Les Damnés ne pleurent pas
Note moyenne
3,1
10 titres de presse
  • Les Inrockuptibles
  • Culturopoing.com
  • Libération
  • L'Obs
  • Les Fiches du Cinéma
  • Ouest France
  • Télérama
  • Cahiers du Cinéma
  • Le Monde
  • Première

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

10 critiques presse

Les Inrockuptibles

par Jean-Baptiste Morain

Ce qui est beau, dans ce deuxième long [...], c’est qu’il ne juge pas ses personnages. Il ne les caricature pas, les éclaire sous des jours différents, au sens figuré comme au sens propre, tant la photo et les cadres parfaits embellissent ces protagonistes et les rendent multiples.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Culturopoing.com

par Eleonore Vigier

Un récit à l’image profondément belle, riche en références artistiques [...] autour d’une relation mère-fils hantée par le poids des non-dits et brisée par une société corrompue et violente, les poussant à s’engager dans une voie aux antipodes de leurs principes moraux.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

Libération

par Camille Nevers

Dans la lumière changeante des lieux nombreux et des stations successives, l’alternance des mouvements et des repos, "les Damnés ne pleurent pas" n’est pas un film cruel. C’est ce qui en fait le prix, l’originalité, comme la lumière : la douceur du sort, même acharné.

La critique complète est disponible sur le site Libération

L'Obs

par S. G.

« Mamma Roma » de Pasolini en tête, l’Anglo-Marocain Fyzal Boulifa dénonce les hypocrisies d’une société patriarcale dominée par la transaction dans ce mélodrame puissant desservi par sa longueur mais excellemment joué par deux acteurs débutants.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Les Fiches du Cinéma

par Marine Quinchon

Portrait croisé d’une mère célibataire marocaine et de son fils de 17 ans, et en creux de la cruauté du monde, le long métrage de Fyzal Boulifa a le grand mérite de s’extirper d’un scénario d’abord un peu consensuel pour oser des retournements inattendus.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Ouest France

par La Rédaction

Malgré un air de déjà-vu, ce film séduit par l'écriture de ses deux personnages et leur incarnation.

Télérama

par Marie Sauvion

Formidablement incarné par deux acteurs non professionnels, le tandem touche au cœur, avec une mention spéciale pour la mamma (Aïcha Tebbae), que ni les hommes, ni Dieu n’empêcheront d’aimer la fête.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Cahiers du Cinéma

par Olivia Cooper-Hadjian

C’est aussi la limite du film, privé de la puissance du mélodrame par son goût pour la bifurcation, des rapports intra-familiaux aux relations postcoloniales, de la condition homosexuelle au Maroc à la survivance de la polygamie.

Le Monde

par Jacques Mandelbaum

Le film, influencé à l’évidence par les grandes figures à la fois comiques et sociales du cinéma italien, néanmoins trop programmatique et trop disparate, tient surtout par la présence forte et attachante des deux acteurs non professionnels qui occupent le devant de la scène.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Première

par Thierry Chèze

Des personnages passionnants desservis par un récit qui aurait mérité à être resserré pour mieux en exprimer toute la puissance.

La critique complète est disponible sur le site Première
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