Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le Retour, film aussi émouvant que généreux, est gorgé d’une telle tendresse pour ses personnages qu’on ne peut que lui souhaiter de pouvoir rencontrer son public.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Malgré les ombres portées sur le tournage, en raison d’une scène de sexe imprévue mettant en scène une mineure, le dernier film de Catherine Corsini se révèle un simple et solaire récit d’apprentissage.
Elle
par Françoise Delbecq
Esther Gohourou fait des étincelles et insuffle une formidable énergie au film.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Parallèlement à l’exploration de ce retour en arrière très tenu, pudique et sans excès de sentimentalisme, un autre récit suit ses deux filles (Esther Gohourou et Suzy Bemba). Le duo de sœurs n’est pas le simple appendice de l’autre récit, familial et maternel. Il occupe l‘écran, dans une lumineuse variation sur l’éveil amoureux et sexuel, légère et douce.
Le Figaro
par Françoise Dargent
Un film lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Poignante, l’œuvre compte aussi des scènes très drôles. La gouaille de Fara amuse, notamment quand elle provoque sa sœur. Et dans le rôle du couple de bourgeois de gauche, Denis Podalydès et Virginie Ledoyen se trouvent particulièrement bien servis.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier Ubertalli
Un magnifique conte d'été, nerveux et sensible.
Ouest France
par T. C.
Un récit initiatique réussi.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Formidablement interprété, le film brasse, avec un grand sens du romanesque, une multitude de thèmes : les secrets de famille, l'éveil des sens,les rapports de classes, le reniement de ses origines pour espérer un avenir meilleur...
Bande à part
par Isabelle Danel
Catherine Corsini signe un film hybride avec trois actrices puissantes.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Le Retour" de Catherine Corsini saisit avec justesse l'apprentissage de la vie de deux adolescentes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Film acéré sur une jeunesse qui se cherche par des chemins sinueux. Et sur une réconciliation familiale obtenue au forceps. Seules contre tous.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Cl. F.
En cherchant à tout prix à percer la poche du secret, Le Retour perd le côté sauvage et mystérieux du début. Le film woke n’ira pas dans le wild side. Comme un message, la cinéaste assume le portrait de famille apaisée. Trois femmes, comme une nouvelle trinité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Présenté à Cannes dans une compétition beaucoup trop imposante pour lui, le film d'amours estivales de Catherine Corsini gagne à être découvert dans le contexte plus indulgent des grandes vacances.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"Le Retour" trouve sa vibration la plus inspirante et inspirée au contact d’une tonalité teenage bienvenue et de ses jeunes personnages, de leur revendication, de leur façon d’être, de bouger dans le plan et d’affirmer leurs propres désirs contre l’ancienne génération (la mère, mais aussi une élite bourgeoise que son autrice se plaît à égratigner avec un certain sens de l’autodérision).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Porté par de formidables actrices, le film de Catherine Corsini, où une femme et ses deux filles reviennent en Corse après quinze ans, se perd un peu dans sa volonté de tout expliquer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Julien Rousset
Dans ce film doux et sensuel, Catherine Corsini saisit le sentiment ambivalent, fait à la fois d’appartenance et de distance irrémédiable, qui lie beaucoup d’entre nous à la terre de l’enfance.
Télé 2 semaines
par Mathilde Aubry
Un récit puissant aux accents adolescents, qui s'égare parfois dans les intrigues, les émois et les tensions qu'il multiplie à l’excès.
Télérama
par Cécile Mury
La cinéaste interroge les rapports de classes et le racisme ordinaire dans un récit d’apprentissage parfois caricatural, mais attachant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Boudé à Cannes, le nouveau Catherine Corsini brasse les thèmes (le racisme social, le poids du passé, la découverte de la sensualité) entre acuité et artificialité.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
À ce volet du film, dont la réussite repose sur l’indéniable dynamique du trio d’actrices et sur l’antagonisme pourtant convenu entre les deux filles, s’opposent les arrière-plans de l’intrigue : les bourgeois métropolitains figés qui embauchent une nounou noire, au même titre que les Corses qui semblent eux aussi n’être que des éléments du décor, révèlent par leur nature archétypale la foisonnante fragilité d’un scénario tout-en-un.
