d'âme des héros.

aVoir-aLire.com

par Anaëlle Paccard

Alors que les incendies ravagent les terres, les émotions des quatre protagonistes s’enflamment, butent sur les non-dits, pour trouver, non sans mal, leur moyen d’expression. Un film intimiste, poétique, à la mise en scène épurée.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

Critikat.com

par Valentin Denis

Si le film cherche à produire une satire très littérale de la masculinité toxique, il donne surtout l’impression d’accumuler avec opportunisme les signes du temps sans parvenir à leur donner forme.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Les Inrockuptibles

par Ludovic Béot

Entre sur-signifiances symboliques sur le réchauffement climatique et la combustion des sentiments en forme d’une grossière réactualisation des amants de Pompéi, le film s’épuise à force de vouloir ouvrir coup sur coup un nouveau tiroir discursif.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
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