Critikat.com
par Corentin Lê
Le film avance au rythme d’un scénario verrouillé, qui prévoit pour chaque protagoniste un petit défi personnel à relever.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par S. G.
Trop d’archétypes sociaux, sexuels, de dialogues explicatifs plombent ce film de Catherine Corsini, entaché d’une polémique sur laquelle la réalisatrice s’est expliquée, qui a néanmoins le mérite extrême à nos yeux d’inscrire à l’écran des visages qu’on y voit peu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Deux ans après La Fracture, Catherine Corsini se prend les pieds dans un film mêlant souvenirs personnels et propos politique dans le cadre idyllique d’une Corse inhospitalière.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Catherine Corsini signe ici un récit initiatique trop ambitieux et déséquilibré, malgré un beau trio d’actrices.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Au-delà d’une réalisation austère, « Le Retour » souffre de sa construction en kaléidoscope, de ces intrigues à tiroirs qui poussent à ne plus savoir vraiment ce que le film veut nous raconter.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Mais tout est ici trop souligné pour que ça fonctionne. Et souffre de la concurrence avec une autre chronique estivale corse, I Comete, où ces thématiques étaient embrassées avec une acuité bien supérieure et une recherche formelle venant percuter un apparent naturalisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le récit de Corsini comprend trop de clichés et de situations convenues pour convaincre réellement, malgré la sincérité de la démarche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La mise en scène orchestre l’ensemble avec une indifférence mécanique qui ne parvient jamais à exacerber la cruauté des sentiments, supposément pensée comme le coeur névralgique de cette fiction amorphe.
20 Minutes
Le Retour, film aussi émouvant que généreux, est gorgé d’une telle tendresse pour ses personnages qu’on ne peut que lui souhaiter de pouvoir rencontrer son public.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Malgré les ombres portées sur le tournage, en raison d’une scène de sexe imprévue mettant en scène une mineure, le dernier film de Catherine Corsini se révèle un simple et solaire récit d’apprentissage.
Elle
Esther Gohourou fait des étincelles et insuffle une formidable énergie au film.
Le Dauphiné Libéré
Parallèlement à l’exploration de ce retour en arrière très tenu, pudique et sans excès de sentimentalisme, un autre récit suit ses deux filles (Esther Gohourou et Suzy Bemba). Le duo de sœurs n’est pas le simple appendice de l’autre récit, familial et maternel. Il occupe l‘écran, dans une lumineuse variation sur l’éveil amoureux et sexuel, légère et douce.
Le Figaro
Un film lumineux.
Le Parisien
Poignante, l’œuvre compte aussi des scènes très drôles. La gouaille de Fara amuse, notamment quand elle provoque sa sœur. Et dans le rôle du couple de bourgeois de gauche, Denis Podalydès et Virginie Ledoyen se trouvent particulièrement bien servis.
Le Point
Un magnifique conte d'été, nerveux et sensible.
Ouest France
Un récit initiatique réussi.
Télé 7 Jours
Formidablement interprété, le film brasse, avec un grand sens du romanesque, une multitude de thèmes : les secrets de famille, l'éveil des sens,les rapports de classes, le reniement de ses origines pour espérer un avenir meilleur...
Bande à part
Catherine Corsini signe un film hybride avec trois actrices puissantes.
Franceinfo Culture
"Le Retour" de Catherine Corsini saisit avec justesse l'apprentissage de la vie de deux adolescentes.
La Voix du Nord
Film acéré sur une jeunesse qui se cherche par des chemins sinueux. Et sur une réconciliation familiale obtenue au forceps. Seules contre tous.
Le Monde
En cherchant à tout prix à percer la poche du secret, Le Retour perd le côté sauvage et mystérieux du début. Le film woke n’ira pas dans le wild side. Comme un message, la cinéaste assume le portrait de famille apaisée. Trois femmes, comme une nouvelle trinité.
Les Echos
Présenté à Cannes dans une compétition beaucoup trop imposante pour lui, le film d'amours estivales de Catherine Corsini gagne à être découvert dans le contexte plus indulgent des grandes vacances.
Les Inrockuptibles
"Le Retour" trouve sa vibration la plus inspirante et inspirée au contact d’une tonalité teenage bienvenue et de ses jeunes personnages, de leur revendication, de leur façon d’être, de bouger dans le plan et d’affirmer leurs propres désirs contre l’ancienne génération (la mère, mais aussi une élite bourgeoise que son autrice se plaît à égratigner avec un certain sens de l’autodérision).
Libération
Porté par de formidables actrices, le film de Catherine Corsini, où une femme et ses deux filles reviennent en Corse après quinze ans, se perd un peu dans sa volonté de tout expliquer.
Sud Ouest
Dans ce film doux et sensuel, Catherine Corsini saisit le sentiment ambivalent, fait à la fois d’appartenance et de distance irrémédiable, qui lie beaucoup d’entre nous à la terre de l’enfance.
Télé 2 semaines
Un récit puissant aux accents adolescents, qui s'égare parfois dans les intrigues, les émois et les tensions qu'il multiplie à l’excès.
Télérama
La cinéaste interroge les rapports de classes et le racisme ordinaire dans un récit d’apprentissage parfois caricatural, mais attachant.
Voici
Boudé à Cannes, le nouveau Catherine Corsini brasse les thèmes (le racisme social, le poids du passé, la découverte de la sensualité) entre acuité et artificialité.
Cahiers du Cinéma
À ce volet du film, dont la réussite repose sur l’indéniable dynamique du trio d’actrices et sur l’antagonisme pourtant convenu entre les deux filles, s’opposent les arrière-plans de l’intrigue : les bourgeois métropolitains figés qui embauchent une nounou noire, au même titre que les Corses qui semblent eux aussi n’être que des éléments du décor, révèlent par leur nature archétypale la foisonnante fragilité d’un scénario tout-en-un.
Critikat.com
Le film avance au rythme d’un scénario verrouillé, qui prévoit pour chaque protagoniste un petit défi personnel à relever.
L'Obs
Trop d’archétypes sociaux, sexuels, de dialogues explicatifs plombent ce film de Catherine Corsini, entaché d’une polémique sur laquelle la réalisatrice s’est expliquée, qui a néanmoins le mérite extrême à nos yeux d’inscrire à l’écran des visages qu’on y voit peu.
La Croix
Deux ans après La Fracture, Catherine Corsini se prend les pieds dans un film mêlant souvenirs personnels et propos politique dans le cadre idyllique d’une Corse inhospitalière.
Les Fiches du Cinéma
Catherine Corsini signe ici un récit initiatique trop ambitieux et déséquilibré, malgré un beau trio d’actrices.
Paris Match
Au-delà d’une réalisation austère, « Le Retour » souffre de sa construction en kaléidoscope, de ces intrigues à tiroirs qui poussent à ne plus savoir vraiment ce que le film veut nous raconter.
Première
Mais tout est ici trop souligné pour que ça fonctionne. Et souffre de la concurrence avec une autre chronique estivale corse, I Comete, où ces thématiques étaient embrassées avec une acuité bien supérieure et une recherche formelle venant percuter un apparent naturalisme.
aVoir-aLire.com
Le récit de Corsini comprend trop de clichés et de situations convenues pour convaincre réellement, malgré la sincérité de la démarche.
La Septième Obsession
La mise en scène orchestre l’ensemble avec une indifférence mécanique qui ne parvient jamais à exacerber la cruauté des sentiments, supposément pensée comme le coeur névralgique de cette fiction amorphe.